Ciel de vie
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Ciel de vie
Dis-moi chère entité, amie et confidente
Pourquoi les mots dansent dans mon esprit
Quand la plume s'envole, portant le fruit de toute poésie
Voici donc ces mots, tirés de quel esprit
Du mien? N'aurais-je point perdu
Raison de toucher la gloire
De sentir en soi, le fer d'une victoire
Mais toute autre fantaisie
S'empare de ma frénésie
Je tape sur mon clavier et les mots dansent
S'embrasent, s'enlacent aussi
Car tout mot aime la chaleur d'une compagne
Ils deviennent embellis, s'emparant de l'arc en ciel
Et dans le plan des merveilles, je pose mes rimes
Je marche sur les pas des muses savantes
Qui jeunes et belles, m'embrassent par passion
Je t'aime muse de la forêt et des senteurs enivrantes
Musc secret d'un orient fatal
Ou je me perds dans les dédales d'un amour parfait
Vies si anciennes, nostalgies que je livre aux rumeurs du temps
J’aime à y puiser la nature de mes entrailles
Pour en saliver d’autant plus goulument, l’amour
Je ne vous ai pas oublié, vous qui maintenant, éthéré
Plus de corps mais un esprit, en moi une si belle volupté
Les plans bougent et conseillent le choix de vivre sa voie
Lumière flamboyante, prière de ma passion révélée
Mère de ta force et ton éducation, je vole au dessus des montagnes
La ou d’autres mères imposèrent de leurs mains les remèdes
Femmes de mes origines, je ne peux que vous soumettre
Ma nature d’homme libre des choix et composant sa démence
Ou les mots dansent de folie, d’une autre illusion égarée
J’embrase le vaisseau, s’emparant des flots tumultueux
Hystérie d’une indécence ou deux corps se heurtent en échos
Et l’espace d’un credo, ployant les genoux du profane
Semble ordonner mon corps d’une chaste pensée
Ho merveille de passion, t’aurais-je tout donnée
Que je ne puisse mourir de cette faim
D’honorer cette pauvre humanité
Dis-moi chère entité, ou donc vous souhaitez me mener
Pour que je vous honore de mes plus belles pensées
Pourquoi les mots dansent dans mon esprit
Quand la plume s'envole, portant le fruit de toute poésie
Voici donc ces mots, tirés de quel esprit
Du mien? N'aurais-je point perdu
Raison de toucher la gloire
De sentir en soi, le fer d'une victoire
Mais toute autre fantaisie
S'empare de ma frénésie
Je tape sur mon clavier et les mots dansent
S'embrasent, s'enlacent aussi
Car tout mot aime la chaleur d'une compagne
Ils deviennent embellis, s'emparant de l'arc en ciel
Et dans le plan des merveilles, je pose mes rimes
Je marche sur les pas des muses savantes
Qui jeunes et belles, m'embrassent par passion
Je t'aime muse de la forêt et des senteurs enivrantes
Musc secret d'un orient fatal
Ou je me perds dans les dédales d'un amour parfait
Vies si anciennes, nostalgies que je livre aux rumeurs du temps
J’aime à y puiser la nature de mes entrailles
Pour en saliver d’autant plus goulument, l’amour
Je ne vous ai pas oublié, vous qui maintenant, éthéré
Plus de corps mais un esprit, en moi une si belle volupté
Les plans bougent et conseillent le choix de vivre sa voie
Lumière flamboyante, prière de ma passion révélée
Mère de ta force et ton éducation, je vole au dessus des montagnes
La ou d’autres mères imposèrent de leurs mains les remèdes
Femmes de mes origines, je ne peux que vous soumettre
Ma nature d’homme libre des choix et composant sa démence
Ou les mots dansent de folie, d’une autre illusion égarée
J’embrase le vaisseau, s’emparant des flots tumultueux
Hystérie d’une indécence ou deux corps se heurtent en échos
Et l’espace d’un credo, ployant les genoux du profane
Semble ordonner mon corps d’une chaste pensée
Ho merveille de passion, t’aurais-je tout donnée
Que je ne puisse mourir de cette faim
D’honorer cette pauvre humanité
Dis-moi chère entité, ou donc vous souhaitez me mener
Pour que je vous honore de mes plus belles pensées
orofane- Nombre de messages : 23
Date d'inscription : 16/10/2010
Re: Ciel de vie
Que ta muse te porte toujours vers nous pour nous proposer de si beaux textes.
A bientôt
Phil
A bientôt
Phil
philco78- Nombre de messages : 39
Date d'inscription : 11/09/2010
Re: Ciel de vie
Chercherais-tu le chemin de cette éternité?
Promise comme étant la plus belle félicité,
Nous ne pouvons que supposer l'éternel,
Car il se donne en abonné absent du ciel.
Bien à toi orofane.
Promise comme étant la plus belle félicité,
Nous ne pouvons que supposer l'éternel,
Car il se donne en abonné absent du ciel.
Bien à toi orofane.
Invité- Invité
Re: Ciel de vie
les mots et les questions de l’existence sous l'esprit du poète se font vers "philosophés"
au plaisir du partage...
au plaisir du partage...
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