Manifestons-nous, ouvrons nos paupières !
Page 1 sur 1
Manifestons-nous, ouvrons nos paupières !
Manifestons-nous, ouvrons nos paupières !
Lorsque on sonde l’abîme profond des cœurs
Par les rayons lumineux de la perspicacité,
On constate bien les seigneurs sanguinaires
Préparer l’anéantissement de l’humanité.
Qu’on danse avec les loups ou en rond,
Sous nos ombres s’agitent les couleuvres,
Pour nous forcer à se taire et les yeux vairons
Nous guettent même si on était des cadavres.
Qu’on vive dans la joie ou dans la douleur
Le grondement des orages diffuse la haine
Et l’éclat du jour trace par le ton d’aigreur
Le chemin qui mène à la cible prochaine.
On conserve bien la naïveté touchante
Qui nous rend innocents aux regards attristés
Sans percevoir le désir charnel qui enchante
Les tortionnaires et les maîtres incontestés.
Chanter, prier ou pleurer n’ouvre
Pas la porte du ciel, se courber devant l’ogre
Ne rend pas la dignité offensée, vivre
Cloitré aiguise toujours l’appétit des tigres.
Manifestons-nous, ouvrons nos paupières !
L’abandon commence dans nos pensées,
Laissons les âmes se noyer dans la lumière
Et libérons nos esprits angoissés.
Dad Allaoua
Lorsque on sonde l’abîme profond des cœurs
Par les rayons lumineux de la perspicacité,
On constate bien les seigneurs sanguinaires
Préparer l’anéantissement de l’humanité.
Qu’on danse avec les loups ou en rond,
Sous nos ombres s’agitent les couleuvres,
Pour nous forcer à se taire et les yeux vairons
Nous guettent même si on était des cadavres.
Qu’on vive dans la joie ou dans la douleur
Le grondement des orages diffuse la haine
Et l’éclat du jour trace par le ton d’aigreur
Le chemin qui mène à la cible prochaine.
On conserve bien la naïveté touchante
Qui nous rend innocents aux regards attristés
Sans percevoir le désir charnel qui enchante
Les tortionnaires et les maîtres incontestés.
Chanter, prier ou pleurer n’ouvre
Pas la porte du ciel, se courber devant l’ogre
Ne rend pas la dignité offensée, vivre
Cloitré aiguise toujours l’appétit des tigres.
Manifestons-nous, ouvrons nos paupières !
L’abandon commence dans nos pensées,
Laissons les âmes se noyer dans la lumière
Et libérons nos esprits angoissés.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
Sujets similaires
» Ouvrons les portes
» Je ne peux pas vivre avec des paupières fermées
» La justesse nous a conciliés avec nous même
» Se peut-il nous nous aimerons
» poèmes classiques
» Je ne peux pas vivre avec des paupières fermées
» La justesse nous a conciliés avec nous même
» Se peut-il nous nous aimerons
» poèmes classiques
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum