L'élève éhonté
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L'élève éhonté
L'élève en compagnie de sa copine, mais elle était amoureuse d'un homme divin.
L'élève a estimé qu'il méritait un coup,
Sa lave des yeux n'était pas faite de peau.
Sa copine filant vers les brumes a endurci ses lunettes, elle s'est portée à son sabot.
Dans la nuit, il était calme, il a pu pomper ses chaussettes et ses rameaux,
Atteinte à une creusée du ventre, la lame d'acier lui a déchiré la peau.
En compte d'un souffle,
Les changeantes personnes étouffent,
Qu'ils ont saboté les larmes,
Qu'ils ont méprisé la route.
Et même à minuit, il était couronné de pions,
Il insiste pour tirer sur la reine,
Il a avalé le ciel,
Son don lui paraît mineur.
Les tempêtes ont évacué les gadgets et feuillages de la route,
On était tous émerveillés par l'élève, lorsqu'il se mettait en route.
Les feuillages ont transpiré, ils n'auront plus une goutte,
Ils friraient comme un hêtre, ils mâcheraient leur morphe au logis,
Ils se battraient, l'élève dériverait de la route…
Il a paru, pendant un instant, qu'il était amer,
Que sa mère l’avait doté d’yeux très nets,
Mais par la rue, elle, a divulgué que son petit-fils aimait sans doute.
Elle portait son sac en larmes, et elle cherchait de qui était-ce la faute,
Elle a dû être couronnée d'invités, la priant ne pas l'enterrer, sans doute.
L'élève écrémé d'un talent charnel a pris la route vers les rues non autorisées,
Sa foi masure, il a repris la destinée.
Demain, il se cachera aux poubelles en route,
Il alarmera, fera un complot aux vierges muettes.
On l’a infecté,
On lui a absorbé la tête,
Il n'y a plus que larmes écrêtées, goutte à goutte.
Il a été vu dans un canal du diable,
Serrant sa face derrière les visages dont il doute,
Il a été vu plongeant avec des ramasseurs de faconde,
Il va être amené en l'Amérique latine, sans doute.
À l'allumage de l'air,
Aux gens qui ont fait de moi un pervers,
Je jette mon crâne, je vous enlève à tous les pattes,
Qui vous ont tourné le dos, faute à la faute, vers la route...
L'élève a estimé qu'il méritait un coup,
Sa lave des yeux n'était pas faite de peau.
Sa copine filant vers les brumes a endurci ses lunettes, elle s'est portée à son sabot.
Dans la nuit, il était calme, il a pu pomper ses chaussettes et ses rameaux,
Atteinte à une creusée du ventre, la lame d'acier lui a déchiré la peau.
En compte d'un souffle,
Les changeantes personnes étouffent,
Qu'ils ont saboté les larmes,
Qu'ils ont méprisé la route.
Et même à minuit, il était couronné de pions,
Il insiste pour tirer sur la reine,
Il a avalé le ciel,
Son don lui paraît mineur.
Les tempêtes ont évacué les gadgets et feuillages de la route,
On était tous émerveillés par l'élève, lorsqu'il se mettait en route.
Les feuillages ont transpiré, ils n'auront plus une goutte,
Ils friraient comme un hêtre, ils mâcheraient leur morphe au logis,
Ils se battraient, l'élève dériverait de la route…
Il a paru, pendant un instant, qu'il était amer,
Que sa mère l’avait doté d’yeux très nets,
Mais par la rue, elle, a divulgué que son petit-fils aimait sans doute.
Elle portait son sac en larmes, et elle cherchait de qui était-ce la faute,
Elle a dû être couronnée d'invités, la priant ne pas l'enterrer, sans doute.
L'élève écrémé d'un talent charnel a pris la route vers les rues non autorisées,
Sa foi masure, il a repris la destinée.
Demain, il se cachera aux poubelles en route,
Il alarmera, fera un complot aux vierges muettes.
On l’a infecté,
On lui a absorbé la tête,
Il n'y a plus que larmes écrêtées, goutte à goutte.
Il a été vu dans un canal du diable,
Serrant sa face derrière les visages dont il doute,
Il a été vu plongeant avec des ramasseurs de faconde,
Il va être amené en l'Amérique latine, sans doute.
À l'allumage de l'air,
Aux gens qui ont fait de moi un pervers,
Je jette mon crâne, je vous enlève à tous les pattes,
Qui vous ont tourné le dos, faute à la faute, vers la route...
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