Comme un cri

Comme un cri dans ce mouroir
Ou les âmes perdues s'enlisent
Je voudrai chanter la gloire
De la vie à tout point, s'enfuit

Elle s'isole dans la triste insolence
Qui fusionne dans le cri du dernier corbeau
Il porte le message, et regarde vers les cieux
Ho Dieu que ton peuple perd la foi

D'une lumière à peine fendue
Par le glaive de l'archange
Honorons de clarté ce savoir du temps
Vivre en confiance et chasser les doutes

Comme un cri dans ce mouroir
Ou le voile sombre guette ses proies
Je lance le verbe d'une indicible foi
Prier et aimer comme un cri d'émoi

JMB

Mais la priére n'est-elle point que fumée d'encens?
Envers des Dieux aux éternels abonnés absents,
Si le verbe c'est fait chair pour engendrer notre race,
Pourquoi aux hommes ne montre t'il point sa face?

L'espérance reste le placébo du désespéré.

Un bien joli texte.....J'ai médité aux souffles de la grande faucheuse.

Bien à toi.

Pourquoi l'être s'évertue-t-il à croire que Dieu prendra sa place parmi lui? il a été créé par la vie et doit suivre sa vie. Il doit accepter tout ce que lui même crée, pas Dieu, lui en propre et au figuré. Si l'être est conquérant envers les autres, c'est bien lui qui abuse du pouvoir désiré pâr lui. L'être ira vers sa perte à croire toujours que les autres sont responsables de son propre venin. Le serpent de la création est en lui, il lui reste à choisir sa voie la lumière ou l'obscurité. Dieu récolte et il ne nourrit pas.

Dieu et Diable sont synergie.....Rien ne se faisant sans l'autre.
C'est ce que je définie comme étant la loi des vases communiquants.Nous pourrions philosopher un longtemps.....Sur d'invibles éléments.Bien à toi.Ah!Fichu cartésianisme.

Comme un cri d'existence !
Vouloir comprendre nous fait-il perdre du temps
Ou faire naître des extrapolations,
Qui perturbent les raisons,
Sans nécessairement faire des contents.

Les feux et les feuilles d’espoir
Camouflés dans les prés du poème
Se mêlent jusqu’au fond
Dans la chair des mots
A l’horizon rêvé…d'un cœur ouvert à la vie.

j'aime les dernière vers du poème
ça porte l'espoir en la foi seul paix pour l'âme et l'esprit.

La vie est une succession de doutes et de tentations. Dans ce texte, je voyage avec eux mais je ne succombe pas, car la foi anime la volonté de ne pas céder.
Cela n'empêche pas l'être de marcher sur les bords du précipice, en conscience de la réalité. Chacun de nous connait les baisses de moral, les illusions qui s'enfuit. La lumière de la foi, nous porte vers l'espérance et la lumière. Mais aussi le texte s'ouvre sur la notion d'amour. Certains n'ont peut être plus en eux la foi en Dieu. Ils peuvent avoir la foi en la vie, en ces vertus qui les guides aussi.
La vie est universelle et les certitudes ne sont pas toujours bonnes conseillères. Il faut puiser dans le diversité la seule richesse encore positive de ce monde , l'amour et chacun se rapprochera de l'autre malgré des chemins différents

Un écrit qui met en avant ta foi...
la vie est parfois une succession de vertiges...
aimer l'autre pour mieux s'aimer et mieux aimer l'autre...s'échanger ce Dieu point charnel mais en chacun de nous...notre mission...point omission!
amicalement