Dans les rais du soleil...
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Dans les rais du soleil...
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DANS LES RAIS DU SOLEIL;
Dans les rais du soleil transperçant mes croisées
Se mettent à danser, mille grains de poussière.
Le rayon, constellé de pastilles ambrées,
Projette sur mon corps des ombres singulières.
Règne ici le silence. Suspendus dans l’espace
Des rêves éthérés flottent autour de moi.
Mon esprit s’alanguit et se perd toute trace
De soucis et d’ennuis. Je sens juste un émoi !
Je perçois sur ma peau cette chaleur solaire,
Qui peint monts et vallées d’irréelles couleurs,
Quand mon ventre, soudain assiégé, s’éclaire
De glissantes ombres bleues, aux vivantes pâleurs.
Mon âme, libérée de ses si lourdes chaînes,
Réclame éperdument d’être enfin reconnue.
Pour qu’il en soit ainsi j’imagine la scène
Où l’on viendra me dire des mots fous inconnus.
Ces mots, si galvaudés et parfois inutiles
Trop souvent proférés et pourtant incertains,
Laissent dans notre cœur des rancunes futiles
Car ils ne gagent pas d’infinis lendemains.
Tendrement murmurés dans le creux de l’oreille
Les « je t’aime » alors sont un vivant trésor
Et ce que l’on vivra ne sera que merveille,
Car ne subsistera plus la peur de la mort..
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DANS LES RAIS DU SOLEIL;
Dans les rais du soleil transperçant mes croisées
Se mettent à danser, mille grains de poussière.
Le rayon, constellé de pastilles ambrées,
Projette sur mon corps des ombres singulières.
Règne ici le silence. Suspendus dans l’espace
Des rêves éthérés flottent autour de moi.
Mon esprit s’alanguit et se perd toute trace
De soucis et d’ennuis. Je sens juste un émoi !
Je perçois sur ma peau cette chaleur solaire,
Qui peint monts et vallées d’irréelles couleurs,
Quand mon ventre, soudain assiégé, s’éclaire
De glissantes ombres bleues, aux vivantes pâleurs.
Mon âme, libérée de ses si lourdes chaînes,
Réclame éperdument d’être enfin reconnue.
Pour qu’il en soit ainsi j’imagine la scène
Où l’on viendra me dire des mots fous inconnus.
Ces mots, si galvaudés et parfois inutiles
Trop souvent proférés et pourtant incertains,
Laissent dans notre cœur des rancunes futiles
Car ils ne gagent pas d’infinis lendemains.
Tendrement murmurés dans le creux de l’oreille
Les « je t’aime » alors sont un vivant trésor
Et ce que l’on vivra ne sera que merveille,
Car ne subsistera plus la peur de la mort..
Dernière édition par TITEFEE le Lun 29 Déc - 8:38, édité 1 fois
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Dans les rais du soleil...
Le soleil fait vibrer ton coeur, lui fait dire des merveilles!
magnifique
magnifique
moussa m'bekki- Nombre de messages : 114
Date d'inscription : 09/10/2008
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