Une brume

Je marche sans un regard, sans but,
Au pur hasard, sans me retourner
En me demandant surtout
Où je vais savoir m'arrêter
Ma pauvre tête est vide
Et mes jambes sont pesantes,
Ma vie me semble livide
Mon âme en est absente
Mon cœur crie et souffre
Mais mon esprit est toujours la;
Je m'enfonce dans cette brume
Qui m'enveloppe comme un cocon
Mais, bien que je ne voie l'horizon
Je baigne dans mon amertume
Je sens cette humidité écrasante
Qui est bien là sur mes épaules
Comme le fardeau d'une potence
Qu'il me faut bien porter
J'accepte cette grande douleur
Qui ne veut plus me quitter
Aussi fidèle qu'une bien-aimée. [/i]

A la recherche d'un ange consolateur?
Qui saura effacer tous tes malheurs,
Saura t'il consoler toutes tes pleurs,
Et te donner un espoir de bonheur?

Cela me peine grandement de te voir en si grande détresse.
Bise Miss Marie.

Un jour, par hasard, au détour d'un chemin poétique on vient à buter sur une âme chiffonnée....
La détresse est l'envers d'une liesse
Une liesse l'an vert d'une détresse, un jour .....
Mary
Richard.

La douleur est une compagne fidèle...
Elle nous prouve aussi que nous sommes vivants...

celui qui sait a écrit:A la recherche d'un ange consolateur?
Qui saura effacer tous tes malheurs,
Saura t'il consoler toutes tes pleurs,
Et te donner un espoir de bonheur?

Cela me peine grandement de te voir en si grande détresse.
Bise Miss Marie.

reponse en message PV merci de ton passage bise yves

rychar a écrit:Un jour, par hasard, au détour d'un chemin poétique on vient à buter sur une âme chiffonnée....
La détresse est l'envers d'une liesse
Une liesse l'an vert d'une détresse, un jour .....
Mary
Richard.

merci mon copain de ton passage doux marie

Eschyle a écrit:La douleur est une compagne fidèle...
Elle nous prouve aussi que nous sommes vivants...

oui je suis d'accord merci monsieur d'avoir apprécié belle journée marie