Les rubans d'amour

Elle était princesse coloriée

Et elle mettait des brochures pour ses sein pétales.

Là bas dans sa chambre, tout est aveugle à son charmant sourire.

Et elle commence le matin, pensant aux marionnettes,

les joies des rires dans ses fêtes.

Elle cherchait un manieur de papillons

pour lui faire entendre son tourbillon



Et moi j'étais servant dans sa famille

je prépare des fleurs de tables, je compte le nombre d'aiguilles

je souri aux perroquets de la princesse

je lave mes mains tous les soirs.

elle ne se marie pas d'un porteur de serviettes



Un jour,

je lui mettait des rubans pour mesurer sa robe.

ma manière de l'entamer a secoué sa ruse

elle me charme des fleurs autour de son cou.

je lui dit: "ta peau au cou manque d'afflots"

elle sépare son oreille de ses cheveux.

elle me disait: "voilà, on se regarde. ton rouge éclat, me fui tant de fois.."

je lui mettait une violette au cou.

je serre une abeille qui mourut, près de son oreille.

Je lui parle des femelles des oiseaux,

qui ont volé lointain cherchant un autre monde,

et finalement elles ont été secouru par un aigle tendre.

"tu crois que l'aigle était fou?"

"non, je l'adore. mais il n'est pas beau."



Je me trouve un caillou dans le sable

je lui laisse décider de ma mort pour finir l'affaire.

ses amis les légendaires voleuses de désir.

lui ont fait remarqer que c'était fou de naitre un ombargot.

Elle me jettait des cris pour venir,

lui tenir descendre les escalier.

"vas-tu encore m'obéir?"

"je cherche à te rendre forme.. un beau souvenir"

"tu as gâté tes soeurs?"

"Non, t'es minable.. tu formes des nids. puis tu tue les mères."



A ce point,

l'apparente nérvosité, a rétréci sa beauté.

elle me jettes des odeurs,

elle me fait du mal pour que je pleure,

elle soutiens les autres et me marquait d'ardeur.

je lui dit:"ton nez a grossit!"

ses larmes coulent fondant son âme.

"tu m'as jeté. Pourquoi tu me parles ainsi?"



Pendant des saisons d'été, elle a pu être fiancée, puis elle abolit.

elle traine encore écrasée.

je lui dit:"tu aimes tenir ces chapeaux?"

"oui; y a pas de pourquoi."

dans un instant dormant, le chapeau qui a caché ses larmes,

nous a trainé dans un acte ferme.

elle sentait les baisers relachée.

elle souri qu'elle a aimé être avalée.

en faisant douceur et quelques jouets de bonheur.

on s'est appris à donner des contes.

elle me priait que je chante.

elle souriait toute à moi, elle me gâte.

on dorme et on flotte,

on fait la couse vers l'avant et droite.

tout ce qui est fer me rappelait,

que l'on avait tendu nos mains..

embellis d'amour.. et de toutes nos dettes...

Bonjour Hichem,

Ouf, ce conte finit bien, car tout un chacun sait que l'habit ne fait pas le moine et particulièrement en amours et la méchanceté orale en source de rangs différents ne résignera pas pour autant le coeur amoureux...Et pour preuve, l'amour a triomphé des dédales de circonstance...et pourvu que ça dure...
(ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants...)

Bisou.

Béa