Sept ans d'histoire...solitude...et...(avril 1999)
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Sept ans d'histoire...solitude...et...(avril 1999)
Un pastis, ce p'tit goût d'anis
Avec de l'orgeat, c'est plus sympa
On pourrai danser la samba
Penser au bonheur et oublier les sévisses
Sévisses d'un passé trop souvent présent...(aïe...bobos...!)
Une absence, mais un sentiment sans précédent
De grand vide et pourtant de liberté
Un esclavage caché mais tellement ressenti
Et qui aujourd'hui,est fini
Soit : quelle sensation de bien-être retrouvée...
Un bien-être mais un vide à l'intérieur
Un trou noir au milieu du coeur
Un manque de câlins certain
De caresses, de tendresse, mais pas de baratin...
Et soudain, un réconfort partagé, une douceur proche de l'innocence,
Des petits mots doux comme dans notre enfance
Et tout va mieux, c'est le bonheur
Même si cela ne dure que quelques heures :
C'est si difficile de limiter son amour
Quand on voudrait qu'il dure toujours...
Mais non, je ne veux plus que tu me laisses
pourquoi, ainsi, après ces instants intenses, tu me délaisses ?
Est-ce que ça te suffit ces câlins-tendresse d'une nuit
Une fois dans les nuées et l'on se quitte sans bruit ;
Ne penses-tu pas que j'en souffre, moi,
Car moi, oh oui !...Je crois que je ne fais que cela
Tant pis, c'est en pure perte, mais je n'y peux rien,
C'est comme ça que je vis, même si je ne le vis pas si bien...
Avec de l'orgeat, c'est plus sympa
On pourrai danser la samba
Penser au bonheur et oublier les sévisses
Sévisses d'un passé trop souvent présent...(aïe...bobos...!)
Une absence, mais un sentiment sans précédent
De grand vide et pourtant de liberté
Un esclavage caché mais tellement ressenti
Et qui aujourd'hui,est fini
Soit : quelle sensation de bien-être retrouvée...
Un bien-être mais un vide à l'intérieur
Un trou noir au milieu du coeur
Un manque de câlins certain
De caresses, de tendresse, mais pas de baratin...
Et soudain, un réconfort partagé, une douceur proche de l'innocence,
Des petits mots doux comme dans notre enfance
Et tout va mieux, c'est le bonheur
Même si cela ne dure que quelques heures :
C'est si difficile de limiter son amour
Quand on voudrait qu'il dure toujours...
Mais non, je ne veux plus que tu me laisses
pourquoi, ainsi, après ces instants intenses, tu me délaisses ?
Est-ce que ça te suffit ces câlins-tendresse d'une nuit
Une fois dans les nuées et l'on se quitte sans bruit ;
Ne penses-tu pas que j'en souffre, moi,
Car moi, oh oui !...Je crois que je ne fais que cela
Tant pis, c'est en pure perte, mais je n'y peux rien,
C'est comme ça que je vis, même si je ne le vis pas si bien...
miss Béa- Nombre de messages : 3641
loisirs : mes enfants, écrire, tv, amis...
Humeur : calme, posée, indépendante, un peu mélancolique, mais joyeuse quand même!
Date d'inscription : 18/11/2009
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