Hommage à Raymond Devos
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Hommage à Raymond Devos
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Hommage à Raymond DEVOS
Pleurs de désolation, ta mort brusque mes pleurs
Cétacé des bons mots, oui c’est assez
A l’armée des anges tu surgis alarmé
Toi le butor rapace du dernier mot bu tord
•
A Rose ta fée tu ne diras plus jamais arrose
La rosée de ton jardin toi l’arrosé
Qui a rimé patient des mots arrimés
A la cirrhose effeuillant six roses
•
Emerveillé de ta science et tes mers veillées
Enchantant mon esprit le soir en chantant
En tendant tes syllabes mes oreilles les entendant
Empâté cet homme, friand de canard en pâté
•
C’est leste que tu vas aux horizons célestes
Des nombres je voudrai que tu dénombres
C’est fondre l’infini du jour qui s’effondre
Détruit cette fange revient caresser des truies
•
Une dernière fois raconte moi le pré vert
Assis prés de nos verres vert quand un petit ver vert
Tourné vers mon visage, rage à la peau, d’un tour né vert
Verre je prendrai demain en revenant vers tes vers
Salut en ton honneur un petit morceau de port salut
Je penserai toujours à toi quand mes maux panserai
Tous ces mots vois tu la haut , alors oui toussez mots
Emplissez ce monde, rayons de soleil, en plis c’est
Félicité offerte de ton ciel par ta compagne la fée Li citée
ƒC
1922/2006
Hommage à Raymond DEVOS
Pleurs de désolation, ta mort brusque mes pleurs
Cétacé des bons mots, oui c’est assez
A l’armée des anges tu surgis alarmé
Toi le butor rapace du dernier mot bu tord
•
A Rose ta fée tu ne diras plus jamais arrose
La rosée de ton jardin toi l’arrosé
Qui a rimé patient des mots arrimés
A la cirrhose effeuillant six roses
•
Emerveillé de ta science et tes mers veillées
Enchantant mon esprit le soir en chantant
En tendant tes syllabes mes oreilles les entendant
Empâté cet homme, friand de canard en pâté
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C’est leste que tu vas aux horizons célestes
Des nombres je voudrai que tu dénombres
C’est fondre l’infini du jour qui s’effondre
Détruit cette fange revient caresser des truies
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Une dernière fois raconte moi le pré vert
Assis prés de nos verres vert quand un petit ver vert
Tourné vers mon visage, rage à la peau, d’un tour né vert
Verre je prendrai demain en revenant vers tes vers
Salut en ton honneur un petit morceau de port salut
Je penserai toujours à toi quand mes maux panserai
Tous ces mots vois tu la haut , alors oui toussez mots
Emplissez ce monde, rayons de soleil, en plis c’est
Félicité offerte de ton ciel par ta compagne la fée Li citée
ƒC
1922/2006
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