Grinche heure

Ha ces ados alors !!!
Mais je ne suis pas mécontent de les voir se révolter parfois, ça me rassure, le forgeron de la personnalité est à l'ouvrage et c'est bien mieux que de les voir s'avachir sur un canapé...

Jolie scène de la vie quotidienne racontée avec justesse.

Merci à vous deux.
Les petites révoltes me rassurent aussi.
Quand je pense à l'image que je me faisais des adultes à cette époque , je me dis que nous pouvons paraître tout aussi contrariants

"Quand je pense à l'image que je me faisais des adultes à cette époque , je me dis que nous pouvons paraître tout aussi contrariants"

au fil des mots a écrit:Au sein de la maisonnée
La révolte s’est levée
Les hors normes bagarreuses
Les hormones belliqueuses
Sont commandées par le sang
Dans le corps à tout instant.

Pauvre garçon d’ascenseur
Aux caprices de ses humeurs
Par la force de ses paroles
Quelques flèches qui s’envolent
Tuant l’oiseau de la paix
Sans le faire vraiment exprès.

Le chasse-heurts existe bien
On l’appelle le destin
On l’appelle sablier
Les croisades de l’acné
Fardeau de l’adolescent
S’atténuent avec le temps.

M’enfin !

Et si avec le temps l'acné se portait à l'intérieur?

[quote="CELUI QUI SAIT
Et si avec le temps l'acné se portait à l'intérieur? [/quote]

Acné n'a-t'on ?
Tu n'es pas le premier à te poser cette question, une femme egyptienne le fit, il y a fort longtemps le jour de la naissance de son royal fils, le gynéco de l'époque n'étant pas fut' fut' .... devine la suite ...royale biensûr

"au fil des mots"][quote="CELUI QUI SAIT
Et si avec le temps l'acné se portait à l'intérieur? [/quote]

Acné n'a-t'on ?
Tu n'es pas le premier à te poser cette question, une femme egyptienne le fit, il y a fort longtemps le jour de la naissance de son royal fils, le gynéco de l'époque n'étant pas fut' fut' .... devine la suite ...royale biensûr [/quote]


Akhénaton fût le seul bouton de son acné.....Peut-être le créateur du monotéisme.Bon l'histoire avec le gynéco.....me laisse sur ma fin de savoir.....Narres-moi cette historiette......T'es vraiment une cachottiére.

Admin a écrit:"Quand je pense à l'image que je me faisais des adultes à cette époque , je me dis que nous pouvons paraître tout aussi contrariants"

oui, mais...

A peine sortis du berceau
Nous sommes allés faire un saut
Au boulevard du temps qui passe
En scandant notre "Ça ira"
Contre les vieux, les mous, les gras
Confinés dans leurs idées basses.

On nous a vus, c'était hier
Qui descendions, jeunes et fiers
Dans une folle sarabande
En allumant des feux de joie
En alarmant les gros bourgeois
En piétinant leurs plates-bandes.

Jurant de tout remettre à neuf
De refaire quatre-vingt-neuf
De reprendre un peu la Bastille
Nous avons embrassé, goulus
Leurs femmes qu'ils ne touchaient plus
Nous avons fécondé leurs filles.

Dans la mare de leurs canards
Nous avons lancé, goguenards
Force pavés, quelle tempête
Nous n'avons rien laissé debout
Flanquant leurs credos, leurs tabous
Et leurs dieux, cul par-dessus tête.

Quand sonna le cessez-le-feu
L'un de nous perdait ses cheveux
Et l'autre avait les tempes grises.
Nous avons constaté soudain
Que l'été de la Saint-Martin
N'est pas loin du temps des cerises.

Alors, ralentissant le pas
On fit la route à la papa
Car, braillant contre les ancêtres
La troupe fraîche des cadets
Au carrefour nous attendait
Pour nous envoyer à Bicêtre.

Tous ces gâteux, ces avachis
Ces pauvres sépulcres blanchis
Chancelant dans leur carapace
On les a vus, c'était hier
Qui descendaient jeunes et fiers
Le boulevard du temps qui passe.

Georges Brassens [chez qui en (presque tout) figure une "réponse" de vie... : NDLR]

Brel n'était pas triste lui non plus:
voilà une chanson que j'appréciais, et dont je ne comprenais (ou voulais comprendre) qu'une partie...
Les bourgeois, c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux, plus ça devient bête
Les bourgeois, c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux, plus ça devient...

Juste une question de regard et d'à priori