L’infirmité est dans l’angoisse
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L’infirmité est dans l’angoisse
L’infirmité est dans l’angoisse
Le temps a ancré dans mon esprit
Les paroles mystérieuses de la raison,
Moi, qu’on accuse de faire mille folies
Pour avoir aimé la contemplation.
Le vent m’a insufflé un élan nouveau,
J’exprime ce que je vois flotter
Sur le courant continu de l’eau
Froide, qui me fait grelotter.
Lorsque je parle avec cœur serré
Et lèvres séchées, dans un triste décor
J’incite le soleil à venir déterrer
Les nobles princes aux cœurs d’or,
Pour ramener dans tous les lieux
La lumière et éveiller les consciences
Pour saisir, qu’il y a qu’un seul Dieu,
La vraie force est dans la justesse,
L’infirmité est dans l’angoisse,
La prétention n’est qu’un mirage,
Qui nous transporte loin de la grâce,
Les mots justes enfantent le courage
Pour dire ce que l’esprit dicte,
Car nul ne possède l’arme absolue.
Par la vanité des plaisirs se dévoile
Le désordre des idées, dans l’étendue
Du discours se montrent les lacunes
D’un pouvoir et la dérive des généraux
Epuisés dans l’escalade des dunes
Dans un désert où l’atmosphère chaud
Détruit tout ce qui est vivant
En déliant l’attachement sensationnel
Des êtres à la beauté du soleil levant
Et aux vertus de l’amour universel.
Dad Allaoua
Le temps a ancré dans mon esprit
Les paroles mystérieuses de la raison,
Moi, qu’on accuse de faire mille folies
Pour avoir aimé la contemplation.
Le vent m’a insufflé un élan nouveau,
J’exprime ce que je vois flotter
Sur le courant continu de l’eau
Froide, qui me fait grelotter.
Lorsque je parle avec cœur serré
Et lèvres séchées, dans un triste décor
J’incite le soleil à venir déterrer
Les nobles princes aux cœurs d’or,
Pour ramener dans tous les lieux
La lumière et éveiller les consciences
Pour saisir, qu’il y a qu’un seul Dieu,
La vraie force est dans la justesse,
L’infirmité est dans l’angoisse,
La prétention n’est qu’un mirage,
Qui nous transporte loin de la grâce,
Les mots justes enfantent le courage
Pour dire ce que l’esprit dicte,
Car nul ne possède l’arme absolue.
Par la vanité des plaisirs se dévoile
Le désordre des idées, dans l’étendue
Du discours se montrent les lacunes
D’un pouvoir et la dérive des généraux
Epuisés dans l’escalade des dunes
Dans un désert où l’atmosphère chaud
Détruit tout ce qui est vivant
En déliant l’attachement sensationnel
Des êtres à la beauté du soleil levant
Et aux vertus de l’amour universel.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Nombre de messages : 3370
Date d'inscription : 26/01/2010
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