la poésie enfante au vent de l'émotion

ma poésie enfante au vent de l’émotion
des mots morts nés gisants là sur ce blanc papier
et puis des vers hâtifs qui ne comptent leur pied,
Tant ils ont eut du mal à brider leur passion..

Lors je biffe et je gomme et puis je capitule
Car innocent revient le terme et sa virgule.
Si vous saviez combien j’ai souffert comme vous,
A vouloir être moi, dans ce monde de fous !

Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.

Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.

au-delà de tout silence
les mots se gravent sur les pages blanches
mettons le positif en évidence:
écrire est luminosité
défions l'animosité de ceux qui gloussent
ils sont vide de muse et de création.
j'aime votre écrit fée si grande de coeur.

depuis le temps que je te lis belle fée
tes mots n'ont jamais été des morts nées!

ta plume ne sait pas s'enfermer
les mots ne savent pas lui s'échapper!

tes mots n'ont pas peur d'être rejetés
ils se savent plein de passion de partage de qualité

sandrine jillou a écrit:au-delà de tout silence
les mots se gravent sur les pages blanches
mettons le positif en évidence:
écrire est luminosité
défions l'animosité de ceux qui gloussent
ils sont vide de muse et de création.
j'aime votre écrit fée si grande de coeur.

je me permets de coller ce commentaire tellement il résume tout...
écrire est une affaire de sensibilité...
à ceux qui condamnent il manque l'essentiel....

Merci à vous tous , pour être venus mettre votre plume ici

j'ai tout-de-même un peu ramanié mon poème afin d'effacer hiatus et diérèses qui faisaient claudiquer quelques vers

le revoici donc avec un autre costume

Lorsque le vers enfante au ventre de la rage
des mots morts nés gisants là sur ce blanc papier
mes e bien trop muets ne comptent pas leur pied,
Tant ils ont eut du mal à sauver ce naufrage

Lors je biffe et je gomme, enfin je capitule
Car innocent revient le terme et sa virgule.
Si vous saviez combien j’ai souffert comme vous,
A vouloir être moi, dans ce monde de fous !

Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.

Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.

je ne connais pas de bot, je ne vois que tu beaux en tes mots sans maux titefée!
j'aime te lire .à bientôt.

Le vent peut-il faire rimer le souffle?
L'inspiration peut-elle faire trembler le trèfle?

Chercher si la chance est poésie...
Deviner si le mystère est fantaisie...

TITEFEE a écrit:ma poésie enfante au vent de l’émotion
des mots morts nés gisants là sur ce blanc papier
et puis des vers hâtifs qui ne comptent leur pied,
Tant ils ont eut du mal à brider leur passion..
...
Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.

Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.

vous êtes une fée qui dompte les mots..

C'est tout simplement magnifique titefee ... la forme et le fond, tout y est.

Isis

belle poésie de la tite fée ...absente.