C'est écris...

Je l'attendrai en haut d'une tour,
Ou se lamentent nuit et jour les solitaires.
Quant ils fuiront, je saurai que le jour
Est là ! ressonnant des pas de celle que j'espère.

Je la reconnaitrai à ses rayons de soleil,
Au vent fou de ses cheveux soyeux.
Je la reconnaitrai aux profondeurs de ses merveilles,
Au rayonnement outrageux de ses yeux.

Je fermerai mes paupières, elle me prendras la main,
Je ne marcherai plus tête nue face au néant.
Sur ses sentiers ruisselant d'odeurs de matins,
Je me laisserai aller au chagrin bienfaisant.

Complice de son soleil mes sens mûrissent,
Celle de la patience laiteuse des fruits.
Mes froides mains lentement refleurissent,
Et deviennent brulantes, carressantes sans bruit.

Je l'attendrai nuit et jour pour que le rêve soit réalité,
Poursuivi par mes nuit blanches, barrées de persiennes.
Tapi sous mon hombre, patience; je t'apprendrai,
Afin que nos songes s'entrecroisent et nous appartiennent

semble s'enfuir
le bonheur
sur les ailes brisées de l'entente,
quand un désespoir plane sur nos cœurs
que surgit comme d'un éclair le rêve divin,
la lumière qui nous redonne des ailes nouvelles,
faut s'accrocher à plein coeur et ne pas baisser les bras
Bon retour à toi.