Chaque minute qui passe

Chaque minute qui passe


L’express pour outre-Quiévrain
Est arrivé juste à l’heure
Et j’ai bondi dans le train
Au signal du contrôleur
Qu’il m’a paru long, ce mois
Dans la banlieue de Valence
Les jours passés loin de toi
Ne sont jamais des vacances
Je compte les kilomètres
Qu’il nous reste à parcourir
Combien de temps vais-je mettre ?
Enfin, j’esquisse un sourire :
Nous arrivons à Paris
Ici aussi, c’est l’été
Mais malgré le temps pourri,
Je me sens plein de gaieté

Chaque minute qui passe
Diminue un peu l’espace
Qui me sépare de toi
Je me rapproche du nid,
Et nous serons réunis,
Dès ce soir, sous notre toit

Je marche dans le couloir
Comme un animal en cage,
Bousculant sans le vouloir
Des compagnons de voyage
Ce train est beaucoup trop lent
Et ce trajet, bien trop long
Ce qu’on peut être impatient
Sous l’effet de la passion !
Près de moi, une fillette
Est bien plus calme que moi
Absorbée, elle feuillette
Son magazine du mois
Enfin, le Brabant Wallon
Apparaît à la fenêtre
Un peu mouillée du wagon
Déjà, je me sens renaître

Chaque minute qui passe
Diminue un peu l’espace
Qui me sépare de toi
Je me rapproche du nid,
Et nous serons réunis,
Dès ce soir, sous notre toit

l'impatience des retrouvailles comme un fourmillements des membres
il démange jusqu'au moment de délivrance !!

la passion rend impatient !

l'expression de la passion se fait expresse impatiente

lazhar a écrit:l'impatience des retrouvailles comme un fourmillements des membres
il démange jusqu'au moment de délivrance !!

hello lazhar,
merci pour ton commentaire
c'est exactement ça !
bon weekend
,
bernard

Du pur romantisme, j'aime beaucoup te lire...ça t'étonne????

arkel0 a écrit:Chaque minute qui passe


L’express pour outre-Quiévrain
Est arrivé juste à l’heure
Et j’ai bondi dans le train
Au signal du contrôleur
Qu’il m’a paru long, ce mois
Dans la banlieue de Valence
Les jours passés loin de toi
Ne sont jamais des vacances
Je compte les kilomètres
Qu’il nous reste à parcourir
Combien de temps vais-je mettre ?
Enfin, j’esquisse un sourire :
Nous arrivons à Paris
Ici aussi, c’est l’été
Mais malgré le temps pourri,
Je me sens plein de gaieté

Chaque minute qui passe
Diminue un peu l’espace
Qui me sépare de toi
Je me rapproche du nid,
Et nous serons réunis,
Dès ce soir, sous notre toit

Je marche dans le couloir
Comme un animal en cage,
Bousculant sans le vouloir
Des compagnons de voyage
Ce train est beaucoup trop lent
Et ce trajet, bien trop long
Ce qu’on peut être impatient
Sous l’effet de la passion !
Près de moi, une fillette
Est bien plus calme que moi
Absorbée, elle feuillette
Son magazine du mois
Enfin, le Brabant Wallon
Apparaît à la fenêtre
Un peu mouillée du wagon
Déjà, je me sens renaître

Chaque minute qui passe
Diminue un peu l’espace
Qui me sépare de toi
Je me rapproche du nid,
Et nous serons réunis,
Dès ce soir, sous notre toit

très beau poème, la distance fait crier le coeur et inspire l'auteur

Rita-kazem a écrit:la passion rend impatient !

hello Rita,
content de te revoir sur mes pages
merci pour le commentaire et la fleur
bon dimanche
,
Bernard

margo-julie a écrit:l'expression de la passion se fait expresse impatiente

hello margo-julie,
merci pour le commentaire
ravi du partage
bon dimanche
,
bernard

rychar a écrit:Du pur romantisme, j'aime beaucoup te lire...ça t'étonne????

hello rychar,
merci pour le compliment
non, ça ne m'étonne pas, je crois bien qu'on est assez semblables
mais ça me fait très plaisir
j'ai plus ou moins quitté un autre site de poésie parce que presque tout le monde paraissait se foutre des poèmes d'amour
,
bernard

jeanne rené a écrit:

arkel0 a écrit:Chaque minute qui passe


L’express pour outre-Quiévrain
Est arrivé juste à l’heure
Et j’ai bondi dans le train
Au signal du contrôleur
Qu’il m’a paru long, ce mois
Dans la banlieue de Valence
Les jours passés loin de toi
Ne sont jamais des vacances
Je compte les kilomètres
Qu’il nous reste à parcourir
Combien de temps vais-je mettre ?
Enfin, j’esquisse un sourire :
Nous arrivons à Paris
Ici aussi, c’est l’été
Mais malgré le temps pourri,
Je me sens plein de gaieté

Chaque minute qui passe
Diminue un peu l’espace
Qui me sépare de toi
Je me rapproche du nid,
Et nous serons réunis,
Dès ce soir, sous notre toit

Je marche dans le couloir
Comme un animal en cage,
Bousculant sans le vouloir
Des compagnons de voyage
Ce train est beaucoup trop lent
Et ce trajet, bien trop long
Ce qu’on peut être impatient
Sous l’effet de la passion !
Près de moi, une fillette
Est bien plus calme que moi
Absorbée, elle feuillette
Son magazine du mois
Enfin, le Brabant Wallon
Apparaît à la fenêtre
Un peu mouillée du wagon
Déjà, je me sens renaître

Chaque minute qui passe
Diminue un peu l’espace
Qui me sépare de toi
Je me rapproche du nid,
Et nous serons réunis,
Dès ce soir, sous notre toit

très beau poème, la distance fait crier le coeur et inspire l'auteur

hello jeanne,
merci pour le compliment

,
bernard

merci à la France pour les TGV ;-)

les amoureux sont encore plus pressés que les hommes d'affaires !

Bonjour Bernard,
Merci pour ton accueil, je suis heureuse de te lire à nouveau également.
J'ai lu ton poème et l'envie me prendre de pousser ce train pour qu'il te mène encore plus vite au bonheur
Bonne journée
Ambre

bonjour Ambre,
merci pour ton gentil message
bonne journée à toi aussi
,
Bernard