Entre moi et toi il y a la mer bleue

Entre moi et toi il y a la mer bleue

De mes plaies se forment les brumes
Couvrant le ciel d’une voile épaisse
Sur laquelle gravite ton âme hautaine
Pour admirer cette cité lointaine
Qui se vide tendrement de la terre
Et se débarrasse lentement de l’enfer.

Entre moi et toi il y a la mer bleue
Dans le paradis ou l’enfer, on est deux,
La vie a besoin de la chaleur d’une main,
Dans la mort germe l’esprit vilain,
Le jour se lève dans l’éclat de ton sourire
Et se rafraichit par un doux zéphyr.

Épuisé d’être deux fois moi-même
Sous le regard perçant d’une femme,
Qui encourage toujours ce grand maitre,
À lapider et emprisonner mon être,
En la balançant entre le miel et le fiel
D’un gouffre à l’abri du soleil.

Dad Allaoua

Dad Allaoua a écrit:Entre moi et toi il y a la mer bleue

De mes plaies se forment les brumes
Couvrant le ciel d’une voile épaisse
Sur laquelle gravite ton âme hautaine
Pour admirer cette cité lointaine
Qui se vide tendrement de la terre
Et se débarrasse lentement de l’enfer.

Entre moi et toi il y a la mer bleue
Dans le paradis ou l’enfer, on est deux,
La vie a besoin de la chaleur d’une main,
Dans la mort germe l’esprit vilain,
Le jour se lève dans l’éclat de ton sourire
Et se rafraichit par un doux zéphyr.

Épuisé d’être deux fois moi-même
Sous le regard perçant d’une femme,
Qui encourage toujours ce grand maitre,
À lapider et emprisonner mon être,
En la balançant entre le miel et le fiel
D’un gouffre à l’abri du soleil.

Dad Allaoua

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] j'aime ce poème qui a l'air d'une plainte

Dad Allaoua a écrit:Entre moi et toi il y a la mer bleue

De mes plaies se forment les brumes
Couvrant le ciel d’une voile épaisse
Sur laquelle gravite ton âme hautaine
Pour admirer cette cité lointaine
Qui se vide tendrement de la terre
Et se débarrasse lentement de l’enfer.

Entre moi et toi il y a la mer bleue
Dans le paradis ou l’enfer, on est deux,
La vie a besoin de la chaleur d’une main,
Dans la mort germe l’esprit vilain,
Le jour se lève dans l’éclat de ton sourire
Et se rafraichit par un doux zéphyr.

Épuisé d’être deux fois moi-même
Sous le regard perçant d’une femme,
Qui encourage toujours ce grand maitre,
À lapider et emprisonner mon être,
En la balançant entre le miel et le fiel
D’un gouffre à l’abri du soleil.

Dad Allaoua

Mer de vers agréable [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Bonsoir Nadia Ibrahimi
Merci de votre lecture et de votre joli commentaire
Je suis très heureux que ma poésie vous plaise, vos encouragements me vont droit au cœur et votre gentillesse embellit ma poésie.
Très bonne soirée
Amicalement
Allaoua