Mes paysages
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Mes paysages
Dans la pris
on du solitaire
Une fenêtre accueille mes yeux
Qui rêve là, du merveilleux
D'un horizon ambigu et fier
Un rempart de coteaux dresse
Une barrière de nature tachetée
Qui encercle le fort de ma pensée
Mais ma vue perçante se redresse
Là bas un serpent fluvial m'emporte
Vers les vastes cités lointaines
Où se nichent les usines de la peine
Ma sante respire relents qu'elles déportent
Blottis contre la colline rassurante
Le village me sourit silencieux
Et les humains pressés vaquent soucieux
A leurs petites obligations permanentes
Des ouvriers sur un trottoir s'affairent
Opèrent le ventre du bitume bien dur
Et leurs cops amoindris cherchent l'air pur
Que leur a volé une sudation amère
Au loin la mairie orne son haut poitrail
De guirlandes, de fleurs et de drapeaux
Cela sent bon l'été des jours sans maux
Quand la fête nationale sort son attirail
Au balcon d'une chambre où s'engendre
Les jolis fruits du grand amour partagé
Douze coups de midi au clocher ont sonné
Et un nouveau né laisse faim s'entendre
Aussi mon esprit est-il en fête chaque jour
Quand il chemine sur le gracieux dédale
De ces paysages dont le tout amical
N'a de vrai que de vivre en mon séjour
☼ŦC
Une fenêtre accueille mes yeux
Qui rêve là, du merveilleux
D'un horizon ambigu et fier
Un rempart de coteaux dresse
Une barrière de nature tachetée
Qui encercle le fort de ma pensée
Mais ma vue perçante se redresse
Là bas un serpent fluvial m'emporte
Vers les vastes cités lointaines
Où se nichent les usines de la peine
Ma sante respire relents qu'elles déportent
Blottis contre la colline rassurante
Le village me sourit silencieux
Et les humains pressés vaquent soucieux
A leurs petites obligations permanentes
Des ouvriers sur un trottoir s'affairent
Opèrent le ventre du bitume bien dur
Et leurs cops amoindris cherchent l'air pur
Que leur a volé une sudation amère
Au loin la mairie orne son haut poitrail
De guirlandes, de fleurs et de drapeaux
Cela sent bon l'été des jours sans maux
Quand la fête nationale sort son attirail
Au balcon d'une chambre où s'engendre
Les jolis fruits du grand amour partagé
Douze coups de midi au clocher ont sonné
Et un nouveau né laisse faim s'entendre
Aussi mon esprit est-il en fête chaque jour
Quand il chemine sur le gracieux dédale
De ces paysages dont le tout amical
N'a de vrai que de vivre en mon séjour
☼ŦC
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