Suis-je dénué de tout jugement
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Suis-je dénué de tout jugement
Suis-je dénué de tout jugement
Suis-je dénué de tout jugement
Ou un bouffon que les bobards éveillent
Et la réalité entraîne dans un mouvement
Inverse sans sentir les bienfaits du soleil ?
Suis-je ivre ou fou de voir la démocratie
Céder ses droits aux tyrans et aux rois
Et saisir que les mains de la tyrannie
Confisquent la majorité des voix ?
Des idées noires enflamment les têtes !
Les seigneurs sont fidèles aux partages
D’après-guerre, dans des grandes fêtes
Ils nous changent en jouet d’un mirage.
Les chants résonnent et se confondent,
L’essentiel, c’est de prêcher dans le désert,
D’acclamer les maîtres de ce monde
Et d’accepter les décisions arbitraires.
L’humanité avance vers sa destruction,
Lorsque les hommes changent les sabres
En fusils en se guidant par leurs ambitions
La vie devient une scène macabre.
Les torches causent l’étincelle partout,
Elles attirent fortement les aigles de fer
Pour faire d’eux les grands manitous
Nommant les trois juges de l’enfer.
Noyés dans le silence, les peuples
Prient le ciel de gonfler leurs poitrines
Par le souffle et de pénétrer les temples
Pour vivre en suçant les tétines.
Aveuglés par le soleil, ils dorment
Sous l’ombre des oreilles d’âne
Sans percevoir le langage multiforme
Qui élabore les stratégies insanes.
Dad Allaoua
Suis-je dénué de tout jugement
Ou un bouffon que les bobards éveillent
Et la réalité entraîne dans un mouvement
Inverse sans sentir les bienfaits du soleil ?
Suis-je ivre ou fou de voir la démocratie
Céder ses droits aux tyrans et aux rois
Et saisir que les mains de la tyrannie
Confisquent la majorité des voix ?
Des idées noires enflamment les têtes !
Les seigneurs sont fidèles aux partages
D’après-guerre, dans des grandes fêtes
Ils nous changent en jouet d’un mirage.
Les chants résonnent et se confondent,
L’essentiel, c’est de prêcher dans le désert,
D’acclamer les maîtres de ce monde
Et d’accepter les décisions arbitraires.
L’humanité avance vers sa destruction,
Lorsque les hommes changent les sabres
En fusils en se guidant par leurs ambitions
La vie devient une scène macabre.
Les torches causent l’étincelle partout,
Elles attirent fortement les aigles de fer
Pour faire d’eux les grands manitous
Nommant les trois juges de l’enfer.
Noyés dans le silence, les peuples
Prient le ciel de gonfler leurs poitrines
Par le souffle et de pénétrer les temples
Pour vivre en suçant les tétines.
Aveuglés par le soleil, ils dorment
Sous l’ombre des oreilles d’âne
Sans percevoir le langage multiforme
Qui élabore les stratégies insanes.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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