Aprés la nuit....

Cannes 2008

Joli tableau dans une palette de couleurs où les ombres de la nuit cédent la place......La réponse est dans le dernier quatrain.

Un lever de jour romantiquement peint
En mots ensoleillés !
au plaisir de te savoir dans le bonheur

Philippe a écrit:

La lune prend la pose, suspendue, incertaine
Accrochée aux grands arbres, qui en terre se fondent.
Le silence en arpèges, assourdi les fontaines
Et tout se désagrège à sa gouache profonde.

Puis la terre adossée, en ses rondes collines
A la voûte étoilée où sommeille le vent,
Respire dans le noir des espoirs violines,
Les songes en devenir de Phébus au levant.

Quand dessous la rosée, ses doux pétales inclines
Les premières lueurs du soleil renaissant
La primordiale rose, de la nature décline,
En reflets virtuoses, les bienfaits incessants

La musique du monde doucement le soulève,
Des accords de lumière enchantent les paupières.
C’est l’instant, où la vie va prendre la relève,
Du fracas des fontaines éblouissant les pierres.

C’est l’heure inépuisable, où mon regard se pose
Sur la courbe satin, à l’infini douceur
D’une vallée fertile où deux mamelons roses
En appelant mes mains, fécondent le bonheur.

Cannes 2008

érotiquement beau-écrit [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Philippe a écrit:

La lune prend la pose, suspendue, incertaine
Accrochée aux grands arbres, qui en terre se fondent.
Le silence en arpèges, assourdi les fontaines
Et tout se désagrège à sa gouache profonde.

Puis la terre adossée, en ses rondes collines
A la voûte étoilée où sommeille le vent,
Respire dans le noir des espoirs violines,
Les songes en devenir de Phébus au levant.

Quand dessous la rosée, ses doux pétales inclines
Les premières lueurs du soleil renaissant
La primordiale rose, de la nature décline,
En reflets virtuoses, les bienfaits incessants

La musique du monde doucement le soulève,
Des accords de lumière enchantent les paupières.
C’est l’instant, où la vie va prendre la relève,
Du fracas des fontaines éblouissant les pierres.

C’est l’heure inépuisable, où mon regard se pose
Sur la courbe satin, à l’infini douceur
D’une vallée fertile où deux mamelons roses
En appelant mes mains, fécondent le bonheur.

Cannes 2008

Après la nuit le merveilleux réveil! le soleil du regard qui s'ouvre sur l'autre.....la vie qui sourit avec plaisir dans les veines.
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