Figée

joliment écrit...
La mélancolie cruelle compagne semble guider ta plume...

j'entends siffler la Symphonie de ton cœur solitaire
que l’amertume des sens n'a pas réussi à calmer
belle plume.............bize.

belle entrée !
l'abysse n'est là, pourtant
ni profond, ni béant.
la vie tend les bras!
à pas, feutré, le coeur renaitra
bienvenue.

angelina Charles a écrit:

Les souvenirs me rejoignent
M’assaillent,
Me rejettent
Ma vie défile
Scènes muettes
Que le temps fouette
Je fais la part de ce qui s’en va
Et de ce qui reste
Je regarde en arrière
Et je vois pour la dernière fois
Ces statues de sel
Figées dans leurs ultimes gestes...

Telle la femme de Loth,je me suis retournée sur Sodome et Gomorrhe,
Pour ne point avoir pu,la vie cette ingrate ne me donne que son âcre sel,
Mes espérances d'hier se meurent en mon aujourd'hui sous une triste aurore,
Et je suis perdue,ignorée dans la ronde infernale d'un bien vilain carrousel.

Bien à toi.

celui qui sait a écrit:

Telle la femme de Loth,je me suis retournée sur Sodome et Gomorrhe,
Pour ne point avoir pu,la vie cette ingrate ne me donne que son âcre sel,
Mes espérances d'hier se meurent en mon aujourd'hui sous une triste aurore,
Et je suis perdue,ignorée dans la ronde infernale d'un bien vilain carrousel.

Bien à toi.

aussi loin que nos pensées portent nos rêves les plus subtiles; le temps décompose
nos attentes et nous marque indélébile.
merci pour votre lecture intéressante.

kathy-ben a écrit:belle entrée !
l'abysse n'est là, pourtant
ni profond, ni béant.
la vie tend les bras!
à pas, feutré, le coeur renaitra
bienvenue.

d'un tourbillon à l'autre, les larmes nous emportent
sur les berges d'une âme plus ou moins morte
où l'automne frappe à la porte de la vie, on se sent lésé, on ressent le coté éphémère des jours et des espérances .

cristopher-cris a écrit:j'entends siffler la Symphonie de ton cœur solitaire
que l’amertume des sens n'a pas réussi à calmer
belle plume.............bize.

l'âme se veut de bonne volonté mais la patience n'est plus ;
l'âme endeuillée, le coeur aussi
il s'est desséché aux vents de l'indécis,
les espoirs absorbés par le froid des nuits,
merci de ton passage.

rychar a écrit:joliment écrit...
La mélancolie cruelle compagne semble guider ta plume...

les peines arides de l'inconscience,
le cœur fiévreux rêve de jardin
qui jouxte l'éden gracieux .
merci pour le lecture.

kathy-ben a écrit:belle entrée !
l'abysse n'est là, pourtant
ni profond, ni béant.
la vie tend les bras!
à pas, feutré, le coeur renaitra
bienvenue.

Bonjour Kathy. Bonjour à tous. Bonjour le cite.