Les eaux

par lecoloc Jeu 6 Jan - 16:16

Les eaux

Les eaux se sont inversées lorsque je suis né
Un tourbillon de conscience m'a enlevé
Un cloître intérieur de magie
Là où les entités se contentent d'exister
Y'a pas de loi ni de misère dans ce monde où je vis
Ni aucune ADN pour t'identifier
Je suis nobody de sens et de langue
De culture ou de couleur, ni d'épices ni de rentes
Que d'y être tout au fond de mon intérieur
Et d'apprécier

Les vents me racontent beaucoup plus que des feuilles
Un papy russe me parle dans ses rêves
D'une vie où tu laisse mourir tes sœurs et tes frères
Un Ché de garde, pour les rêves incompris
Et "gouverner" par la police de leurs peurs
Qu'ils vénèrent pour être certains de respirer un "atmosphère"
Le courant qui poursuit son propre courant
Et qui coure, et qui coure encore

Les eaux au travers leurs histoires me font voir
Le vent disperse la nuit et fait naître la tempête
Alors, tu vois pourquoi j'ai de plus en plus le goût d'y croire
Et de me lever le matin et d'y voir
Juste quelques secondes avant que ça ne tombe sur me tête
Elle est intense cette Boule, parfois désolante dans sa fureur
Mais lorsqu'elle t'habite, tu reste en elle, malgré les millions de douleurs
Et qui coure, et qui coure encore…

ColOc

par Invité Jeu 6 Jan - 17:11

Cours,cours pour le temps que cette boule existe,
Mais signes avant-coureurs sont trés alarmistes,
Alors tu seras esprit du trés saint ou vil incube,
Dans un univers reconditionné en façon tube.

Bien à toi.

par **davidof** Jeu 6 Jan - 17:44

lecoloc a écrit:
Les eaux

Les eaux se sont inversées lorsque je suis né
Un tourbillon de conscience m'a enlevé
Un cloître intérieur de magie
Là où les entités se contentent d'exister
Y'a pas de loi ni de misère dans ce monde où je vis
Ni aucune ADN pour t'identifier
Je suis nobody de sens et de langue
De culture ou de couleur, ni d'épices ni de rentes
Que d'y être tout au fond de mon intérieur
Et d'apprécier

Les vents me racontent beaucoup plus que des feuilles
Un papy russe me parle dans ses rêves
D'une vie où tu laisse mourir tes sœurs et tes frères
Un Ché de garde, pour les rêves incompris
Et "gouverner" par la police de leurs peurs
Qu'ils vénèrent pour être certains de respirer un "atmosphère"
Le courant qui poursuit son propre courant
Et qui coure, et qui coure encore

Les eaux au travers leurs histoires me font voir
Le vent disperse la nuit et fait naître la tempête
Alors, tu vois pourquoi j'ai de plus en plus le goût d'y croire
Et de me lever le matin et d'y voir
Juste quelques secondes avant que ça ne tombe sur me tête
Elle est intense cette Boule, parfois désolante dans sa fureur
Mais lorsqu'elle t'habite, tu reste en elle, malgré les millions de douleurs
Et qui coure, et qui coure encore…

ColOc