Quand vient le soir
5 participants
Page 1 sur 1
Re: Quand vient le soir
quand vient le soir
on a besoin d'un confidant-compagnon
pour partager le repos de la nuit et ses folies
on a besoin d'un confidant-compagnon
pour partager le repos de la nuit et ses folies
Najat- Nombre de messages : 1088
Date d'inscription : 14/03/2010
Re: Quand vient le soir
Merci pour le compliment, si tôt le matin sa revitalise l'encre !celui qui sait a écrit:
Grand Dieu,tu sais y voir des choses,
Moi je n'en distingue qu'anamorphoses,
En ce joli texte ne point y voir autre définition,
Cela ne serait qu'une personnelle adaptation.
Que puis-je dire?....Un .....Mais cela tu le sais déjà.
Bien à toi ami Frédo.
Bien à toi CQS. Mes amitiés
fred- Nombre de messages : 371
Date d'inscription : 06/10/2010
Re: Quand vient le soir
les mots métal fort pour graver nos ressentis et les partager !rychar a écrit:La métaphore est toute nature....Que le sommeil la rattrape qui se fendra d'une prometteuse aurore.....
mes amitiés poète.
fred- Nombre de messages : 371
Date d'inscription : 06/10/2010
Re: Quand vient le soir
davidof a écrit:De belles images...Je reste dans le vent d’une si belle nature, j’adore son air pur.
le vent porteur de voix et de graines est un charmeur qui murmure des vers à qui veut entendre
fred- Nombre de messages : 371
Date d'inscription : 06/10/2010
Re: Quand vient le soir
la nature-alliée la meilleur des muses( la pire des ennemis quand on la respecte pas )yazid anouar a écrit:belle nature-muse
le parfum de la poésie glisse naturel
sous son voile
merci pour le commentaire.
fred- Nombre de messages : 371
Date d'inscription : 06/10/2010
Re: Quand vient le soir
fred a écrit:Quand vient le soir, livrée au vent qui la caresse,
La campagne s'endort dans le lit de ses prés ;
Un cœur tendre, épanchant le désir qui le presse,
Baise ses mamelons frémissants et pourprés.
Mais la forêt, fermant sa livide paupière,
Le cil mouillé de pleurs, s'incline à l'horizon ;
Et le ruisseau plaintif, au sein de la clairière,
Accompagne en sanglots sa muette oraison.
De ses bras étendus implorant les ténèbres,
Elle rappelle à soi les frissons de clarté
Que la brise enfantait au long de ses vertèbres;
La sève et le parfum de ses fièvres d'été,
Quand le ciel lui glissait une œillade, ô merveille!
Dans l'éblouissement de l'aurore vermeille.
Grand Dieu,tu sais y voir des choses,
Moi je n'en distingue qu'anamorphoses,
En ce joli texte ne point y voir autre définition,
Cela ne serait qu'une personnelle adaptation.
Que puis-je dire?....Un .....Mais cela tu le sais déjà.
Bien à toi ami Frédo.
Invité- Invité
Re: Quand vient le soir
La métaphore est toute nature....Que le sommeil la rattrape qui se fendra d'une prometteuse aurore.....
rychar- Nombre de messages : 5906
loisirs : écriture, vélo,musique,
Humeur : rêveur
Date d'inscription : 17/03/2010
Re: Quand vient le soir
De belles images...Je reste dans le vent d’une si belle nature, j’adore son air pur.
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: Quand vient le soir
belle nature-muse
le parfum de la poésie glisse naturel
sous son voile
le parfum de la poésie glisse naturel
sous son voile
yazid anouar- Nombre de messages : 367
Date d'inscription : 29/10/2010
Quand vient le soir
Quand vient le soir, livrée au vent qui la caresse,
La campagne s'endort dans le lit de ses prés ;
Un cœur tendre, épanchant le désir qui le presse,
Baise ses mamelons frémissants et pourprés.
Mais la forêt, fermant sa livide paupière,
Le cil mouillé de pleurs, s'incline à l'horizon ;
Et le ruisseau plaintif, au sein de la clairière,
Accompagne en sanglots sa muette oraison.
De ses bras étendus implorant les ténèbres,
Elle rappelle à soi les frissons de clarté
Que la brise enfantait au long de ses vertèbres;
La sève et le parfum de ses fièvres d'été,
Quand le ciel lui glissait une œillade, ô merveille!
Dans l'éblouissement de l'aurore vermeille.
La campagne s'endort dans le lit de ses prés ;
Un cœur tendre, épanchant le désir qui le presse,
Baise ses mamelons frémissants et pourprés.
Mais la forêt, fermant sa livide paupière,
Le cil mouillé de pleurs, s'incline à l'horizon ;
Et le ruisseau plaintif, au sein de la clairière,
Accompagne en sanglots sa muette oraison.
De ses bras étendus implorant les ténèbres,
Elle rappelle à soi les frissons de clarté
Que la brise enfantait au long de ses vertèbres;
La sève et le parfum de ses fièvres d'été,
Quand le ciel lui glissait une œillade, ô merveille!
Dans l'éblouissement de l'aurore vermeille.
fred- Nombre de messages : 371
Date d'inscription : 06/10/2010
Sujets similaires
» QUAND VIENT LE SOIR
» Poésie:Charles VAN LERBERGHEp
» Quand vient la nuit...
» Quand le soir épouse la tristesse...
» Il ne vient plus ...
» Poésie:Charles VAN LERBERGHEp
» Quand vient la nuit...
» Quand le soir épouse la tristesse...
» Il ne vient plus ...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum