On vit sans aiguiser nos dards
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On vit sans aiguiser nos dards
On vit sans aiguiser nos dards
On a compris vite et tôt
Que la vie véritable réside dans
La liberté d’exprimer par des mots
Les bienfaits du soleil levant
Lorsque la transparence de l’eau
Purifie nos cœurs palpitants.
On vit sans aiguiser nos dards
Venimeux, sans vivre de passions
Et sans croire aux gros bobards
Utilisés pour semer la confusion,
On subsiste sans faire le flambard
Et sans se livrer à la manipulation.
Sans s’emporter par des pensées
Négatives ou par les hurlements
Que font les maîtres à danser,
On est résolus, sans acharnement
On n’utilise que les mots sensés
Procurant toujours l’apaisement.
Sans être des hommes stupides
Que la basse flatterie malmène
Durement devant un miroir vide
De sens, on aime ce que ramène
Le temps en évitant d’être avides
De gloire ou de céder aux sirènes.
On savoure et on médite la leçon
D’histoire sans crier vengeance
Ou exposer à des coups de caveçon
Des hommes en quête de sens
Dans un milieu réceptif aux sons
Qui procure la grande aisance.
On avance sans compter nos pas,
L’essentiel c’est de progresser
Par le savoir sans courir au trépas
Ou accepter qu’on soit offensés
Par le charme discret des appas
Ou des récits bien romancés.
Dad Allaoua
On a compris vite et tôt
Que la vie véritable réside dans
La liberté d’exprimer par des mots
Les bienfaits du soleil levant
Lorsque la transparence de l’eau
Purifie nos cœurs palpitants.
On vit sans aiguiser nos dards
Venimeux, sans vivre de passions
Et sans croire aux gros bobards
Utilisés pour semer la confusion,
On subsiste sans faire le flambard
Et sans se livrer à la manipulation.
Sans s’emporter par des pensées
Négatives ou par les hurlements
Que font les maîtres à danser,
On est résolus, sans acharnement
On n’utilise que les mots sensés
Procurant toujours l’apaisement.
Sans être des hommes stupides
Que la basse flatterie malmène
Durement devant un miroir vide
De sens, on aime ce que ramène
Le temps en évitant d’être avides
De gloire ou de céder aux sirènes.
On savoure et on médite la leçon
D’histoire sans crier vengeance
Ou exposer à des coups de caveçon
Des hommes en quête de sens
Dans un milieu réceptif aux sons
Qui procure la grande aisance.
On avance sans compter nos pas,
L’essentiel c’est de progresser
Par le savoir sans courir au trépas
Ou accepter qu’on soit offensés
Par le charme discret des appas
Ou des récits bien romancés.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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