Du passé bien passé
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Du passé bien passé
Je connaissais les mots, en lumière
Par tes paroles douces et sincères,
Par ton écoute profonde
De mon silence qui te sonde.
Je lisais les poèmes d’amour
Dans le clair de tes yeux
Si bleus comme le bonheur des cieux.
Puis, vint un jour sombre
Le vent tamisa les ombres
Et changea le cercle de l’écriture.
Tes paroles devenues hiéroglyphe
L’entente changée en roche de Sisyphe,
Ton regard devint trop codé
Ton touché, soit amer soit iodé,
Comme si jamais fleur tu ne l’étais
Comme si de printemps tu t’es transformé en été.
Par tes paroles douces et sincères,
Par ton écoute profonde
De mon silence qui te sonde.
Je lisais les poèmes d’amour
Dans le clair de tes yeux
Si bleus comme le bonheur des cieux.
Puis, vint un jour sombre
Le vent tamisa les ombres
Et changea le cercle de l’écriture.
Tes paroles devenues hiéroglyphe
L’entente changée en roche de Sisyphe,
Ton regard devint trop codé
Ton touché, soit amer soit iodé,
Comme si jamais fleur tu ne l’étais
Comme si de printemps tu t’es transformé en été.
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Du passé bien passé
Le passé est passé
à travers la passoire du temps.
C'est tout de même un passé
qui ne passe pas
et qui jamais ne repassera.
Lourde charge contre l'autre, méritée,
n'en doutons pas. Ses yeux bleux doivent frémir...
Le thème du regret, sec comme un bouquet,
lourd et fané
est ici développé, ex-primé.
Drapeau en berne
pour un coeur
qui ne veut pas hiberner.
Saison gâchée, météo triste
et sèche, pour un couple
battu en brèche.
à travers la passoire du temps.
C'est tout de même un passé
qui ne passe pas
et qui jamais ne repassera.
Lourde charge contre l'autre, méritée,
n'en doutons pas. Ses yeux bleux doivent frémir...
Le thème du regret, sec comme un bouquet,
lourd et fané
est ici développé, ex-primé.
Drapeau en berne
pour un coeur
qui ne veut pas hiberner.
Saison gâchée, météo triste
et sèche, pour un couple
battu en brèche.
Re: Du passé bien passé
Je connaissais les mots, en lumière nés de l'esprit,
Par tes paroles douces et sincères d'un homme éprit,
Par ton écoute profonde en l'intérieur de mon monde,
De mon silence qui te sonde en ton Âme vagabonde,
Je lisais les poèmes d’amour que tu m'écrivais,
Une espérance en cette passion que je voulais,
Dans le clair de tes yeux où mon coeur se perdait,
Si bleus comme le bonheur des cieux que j'attendais,
Puis, vint un jour sombre,plus noir que les autres,
Le vent tamisa les ombres,le blé devint épeautre,
Et changea le cercle de l’écriture,sa compréhension,
Tes paroles devenues hiéroglyphe sans aucune raison,
L’entente changée en roche de Sisyphe où nait la cruauté,
Les mots se voulant de tendresse devenaient simple banalité,
Ton regard devint trop codé pour que je puisse le comprendre,
Ton touché, soit amer soit iodé,ne savait plus s'y prendre,
Comme si jamais fleur tu ne l’étais en ce temps de bonté
Comme si de printemps s'était transformé en un cruel été.
Par tes paroles douces et sincères d'un homme éprit,
Par ton écoute profonde en l'intérieur de mon monde,
De mon silence qui te sonde en ton Âme vagabonde,
Je lisais les poèmes d’amour que tu m'écrivais,
Une espérance en cette passion que je voulais,
Dans le clair de tes yeux où mon coeur se perdait,
Si bleus comme le bonheur des cieux que j'attendais,
Puis, vint un jour sombre,plus noir que les autres,
Le vent tamisa les ombres,le blé devint épeautre,
Et changea le cercle de l’écriture,sa compréhension,
Tes paroles devenues hiéroglyphe sans aucune raison,
L’entente changée en roche de Sisyphe où nait la cruauté,
Les mots se voulant de tendresse devenaient simple banalité,
Ton regard devint trop codé pour que je puisse le comprendre,
Ton touché, soit amer soit iodé,ne savait plus s'y prendre,
Comme si jamais fleur tu ne l’étais en ce temps de bonté
Comme si de printemps s'était transformé en un cruel été.
Invité- Invité
Re: Du passé bien passé
Nés de l'esprit, quelques noirs pensées
d'un homme éprit, des mots en sagesse condensés
en l'intérieur de mon monde, il passe comme une sonde
en mon Âme vagabonde, le doute faisant des tours à la ronde
sans aucune raison, mon été reste sans floraison
où nait la cruauté ? Si ce n’est en le cœur qui connaît pendaison
d'un homme éprit, des mots en sagesse condensés
en l'intérieur de mon monde, il passe comme une sonde
en mon Âme vagabonde, le doute faisant des tours à la ronde
sans aucune raison, mon été reste sans floraison
où nait la cruauté ? Si ce n’est en le cœur qui connaît pendaison
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Du passé bien passé
Alors il ne reste plus au coeur de la belle qu'à changer d'horizon,
Pour que de l'Amour elle veuille en contempler une autre vision.
Pour que de l'Amour elle veuille en contempler une autre vision.
Invité- Invité
Re: Du passé bien passé
Alors il ne reste plus
- Qu’à ouvrir les veines
Au cœur de la belle
Hantée par les peines
-qu'à changer d'horizon
Pour ne perdre la raison
Pour que de l'Amour, elle recherche invasion
Qu’elle veuille en contempler une autre vision
***
pas vraiment en accord avec tes rimes
n'est-ce pas ???
- Qu’à ouvrir les veines
Au cœur de la belle
Hantée par les peines
-qu'à changer d'horizon
Pour ne perdre la raison
Pour que de l'Amour, elle recherche invasion
Qu’elle veuille en contempler une autre vision
***
pas vraiment en accord avec tes rimes
n'est-ce pas ???
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Du passé bien passé
le passénadia ibrahimi a écrit:Je connaissais les mots, en lumière
Par tes paroles douces et sincères,
Par ton écoute profonde
De mon silence qui te sonde.
Je lisais les poèmes d’amour
Dans le clair de tes yeux
Si bleus comme le bonheur des cieux.
Puis, vint un jour sombre
Le vent tamisa les ombres
Et changea le cercle de l’écriture.
Tes paroles devenues hiéroglyphe
L’entente changée en roche de Sisyphe,
Ton regard devint trop codé
Ton touché, soit amer soit iodé,
Comme si jamais fleur tu ne l’étais
Comme si de printemps tu t’es transformé en été.
ne passe jamais tout à fait
dans le coeur et la mémoire
il reste toujours gravé
sandrine jillou- Nombre de messages : 1700
loisirs : écrire, courir, vélo.
Date d'inscription : 08/10/2008
Re: Du passé bien passé
Vous avez la plume pour vous mettre dans la peau de l'écrit! bravoyann Venner a écrit:Le passé est passé
à travers la passoire du temps.
C'est tout de même un passé
qui ne passe pas
et qui jamais ne repassera.
Lourde charge contre l'autre, méritée,
n'en doutons pas. Ses yeux bleux doivent frémir...
Le thème du regret, sec comme un bouquet,
lourd et fané
est ici développé, ex-primé.
Drapeau en berne
pour un coeur
qui ne veut pas hiberner.
Saison gâchée, météo triste
et sèche, pour un couple
battu en brèche.
sandrine jillou- Nombre de messages : 1700
loisirs : écrire, courir, vélo.
Date d'inscription : 08/10/2008
Re: Du passé bien passé
& vous prince des motsCELUI QUI SAIT a écrit:Je connaissais les mots, en lumière nés de l'esprit,
Par tes paroles douces et sincères d'un homme éprit,
Par ton écoute profonde en l'intérieur de mon monde,
De mon silence qui te sonde en ton Âme vagabonde,
Je lisais les poèmes d’amour que tu m'écrivais,
Une espérance en cette passion que je voulais,
Dans le clair de tes yeux où mon coeur se perdait,
Si bleus comme le bonheur des cieux que j'attendais,
Puis, vint un jour sombre,plus noir que les autres,
Le vent tamisa les ombres,le blé devint épeautre,
Et changea le cercle de l’écriture,sa compréhension,
Tes paroles devenues hiéroglyphe sans aucune raison,
L’entente changée en roche de Sisyphe où nait la cruauté,
Les mots se voulant de tendresse devenaient simple banalité,
Ton regard devint trop codé pour que je puisse le comprendre,
Ton touché, soit amer soit iodé,ne savait plus s'y prendre,
Comme si jamais fleur tu ne l’étais en ce temps de bonté
Comme si de printemps s'était transformé en un cruel été.
vous avez le don de fusionner les vers
au point de les dorer et les rendre plus adorables à lire
sandrine jillou- Nombre de messages : 1700
loisirs : écrire, courir, vélo.
Date d'inscription : 08/10/2008
Re: Du passé bien passé
si...en fait....il passe
mais...il laisse des traces
qui s'effacent avec le temps!
mais...il laisse des traces
qui s'effacent avec le temps!
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
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