Ô volcan, rage de la terre
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Ô volcan, rage de la terre
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Ô volcan, rage notre terre
La rage de la terre propulse la rudesse de son venin
Lumières de crachats aux râles de poussières où dansent jeux
Qui serpentent en gaîté sur les pentes couleur de feu
Et pleurent au passage de leur lenteur des éclats de chagrins
Frénésie du merveilleux tu masques le malheur
Dans ton feu d’artifice des plaisirs aux retombées d’or
Et dans ta tromperie, la santé de notre conscience dort
Pour rêver à la ferveur de la puissance du bonheur
Dans l’immensité de l’enclos brûlent nos méfiances
Quand villages veillent ces ailes, elles transportent l’inconscient
Qui plane avec facilité sur un air jouant l’étonnement
De ses âmes qui s’égarent dans leur inquiétude, ô volcan
Couleur de la mort le colosse, serpent de la violence
Trace de sa véhémence les limites du passé de la vie
Et la mort dresse la teinte des ténèbres, squelettes de vomis
Qui prient vers les cieux l’infini pernicieux de leur patience
Et nos yeux en prière assistent au flot du pèlerinage
De ces lucioles qui dansent et revêtent leurs aubes d’or
Elles transportent les lumières pour cacher la mort
Du faste de la nature qui se pleure sur son héritage
Et la route se plie, se déplie au mors de sa puissance
Se fond dans la tristesse de son angoisse de ne plus être
La protégée de l’homme se dérobe, là à la fenêtre
De ces yeux, dans l’épouvante d’un mur d’impuissance
L’église rythme la litanie quand se renouvelle la coulée
Son clocher s’élève aux cieux et tend son carillon d’acier
Pour diriger le monstre de feu hors de son sentier
Qui s’écarte, ne laissant que ses cendres sur son goulet
Le serpent de malices n’a aucune peur de son délit
Des gendarmes il n’a que faire, brûle sans souci
La cordialité de la gendarmerie dont le toit a frémi
Et éclate au léchage des flammes qui lui sourient
Quand la terre brise sa colère elle reprend sa liberté
Et le serpent brûlant retourne dans la gueule de l’effronté
Les lumières d’or disparaissent de nos regards d’obsédé
Qui fixent de regret le ruban de lave sans vie, dans sa cordée
Le beau à disparu et laisse place à la noirceur de la vie
ƒC
Ô volcan, rage notre terre
La rage de la terre propulse la rudesse de son venin
Lumières de crachats aux râles de poussières où dansent jeux
Qui serpentent en gaîté sur les pentes couleur de feu
Et pleurent au passage de leur lenteur des éclats de chagrins
Frénésie du merveilleux tu masques le malheur
Dans ton feu d’artifice des plaisirs aux retombées d’or
Et dans ta tromperie, la santé de notre conscience dort
Pour rêver à la ferveur de la puissance du bonheur
Dans l’immensité de l’enclos brûlent nos méfiances
Quand villages veillent ces ailes, elles transportent l’inconscient
Qui plane avec facilité sur un air jouant l’étonnement
De ses âmes qui s’égarent dans leur inquiétude, ô volcan
Couleur de la mort le colosse, serpent de la violence
Trace de sa véhémence les limites du passé de la vie
Et la mort dresse la teinte des ténèbres, squelettes de vomis
Qui prient vers les cieux l’infini pernicieux de leur patience
Et nos yeux en prière assistent au flot du pèlerinage
De ces lucioles qui dansent et revêtent leurs aubes d’or
Elles transportent les lumières pour cacher la mort
Du faste de la nature qui se pleure sur son héritage
Et la route se plie, se déplie au mors de sa puissance
Se fond dans la tristesse de son angoisse de ne plus être
La protégée de l’homme se dérobe, là à la fenêtre
De ces yeux, dans l’épouvante d’un mur d’impuissance
L’église rythme la litanie quand se renouvelle la coulée
Son clocher s’élève aux cieux et tend son carillon d’acier
Pour diriger le monstre de feu hors de son sentier
Qui s’écarte, ne laissant que ses cendres sur son goulet
Le serpent de malices n’a aucune peur de son délit
Des gendarmes il n’a que faire, brûle sans souci
La cordialité de la gendarmerie dont le toit a frémi
Et éclate au léchage des flammes qui lui sourient
Quand la terre brise sa colère elle reprend sa liberté
Et le serpent brûlant retourne dans la gueule de l’effronté
Les lumières d’or disparaissent de nos regards d’obsédé
Qui fixent de regret le ruban de lave sans vie, dans sa cordée
Le beau à disparu et laisse place à la noirceur de la vie
ƒC
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