silence de la nature endormie. alexandrins ????
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silence de la nature endormie. alexandrins ????
L’automne ensevelit les feuilles sous un cercueil
D’humus garant de vie, et sous terre on devine
A l’étrange pouvoir de la graine divine,
Qu’elle abandonnera bientôt sa tenue de deuil.
L’hiver, sous linceul blanc, dissimule la mort
Des fantômes de feuilles, et l’eau translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline,
Puis discrets, nous irons voir la toison dorée
D’un tamarin lion, à sa branche accroché,
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine
Sous l’arbre dévêtu en cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc où fine pluie ruisselle.
Bouche grande ouverte nous boirons l’eau du ciel,
Comme s’il s’agissait d’une céleste absoute.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encore
Chaque jour un peu plus pour le peu qui nous reste
D’humus garant de vie, et sous terre on devine
A l’étrange pouvoir de la graine divine,
Qu’elle abandonnera bientôt sa tenue de deuil.
L’hiver, sous linceul blanc, dissimule la mort
Des fantômes de feuilles, et l’eau translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline,
Puis discrets, nous irons voir la toison dorée
D’un tamarin lion, à sa branche accroché,
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine
Sous l’arbre dévêtu en cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc où fine pluie ruisselle.
Bouche grande ouverte nous boirons l’eau du ciel,
Comme s’il s’agissait d’une céleste absoute.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encore
Chaque jour un peu plus pour le peu qui nous reste
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: silence de la nature endormie. alexandrins ????
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encore
Chaque jour un peu plus pour le peu qui nous reste
Très beau l'amie
Réal
PS: Je vais laisser à gepetto le soin de te dire
atouthasard- Nombre de messages : 1113
Date d'inscription : 11/10/2008
Re: silence de la nature endormie. alexandrins ????
L’automne ensevelit les feuilles sous un cercueil
D’humus garant de vie, et sous terre on devine
A l’étrange pouvoir de la graine divine,
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil.
L’hiver, sous linceul blanc, dissimule la mort
Des fantômes de feuilles, et l’eau translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline,
Puis discrets nous irons, voir la toison dorée
D’un tamarin lion, à sa branche accroché, ou de deux tamarins lions si l’on ne détaille pas li-on
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine et là il faudra mettre alors à travers leur vitrine
Sous l’arbre dévêtu en cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc où fine pluie ruisselle.
Bouche grande ouverte nous boirons l’eau du ciel,
Comme s’il s’agissait d’une céleste absoute.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encore
Chaque jour un peu plus pour le peu qui nous reste
j'ai corrigé quelques imperfections que j'ai vues en me relisant ce matin, mais j'attends les avis de ceux qui savent la poésie mieux que moi . Bisous à vous
D’humus garant de vie, et sous terre on devine
A l’étrange pouvoir de la graine divine,
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil.
L’hiver, sous linceul blanc, dissimule la mort
Des fantômes de feuilles, et l’eau translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline,
Puis discrets nous irons, voir la toison dorée
D’un tamarin lion, à sa branche accroché, ou de deux tamarins lions si l’on ne détaille pas li-on
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine et là il faudra mettre alors à travers leur vitrine
Sous l’arbre dévêtu en cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc où fine pluie ruisselle.
Bouche grande ouverte nous boirons l’eau du ciel,
Comme s’il s’agissait d’une céleste absoute.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encore
Chaque jour un peu plus pour le peu qui nous reste
j'ai corrigé quelques imperfections que j'ai vues en me relisant ce matin, mais j'attends les avis de ceux qui savent la poésie mieux que moi . Bisous à vous
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: silence de la nature endormie. alexandrins ????
te lire et un plaisir pour moi
&
je n'ai rien à redire là.
:vase:
&
je n'ai rien à redire là.
:vase:
Re: silence de la nature endormie. alexandrins ????
L’automne ensevelit les feuilles sous un cercueil (13 pieds)
L’automne ensevelit les feuilles sous cercueil
(correspond ainsi en faisant bien 12 pieds à ton expression suivante « sous linceul blanc »)
D’humus garant de vie, et sous terre on devine
À l’étrange pouvoir de la graine divine, (À : Alt 183 !! héhé…)
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil.
L’hiver, sous linceul blanc, dissimule la mort
Des fantômes de feuilles et l’eau translucide
Césure au milieu de « feuilles » ce qu’il faut si possible éviter…
(supprimer la virgule)
De la feuille fantôme et l’eau si translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline,
Puis discrets nous irons, voir la toison dorée
Ponctuation : Puis, discrets, nous irons voir la toison dorée
D’un tamarin lion à sa branche accrochée, c'est la toison ? ( je préfère cette forme, mais cela n’engage que moi…)
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine
Sous l’arbre dévêtu en cueillerons les gouttes
Sous l’arbre dévêtu nous cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc où fine pluie ruisselle. (il manque l’article la, pardi, car cela ferait 13 ! héhé)
Je te propose pour la fin:
Qui glissent sur son tronc où ruissellent les Dieux.
Nous boirons de ces pleurs, bouches ouvertes aux cieux,
Comme s’il s’agissait d’une céleste absoute.
Pour ne pas faire rimer un pluriel (gouttes) avec un singulier (absoute) :
Comme s’il s’agissait de célestes absoutes.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encore
Il convient d’éviter de rimer ensemble rime féminine et masculine :
Goutons à cette vie et aimons-nous encor (élision admise en "classique")
Reste et blesse ne riment pas :
Chaque jour que le temps de nos demains nous laisse
Gepbisous
L’automne ensevelit les feuilles sous cercueil
(correspond ainsi en faisant bien 12 pieds à ton expression suivante « sous linceul blanc »)
D’humus garant de vie, et sous terre on devine
À l’étrange pouvoir de la graine divine, (À : Alt 183 !! héhé…)
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil.
L’hiver, sous linceul blanc, dissimule la mort
Des fantômes de feuilles et l’eau translucide
Césure au milieu de « feuilles » ce qu’il faut si possible éviter…
(supprimer la virgule)
De la feuille fantôme et l’eau si translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline,
Puis discrets nous irons, voir la toison dorée
Ponctuation : Puis, discrets, nous irons voir la toison dorée
D’un tamarin lion à sa branche accrochée, c'est la toison ? ( je préfère cette forme, mais cela n’engage que moi…)
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine
Sous l’arbre dévêtu en cueillerons les gouttes
Sous l’arbre dévêtu nous cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc où fine pluie ruisselle. (il manque l’article la, pardi, car cela ferait 13 ! héhé)
Je te propose pour la fin:
Qui glissent sur son tronc où ruissellent les Dieux.
Nous boirons de ces pleurs, bouches ouvertes aux cieux,
Comme s’il s’agissait d’une céleste absoute.
Pour ne pas faire rimer un pluriel (gouttes) avec un singulier (absoute) :
Comme s’il s’agissait de célestes absoutes.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encore
Il convient d’éviter de rimer ensemble rime féminine et masculine :
Goutons à cette vie et aimons-nous encor (élision admise en "classique")
Reste et blesse ne riment pas :
Chaque jour que le temps de nos demains nous laisse
Gepbisous
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
Re: silence de la nature endormie. alexandrins ????
Comme quoi j'ai encore des gros progrès à faire, mais cela est bon pour la santé et le moral. J'éprouve un réel plaisir, comme si je jouais à refaire aussi et à voir ce que l'on peut tirer d'un simple poème. Merci Jean-Louis, tu fais mouche à tous les coups
voilà la dernière mouture mais elle peut peut-être encore s'améliorer
L’automne ensevelit les feuilles dans un cercueil
D’humus garant de vie, et sous terre on devine,
À l’étrange pouvoir de la graine divine,
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil.
L’hiver sous linceul blanc,dissimule la mort
De la feuille fantôme, et l’eau si translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline ;
Puis, discrets, nous irons voir la toison dorée
D’un tamarin doré, à sa branche accroché, c'est le tamarin qui est accroché et pas la toison
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine.
Sous l’arbre dévêtu nous cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc,où ruisselle la pluie.
Nous boirons de ces pleurs alors que le jour fuit,
Emportant dans les cieux ces célestes absoutes.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse,
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encor
Chaque jour que le temps de nos demains nous laisse.
voilà la dernière mouture mais elle peut peut-être encore s'améliorer
L’automne ensevelit les feuilles dans un cercueil
D’humus garant de vie, et sous terre on devine,
À l’étrange pouvoir de la graine divine,
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil.
L’hiver sous linceul blanc,dissimule la mort
De la feuille fantôme, et l’eau si translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline ;
Puis, discrets, nous irons voir la toison dorée
D’un tamarin doré, à sa branche accroché, c'est le tamarin qui est accroché et pas la toison
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine.
Sous l’arbre dévêtu nous cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc,où ruisselle la pluie.
Nous boirons de ces pleurs alors que le jour fuit,
Emportant dans les cieux ces célestes absoutes.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse,
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encor
Chaque jour que le temps de nos demains nous laisse.
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: silence de la nature endormie. alexandrins ????
L’automne ensevelit les feuilles dans un cercueil
L’automne ensevelit la feuille en un cercueil ou
L’automne ensevelit les feuilles en cercueil
D’humus garant de vie, et sous terre on devine,
D’humus garant de vie. Sous terre l'on devine,
À l’étrange pouvoir de la graine divine,
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil.
L’hiver sous linceul blanc, dissimule la mort
De la feuille fantôme, et l’eau si translucide,
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline ;
Puis, discrets, nous irons voir la toison dorée
D’un tamarin doré à sa branche accroché, (pas de virgule)
(deux fois doré !! et "accroché" ne rime pas avec "dorée"...)
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine.
Discrets, nous irons voir le pelage broché
D’un tamarin doré à sa branche accroché,
Regardant sans nous voir à travers sa vitrine. (virgule inutile, puis que césure)
Sous l’arbre dévêtu nous cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc, où ruisselle la pluie.
Nous boirons de ces pleurs alors que le jour fuit, ne riment pas...
(quoique le jour s'enfuie ?)
Emportant dans les cieux ces célestes absoutes.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse,
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encor
Chaque jour que le temps de nos demains nous laisse. (Deux fois "temps" pfff...)
Profitons du présent comme d’un vrai trésor.
Chaque jour que le temps à nos lendemains laisse. lendemain est mieux pour moi.
L’automne ensevelit la feuille en un cercueil ou
L’automne ensevelit les feuilles en cercueil
D’humus garant de vie, et sous terre on devine,
D’humus garant de vie. Sous terre l'on devine,
À l’étrange pouvoir de la graine divine,
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil.
L’hiver sous linceul blanc, dissimule la mort
De la feuille fantôme, et l’eau si translucide,
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or.
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline ;
Puis, discrets, nous irons voir la toison dorée
D’un tamarin doré à sa branche accroché, (pas de virgule)
(deux fois doré !! et "accroché" ne rime pas avec "dorée"...)
Regardant sans nous voir, à travers sa vitrine.
Discrets, nous irons voir le pelage broché
D’un tamarin doré à sa branche accroché,
Regardant sans nous voir à travers sa vitrine. (virgule inutile, puis que césure)
Sous l’arbre dévêtu nous cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc, où ruisselle la pluie.
Nous boirons de ces pleurs alors que le jour fuit, ne riment pas...
(quoique le jour s'enfuie ?)
Emportant dans les cieux ces célestes absoutes.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse,
Profitons de ce temps comme d’un vrai trésor.
Goutons à cette vie et aimons-nous encor
Chaque jour que le temps de nos demains nous laisse. (Deux fois "temps" pfff...)
Profitons du présent comme d’un vrai trésor.
Chaque jour que le temps à nos lendemains laisse. lendemain est mieux pour moi.
gepetto- Nombre de messages : 1908
Humeur : Ça dépend du Lion ou du Rat...
Date d'inscription : 04/10/2008
Re: silence de la nature endormie. alexandrins ????
Merci mon ami,
pour l'envie et le plaisir que j'ai de chercher encore et encore, guidé en celà par tes conseils éclairés, voilà encore des mots à moudre pour toi .....
L’automne ensevelit les feuilles en un cercueil
D’humus garant de vie. Sous terre l’on devine
À l’étrange pouvoir de la graine divine
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil
L’hiver sous linceul blanc, dissimule la mort
De la feuille fantôme, et l’eau si translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline
Surprenant malgré nous cachés dans le feuillage
Deux tamarins- lions faisant l’amour en cage
Se croyant loin de tout malgré cette vitrine
Sous l’arbre dévêtu nous cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc, où l’eau du ciel ruisselle
faisant fi de ces pleurs courant à la chapelle
Nous suivrons silencieux, les célestes absoutes.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons du présent comme d’un vrai trésor
Goutons à cette vie et aimons-nous encor
Chaque jour que le temps à nos lendemains laisse
pour l'envie et le plaisir que j'ai de chercher encore et encore, guidé en celà par tes conseils éclairés, voilà encore des mots à moudre pour toi .....
L’automne ensevelit les feuilles en un cercueil
D’humus garant de vie. Sous terre l’on devine
À l’étrange pouvoir de la graine divine
Qu’elle abandonnera son noir habit de deuil
L’hiver sous linceul blanc, dissimule la mort
De la feuille fantôme, et l’eau si translucide
Imitant tous les cieux et leur soleil liquide,
Cristallise le lac de ses paillettes d’or
Nous marchons tous les deux dans la brume opaline
Surprenant malgré nous cachés dans le feuillage
Deux tamarins- lions faisant l’amour en cage
Se croyant loin de tout malgré cette vitrine
Sous l’arbre dévêtu nous cueillerons les gouttes
Qui glissent sur son tronc, où l’eau du ciel ruisselle
faisant fi de ces pleurs courant à la chapelle
Nous suivrons silencieux, les célestes absoutes.
Avant que l’avenir ne nous tue ou nous blesse
Profitons du présent comme d’un vrai trésor
Goutons à cette vie et aimons-nous encor
Chaque jour que le temps à nos lendemains laisse
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
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