Patrick BERTA FORGAS
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Patrick BERTA FORGAS
Patrick BERTA
FORGAS
Les dictatures du
paradis
Patrick Berta Forgas n’en est pas à son premier recueil, je
vous conseillerai la lecture de Graffitis d’ogre (éditions de
l’Harmattan) et de Chœur des continents (aux éditions Les Cahiers
de l’Égaré, préface de Alexandre Tsakanikas-Analis) où déjà toute la puissance
de la poésie de ce poète est évidente. Ici, dans La dictature du
paradis, le recueil est composé de douze poèmes plus ou moins longs qui
crient, questionnent, viennent caresser des espoirs et les rêves de l’enfant
:
L’écriture déroule
une poésie où l’auteur exprime des images fortes avec, tel un métalangage,
l’expression du cri ou de la révolte du poète.
Un vent de poésie
souffle fort en ce recueil, nous entraînant lecteur dans une réflexion
continuelle à propos de ce qui est dit. On y sent les étendues de sable,
expression de la révolte réfugiée, l’oubli des peuples de tout un continent :
l’Afrique ; des peuples démunis et peu vêtus. On y entend un homme debout qui
cherche à exorciser ses douleurs en les nommant, en les écrivant, en un choix de
mots qui rend le poème à la fois simple à lire et, dans le même temps, si plein
que l’esprit arrête la lecture pour profiter pleinement de ce qui est lu. On en
sort conquis et traversé de pensées qui font que la lecture continue après avoir
refermé le recueil.
Gilbert Desmée
(12/05/09)
FORGAS
Les dictatures du
paradis
Patrick Berta Forgas n’en est pas à son premier recueil, je
vous conseillerai la lecture de Graffitis d’ogre (éditions de
l’Harmattan) et de Chœur des continents (aux éditions Les Cahiers
de l’Égaré, préface de Alexandre Tsakanikas-Analis) où déjà toute la puissance
de la poésie de ce poète est évidente. Ici, dans La dictature du
paradis, le recueil est composé de douze poèmes plus ou moins longs qui
crient, questionnent, viennent caresser des espoirs et les rêves de l’enfant
:
De Mauritanie aux Somalies, les maladies me font des enfants morts ! Jamais seul mais solitaire, j’empreinte la terre de mon jet d’âme. L’arc-en-ciel est un menteur : le sang est rouge ! |
L’écriture déroule
une poésie où l’auteur exprime des images fortes avec, tel un métalangage,
l’expression du cri ou de la révolte du poète.
L’exemple du corps est une preuve vivante qui dérange la mort. J’ai de l’est, de l’ouest et surtout du sud les peuples de mes douleurs Un rire d’enfant et il me reste une page blanche. |
Un vent de poésie
souffle fort en ce recueil, nous entraînant lecteur dans une réflexion
continuelle à propos de ce qui est dit. On y sent les étendues de sable,
expression de la révolte réfugiée, l’oubli des peuples de tout un continent :
l’Afrique ; des peuples démunis et peu vêtus. On y entend un homme debout qui
cherche à exorciser ses douleurs en les nommant, en les écrivant, en un choix de
mots qui rend le poème à la fois simple à lire et, dans le même temps, si plein
que l’esprit arrête la lecture pour profiter pleinement de ce qui est lu. On en
sort conquis et traversé de pensées qui font que la lecture continue après avoir
refermé le recueil.
Gilbert Desmée
(12/05/09)
nadia ibrahimi- Nombre de messages : 1223
Date d'inscription : 18/07/2008
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