Il est parti ailleurs
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Il est parti ailleurs
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Le voleur d’amour
Il était nuit
Quand il a fui
Le maudit
De notre paradis
Loin de mon lit
Naguère il m’avait dit
Je t’aime Marie
Ma perle chérie
Quand il est parti
A midi
Et qu’il m’a souri
D’un petit baiser pris
Sans délit
A cœur serti
D’un amour servi
En ces instants ravis
•
Nous partagions nos peines
Quand la tempête
Rugissait dans nos têtes
Mais nos cœurs en fête
Prestes ramassaient honnêtes
Toutes les vilaines miettes
De nos disputes bêtes
Pour éviter la défaite
De notre passion follette
•
Ton départ brutal
Ne fut un récital
Et comme un chacal
Tu as rongé animal
Ma vie bancale
Je te croyais sentimental
Tu n’étais que bestial
Pas de joies amicales
Pour un câlin radical
Quand au jour de bal
Tes paroles phénoménales
Me titillaient anormales
•
J’entends ma solitude
Qui me parle mansuétude
Est-ce une habitude
D’avoir grande certitude
Se peut-il, qu’un amour se dénude
Quand son amplitude
Vous rassasie en altitude
Sans jamais prude
Vous coucher sous la lune
•
Il est parti ailleurs
Mais j’ai peur
D’avoir gardé son cœur
Prés de l’ardeur
De mon esprit fraudeur
Qui crie sa frayeur
Comme un resquilleur
Qui ouvre une porte en pleurs
Prête à installer à toute heure
La présence du vil dilapidateur
Ce voleur d’amour mystificateur
Au tabernacle des vives lueurs
D’une âme éteinte par la douleur.
ƒC
Le voleur d’amour
Il était nuit
Quand il a fui
Le maudit
De notre paradis
Loin de mon lit
Naguère il m’avait dit
Je t’aime Marie
Ma perle chérie
Quand il est parti
A midi
Et qu’il m’a souri
D’un petit baiser pris
Sans délit
A cœur serti
D’un amour servi
En ces instants ravis
•
Nous partagions nos peines
Quand la tempête
Rugissait dans nos têtes
Mais nos cœurs en fête
Prestes ramassaient honnêtes
Toutes les vilaines miettes
De nos disputes bêtes
Pour éviter la défaite
De notre passion follette
•
Ton départ brutal
Ne fut un récital
Et comme un chacal
Tu as rongé animal
Ma vie bancale
Je te croyais sentimental
Tu n’étais que bestial
Pas de joies amicales
Pour un câlin radical
Quand au jour de bal
Tes paroles phénoménales
Me titillaient anormales
•
J’entends ma solitude
Qui me parle mansuétude
Est-ce une habitude
D’avoir grande certitude
Se peut-il, qu’un amour se dénude
Quand son amplitude
Vous rassasie en altitude
Sans jamais prude
Vous coucher sous la lune
•
Il est parti ailleurs
Mais j’ai peur
D’avoir gardé son cœur
Prés de l’ardeur
De mon esprit fraudeur
Qui crie sa frayeur
Comme un resquilleur
Qui ouvre une porte en pleurs
Prête à installer à toute heure
La présence du vil dilapidateur
Ce voleur d’amour mystificateur
Au tabernacle des vives lueurs
D’une âme éteinte par la douleur.
ƒC
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