Sur les chemins majestueux
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Sur les chemins majestueux
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Sur le majestueux chemin
Sur le majestueux chemin du destin
Se sont croisées, ensemble nos mains
Jointes pour un serein voyage certain
Long temps déposé jusqu’au demain
Quand nos vies se jouaient chaque matin
•
Dans tes incertitudes ma certitude
Emprisonne la douceur de tes mots
Que tu me fredonnes plus que beaux
Et ma pensée hâtive te répond de si tôt
Pour que notre amour se cachette prude
•
Quand au soir quelques soubresauts
Se palissent à ta rupestre verve vive
Je me dégage attentionnée à mon active
Générosité pour saine te dévorer incisive
De mes petits baisers gentils pour ton repos
•
Quand coule l’eau, fontaine d’économie
Mon cœur se vide de ses beaux trésors
Aux coffres de mes yeux remplis d’or
Brillant sur ton visage comme un mors
Qui voudrait te tendre sa richesse sertie
¤
Ta science innée n’a d’égal que ma passion
Pour ces mots que je t’écrie grand serment
Que je ne puisse jamais t’aimer autrement
Qui engrange tous tes gestes de supplication
Dans cette ferveur de la folie du bonheur dément
•
Quand tu paresses je me retranche à ta sagesse
Et les heures deviennent courtes à tes cotés
L’amertume du petit café devient le succédané
De notre bonheur affilié à ces silences abusés
Qui laisse place à nos penchants romanesques.
©ƒC
Sur le majestueux chemin
Sur le majestueux chemin du destin
Se sont croisées, ensemble nos mains
Jointes pour un serein voyage certain
Long temps déposé jusqu’au demain
Quand nos vies se jouaient chaque matin
•
Dans tes incertitudes ma certitude
Emprisonne la douceur de tes mots
Que tu me fredonnes plus que beaux
Et ma pensée hâtive te répond de si tôt
Pour que notre amour se cachette prude
•
Quand au soir quelques soubresauts
Se palissent à ta rupestre verve vive
Je me dégage attentionnée à mon active
Générosité pour saine te dévorer incisive
De mes petits baisers gentils pour ton repos
•
Quand coule l’eau, fontaine d’économie
Mon cœur se vide de ses beaux trésors
Aux coffres de mes yeux remplis d’or
Brillant sur ton visage comme un mors
Qui voudrait te tendre sa richesse sertie
¤
Ta science innée n’a d’égal que ma passion
Pour ces mots que je t’écrie grand serment
Que je ne puisse jamais t’aimer autrement
Qui engrange tous tes gestes de supplication
Dans cette ferveur de la folie du bonheur dément
•
Quand tu paresses je me retranche à ta sagesse
Et les heures deviennent courtes à tes cotés
L’amertume du petit café devient le succédané
De notre bonheur affilié à ces silences abusés
Qui laisse place à nos penchants romanesques.
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