Le vent m'emporte...!

Je vais là, où le vent m’emporte
En quête de silence et d’espoir
Sous les hauts palmiers,
Heureux comme la pluie
Qui inonde le temps,
Berce et asperge la terre
Pour la parer de multiples teintes
J’hume ses gouttes fraîches
Qui rafraîchissent mes peines
Tel ce geste auguste de cette main
Blanche qui effleure à peine
Mes cheveux gris parsemés de neige,
Apaise mes maux et mes tourments
Le vent qui m’emporte souffle
Mes bougies éteintes et les rallume
Un violon, de loin, frémit
Pareil à un bal masqué
Les arbres, les roses, et les lavandes
Se mirent à danser le bleus
Les étourneaux, les canaris et les alouettes
Chantèrent et fredonnèrent
Mon chant qui s’éveille
Que le vent m’emporte… Toujours… !

Momor a écrit:Je vais là, où le vent m’emporte
En quête de silence et d’espoir
Sous les hauts palmiers,
Heureux comme la pluie
Qui inonde le temps,
Berce et asperge la terre
Pour la parer de multiples teintes
J’hume ses gouttes fraîches
Qui rafraîchissent mes peines
Tel ce geste auguste de cette main
Blanche qui effleure à peine
Mes cheveux gris parsemés de neige,
Apaise mes maux et mes tourments
Le vent qui m’emporte souffle
Mes bougies éteintes et les rallume
Un violon, de loin, frémit
Pareil à un bal masqué
Les arbres, les roses, et les lavandes
Se mirent à danser le bleus
Les étourneaux, les canaris et les alouettes
Chantèrent et fredonnèrent
Mon chant qui s’éveille
Que le vent m’emporte… Toujours… !

Qu'il en soit fait ainsi : Autant en emporte le vent,
Trainant dans son sillage mon bagage de sentiments,
On ne sait d'où il vient ni où il va,il n'est point matiére,
Il est le parchemin odorant des effluves de notre terre.

Bon voyage dans ce train qui n'a nulle gare pour se reposer.

Merci Celui qui sait! Mon voyage s'arrête là où règne la paix et la quiétude!

Momor a écrit:Merci Celui qui sait! Mon voyage s'arrête là où règne la paix et la quiétude!

Alors ce n'est point un voyage terrestre que tu veux entreprendre.

Au ciel béni m'a été donné un ange,
M'enmenant dans un voyage étrange,
M'ouvrant les cieux pour me montrer,
Un Eden pour quiétude me vautrer.

Monter le vent
Et galoper le long des chants
Fredonner les mélodies souvent
Oubliés à causes des soucis du quotidien

Merci pour vos commentaires...!

la paix dans l'âme
toujours espérée
la plaie dans l'âme
un jour refermée ?
Comme si tu n'avais droit qu'à de frêles éclaircies
Pour calmer de temps à autre la douleur infinie
te faire miroiter
ce que tu penses ne jamais posséder

le vent nous emporte toujours là où l'on doit se trouver, ou se retrouver un jour, face à soi-même. La quète intérieure est le plus magique voyage qui soit car on embellit ce qui n'était que nostalgie, et gomme ce qui nous faisait si mal il n'y a pas si longtemps
et dans tout ça rester un homme, une femme, debouts.