Femme... je vous admire.

Vous, lueur de désir libidinale,
Votre ondoiement magistral
M’emplit d’euphories délectables
Que je contre de moyens affables.

Cette impudeur de ma verdeur vénielle
Lorgne vos radieux et foisonnants atours
M’offrant ce faste joyau à l’orée du jour,
Flambeau dans ma noirceur perpétuelle.

Votre galbe meut ma prosaïque réalité
Vers l’univers du reflet de futilités,
Charmantes voluptés sensorielles
Soyez ma kyrielle de félicités torrentielles.

Je n’aspire qu’être l’incarnation de votre émir.
Ô malheur ! Le portail de mon palais reste clos ;
Captif de ma sagesse, je m’égosille de ce sanglot
Femme devant moi, sachez que je vous admire.

Un poème comme un reflet...(sourire)
Vive les femmes, même celles que l'on ne peut que regarder....
Amitiés

rychar a écrit:Un poème comme un reflet...(sourire)
Vive les femmes, même celles que l'on ne peut que regarder....
Amitiés

Elle
est le soleil et la lune
la terre et le vent
sans elle que feroçns nous ?
même la poesie ne serait poésie sans elle
bien à toi richard.

merci à vous pour ce poème
Bonne année
amicalement
benino

comment peu-ton ne pas aimer nos muse-flamme-soleil ?
bonne fin de semaine et bon début de l'année2011