En coquille de mots

En coquille
Ne peut vivre la poésie
Bien au fond du silence
En sombres coloris
Cachant larmes amères…

Au cœur de la coquille
Elle enferme les maux
Quand les vagues vacillent
Tétanisant les mots…
Sans aucun drame
Réussissant
Entre les temps…

La jolie poésie
Gagnant les cœurs
Facilement
Naturellement…

Et les images
Tiennent les rivages
Les gens se bernent
En balivernes…

Les vers noirs vagabondent
Ils se correspondent
Ils reviennent sans fin
Tuer les parchemains

que votre comm est profond et inteligent!
l'image des mots-coquillages est fort belle. je vous remercie pour cette belle lecture que vous me faites .

Les mots doivent quitter les coquilles pour respirer. c'est notre rôle de les faire sortir et faire des ballades avec eux dans le jardins des muses.

les mots sont là pour éveiller, non pour galvauder...
il faut les utiliser à bon escient au fil des chuchotements de nos âmes...
amicalement

moussa m'bekki a écrit:Les mots doivent quitter les coquilles pour respirer. c'est notre rôle de les faire sortir et faire des ballades avec eux dans le jardins des muses.

l'impression des rêves nous vient avec le fait d'écrire
partir au loin, matérialiser une quête infinie de vers en vers.
rechercher en vain, se perdre en les mots pour un but indéfini.
c'est la poésie chemin de l'errance douce......bien à vous tous .

rychar a écrit:les mots sont là pour éveiller, non pour galvauder...
il faut les utiliser à bon escient au fil des chuchotements de nos âmes...
amicalement

pourquoi sont-ils accompagnés de souffrance, nos écrits?
créer une fin, une nouvelle naissance...refaire le monde à notre image?
le poète tire son courage dans l'espoir et dans l'encre.
bien à vous poète. merci pour le partage dynamique.

Délivrance sont les mots cris
Fragrance légère d"écrit
De l'Amour son muse
À caresse de velours
Les mots brûlants osent se lover.
Prennent, dominent
Tous ardents qu'ils sont
Les vers
Danse enivrante
Ils gardent leur âme pour toujours