Je te regrette

De la solitude aux problèmes dérivés.
La jalouse folie de toi m’a enivrée,
A vouloir ta présence instable, doux poison !
Te voir, te posséder, accoudé aux cloisons.

Plaisir égoïste du collectionneur
Comme des bijoux s’égrenaient les lentes heures
Lorsque tombe la lame des froides vengeances :

Il t’exil; maître du Jeu, puits d’indifférence
Je te regrette, fielleuse, et me demandais
Si tu avais apprécié ces instants volés

Certains regrets font mal et continuent à cisailler la mémoire tout le long de la vie...
Amitiés
BTT

étouffer l'autre
le priver d'une certaine marge de liberté au nom de l'amour
risque de tout casser

Ces instants empruntés, il les a surement appréciés....mais la jalousie est froide qui éloigne la douceur de l'émoi....
un vérité,

kathy-ben a écrit:De la solitude aux problèmes dérivés.
La jalouse folie de toi m’a enivrée,
A vouloir ta présence instable, doux poison !
Te voir, te posséder, accoudé aux cloisons.

Plaisir égoïste du collectionneur
Comme des bijoux s’égrenaient les lentes heures
Lorsque tombe la lame des froides vengeances :

Il t’exil; maître du Jeu, puits d’indifférence
Je te regrette, fielleuse, et me demandais
Si tu avais apprécié ces instants volés

la jalousie mauvaise lame...elle aveugle le coeur.

BIR TAM TAM a écrit:Certains regrets font mal et continuent à cisailler la mémoire tout le long de la vie...
Amitiés
BTT

vous dites vrai
merci de l'échange

davidof a écrit:étouffer l'autre
le priver d'une certaine marge de liberté au nom de l'amour
risque de tout casser

vous avez vu juste
ce n'était pas volontaire
j'ai fini par tout perdre

Le soleil continu de se lever
La lune ne vous surprendra plus
La raison a toujours raison
L'oubli
Prend la route
Un jour ou l'autre

Un temps rageur
Sorti de nulle part
Un soupir sincère
Annonce le départ
Vers le silence honni
Qui peut abrutir.

Un geste, un mot, un acte
Et tout bascule vers un destin incertain
Perdre les repères, se caler dans la carence…
Le coeur prend faim devant une telle fin

kathy-ben a écrit:
...
Il t’exil; maître du Jeu, puits d’indifférence
Je te regrette, fielleuse, et me demandais
Si tu avais apprécié ces instants volés

C’est le cas, laisse-moi conserver au fond de moi
Dans la douleur
Dans le bonheur
Ce souvenir de ce qui aurait pu être Toi, être moi
Et préserve à jamais dans tes sens, ton cœur,
L’essence de mon élixir qui avait distillé tes premières peurs…

Rita-kazem a écrit:
la jalousie mauvaise lame...elle aveugle le coeur.

aucun sentiment ne se commande ou se commende
ni l'amour ni la jalousie
les deux blessent....

Nous brûlons nos peines et nos larmes inlassables,
Nos êtres transportés dans l'absence
Délaisseront la les mots immuables,
Le souvenir douloureux de nos passions s'anéantirait
Nos rires et notre bonheur r
Ne résonneraient que dans nos memoires

...pour toi ces mots de mes maux ...

kathy-ben a écrit:

Rita-kazem a écrit:
la jalousie mauvaise lame...elle aveugle le coeur.

aucun sentiment ne se commande ou se commende
ni l'amour ni la jalousie
les deux blessent....

les deux blessent...c'est vrai...bonne continuation et meilleurs vœux

je te fais remonter vers la lumière espérant te revoir

j'ai reçu le message et me revoilà.enfait je n'ai jamais vraiment quitté