On n’est pas des maillons dans vos chaînes
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On n’est pas des maillons dans vos chaînes
On n’est pas des maillons dans vos chaînes
On n’est pas des maillons dans vos chaînes
Vous puisez souvent la force des malheurs
Des peuples pour enfler vos cœurs de haine
Sans se rendre compte de l’immortelle pâleur
Qui couvre vos visages de honte et déchaîne
En vos esprits les passions des étrangleurs.
Par l’effusion du sang, vous traitez les êtres
Et les choses, inutile de parler du plan suivant !
On sait se prendre en charge sans paraître
Désorientés ou saisir les romans captivants
Décris par vos aïeux dans des amphithéâtres
En plein air dûment remplis de morts vivants.
Vous oubliez qu’un vent doux ouvre nos
Paupières, inutile de parler de la démocratie !
Nous savons déchiffrer parfaitement le flot
De la parole obscène qui véhicule le mépris
Provoque les implosions et permet aux travelos
D’accéder aux trônes de l’incroyable furie.
Nous tenons à la liberté, arrêtez vos engins
De fer, nos âmes planent dans le ciel
On n’est ni sourd ni aveugle, ni fou de chagrin
Vos actions relèvent de l’art du trompe-l’œil
On a la patience, vous avez les sous-marins
Mais, ils n’arrivent pas à contourner l’écueil.
On est heureux d’être souverainement sage
Nos sourires vainquent vos grimaces de dégoût,
Inutile de chercher à confirmer les adages
Ou à nous faire entendre le chant des cagous,
Car, on atteint surement le but qu’on envisage,
Préparez vos salles pour faire danser les fous.
Dad Allaoua
On n’est pas des maillons dans vos chaînes
Vous puisez souvent la force des malheurs
Des peuples pour enfler vos cœurs de haine
Sans se rendre compte de l’immortelle pâleur
Qui couvre vos visages de honte et déchaîne
En vos esprits les passions des étrangleurs.
Par l’effusion du sang, vous traitez les êtres
Et les choses, inutile de parler du plan suivant !
On sait se prendre en charge sans paraître
Désorientés ou saisir les romans captivants
Décris par vos aïeux dans des amphithéâtres
En plein air dûment remplis de morts vivants.
Vous oubliez qu’un vent doux ouvre nos
Paupières, inutile de parler de la démocratie !
Nous savons déchiffrer parfaitement le flot
De la parole obscène qui véhicule le mépris
Provoque les implosions et permet aux travelos
D’accéder aux trônes de l’incroyable furie.
Nous tenons à la liberté, arrêtez vos engins
De fer, nos âmes planent dans le ciel
On n’est ni sourd ni aveugle, ni fou de chagrin
Vos actions relèvent de l’art du trompe-l’œil
On a la patience, vous avez les sous-marins
Mais, ils n’arrivent pas à contourner l’écueil.
On est heureux d’être souverainement sage
Nos sourires vainquent vos grimaces de dégoût,
Inutile de chercher à confirmer les adages
Ou à nous faire entendre le chant des cagous,
Car, on atteint surement le but qu’on envisage,
Préparez vos salles pour faire danser les fous.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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