La fin du début
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La fin du début
Quatre lignes de lumière au lointain,
Une grosse volute de fumé noire s'y joint.
Sortie de nul part, elle s'étend et gâche ma tranquillité.
Pourquoi ce nuage austère vient-il pourrir ma volupté ?
Il est six heure, c'est le temps, début de sa course,
Incompréhension, pleures, condamnation, j'ai la frousse.
Inexorablement le soleil poursuit son ascension infini,
Le ciel; rose-rouge couleur de tes lèvres endormies.
L'aube s'enflamme, je tressaille, je me met au garde à vous,
Un frissonnement m'enlace, c'est le dernier quart pour nous.
Les colorations évoluent, les forment se griment,
Tout comme notre histoire, qui se termine.
Le vert, comme la mer et son reflux,
L'orange, comme le feu brulant à ses débuts.
Peu à peu le ciel montre sa couleur indigo,
Clarté céleste, celle d'un jour nouveau.
Pendant que la boule rayonnante s'élève,
Je réalise que c'est toi que ce jour m'enlève.
Mon cœur palpite à la fois triste et étonné,
Je me sent si seul, triste... sans être abandonné.
Ô jour faste, Ô ciel étincelant,
Puisse tu me donner la force d'apprécier cet instant.
Malheurs, d'un cœur consumé, cendres noires,
Bonheurs, de ta grandeur saisissante, pleine d'espoirs.
Vivre la honte de t'avoir perdu, déesse luminescente,
Survivre, marcher vers d'autres lueurs incandescentes,
Rondeurs, ardeurs, couleurs, douceurs, chaleurs...
Avec moi, isolé, le jour s'est levé, je vais partir,
Maintenant, c'est sur, je n'ai plus rien a te dire.
Une grosse volute de fumé noire s'y joint.
Sortie de nul part, elle s'étend et gâche ma tranquillité.
Pourquoi ce nuage austère vient-il pourrir ma volupté ?
Il est six heure, c'est le temps, début de sa course,
Incompréhension, pleures, condamnation, j'ai la frousse.
Inexorablement le soleil poursuit son ascension infini,
Le ciel; rose-rouge couleur de tes lèvres endormies.
L'aube s'enflamme, je tressaille, je me met au garde à vous,
Un frissonnement m'enlace, c'est le dernier quart pour nous.
Les colorations évoluent, les forment se griment,
Tout comme notre histoire, qui se termine.
Le vert, comme la mer et son reflux,
L'orange, comme le feu brulant à ses débuts.
Peu à peu le ciel montre sa couleur indigo,
Clarté céleste, celle d'un jour nouveau.
Pendant que la boule rayonnante s'élève,
Je réalise que c'est toi que ce jour m'enlève.
Mon cœur palpite à la fois triste et étonné,
Je me sent si seul, triste... sans être abandonné.
Ô jour faste, Ô ciel étincelant,
Puisse tu me donner la force d'apprécier cet instant.
Malheurs, d'un cœur consumé, cendres noires,
Bonheurs, de ta grandeur saisissante, pleine d'espoirs.
Vivre la honte de t'avoir perdu, déesse luminescente,
Survivre, marcher vers d'autres lueurs incandescentes,
Rondeurs, ardeurs, couleurs, douceurs, chaleurs...
Avec moi, isolé, le jour s'est levé, je vais partir,
Maintenant, c'est sur, je n'ai plus rien a te dire.
doyoudordv- Nombre de messages : 125
loisirs : cinéma, natation, écriture, art plastique
Humeur : bonne
Date d'inscription : 16/08/2010
Re: La fin du début
quel déchirement !
un cri venant des profondeur comme un coucher sanglant.
BRAVO pour cet écrit
un cri venant des profondeur comme un coucher sanglant.
BRAVO pour cet écrit
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
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