la fin des fenaisons ( sonnet )
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la fin des fenaisons ( sonnet )
Le soleil inondait la place du village,
Des guirlandes dansaient, reliant les maisons
De lampes en papier et sous les frondaisons
Des immenses tilleuls, naissait le badinage
Filles et jeunes gens, pour le marivaudage,
Ressentaient dans leur corps douces démangeaisons ;
L’été se finissait après les fenaisons
Par des festivités à travers le bocage.
Des fermes alentour convergeaient les charrettes,
Ridelles et essieux le tout repeint en blanc
Où s’étaient entassés, paysans en goguettes
Pour deux jours seulement on oublierait la vie
Les semis compromis, le labeur accablant,
Car on gagne si peu sur ce sol en survie
Des guirlandes dansaient, reliant les maisons
De lampes en papier et sous les frondaisons
Des immenses tilleuls, naissait le badinage
Filles et jeunes gens, pour le marivaudage,
Ressentaient dans leur corps douces démangeaisons ;
L’été se finissait après les fenaisons
Par des festivités à travers le bocage.
Des fermes alentour convergeaient les charrettes,
Ridelles et essieux le tout repeint en blanc
Où s’étaient entassés, paysans en goguettes
Pour deux jours seulement on oublierait la vie
Les semis compromis, le labeur accablant,
Car on gagne si peu sur ce sol en survie
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: la fin des fenaisons ( sonnet )
Ils se dressent majestueux, ces vers nature !
le paysages magnifique invite à méditer
le paysages magnifique invite à méditer
Re: la fin des fenaisons ( sonnet )
belle poésie de fée douée :orage: un bisou et un merci pour le partageTITEFEE a écrit:Le soleil inondait la place du village,
Des guirlandes dansaient, reliant les maisons
De lampes en papier et sous les frondaisons
Des immenses tilleuls, naissait le badinage
Filles et jeunes gens, pour le marivaudage,
Ressentaient dans leur corps douces démangeaisons ;
L’été se finissait après les fenaisons
Par des festivités à travers le bocage.
Des fermes alentour convergeaient les charrettes,
Ridelles et essieux le tout repeint en blanc
Où s’étaient entassés, paysans en goguettes
Pour deux jours seulement on oublierait la vie
Les semis compromis, le labeur accablant,
Car on gagne si peu sur ce sol en survie
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
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