Rennes

De toutes les routes que j'ai pu prendre
Des visages que j'ai pu croiser
Aucune ne m'a semblée plus tendre
Aucune ville ne me ressemblait

De ces heures passées à chercher
Le long de ces rues anonymes
Dans des villages abandonnés
Trouver des remparts synonymes

Chaque rue, chaque carrefour
Chaque détour de l'arène
Un souvenir qui sourd
De tes yeux, ma Rennes

Dans l'iris de ton Beauregard
Perlent quelques larmes de boue
Dans l'ombre des quais de la gare
On peine à se tenir debout

Et dans le parc du Thabor
Comme dans les jardins italiens
Naissent des mots et des remords
Qu'on oublie dans un verre de vin

Chaque rue, chaque carrefour
Chaque détour de l'arène
Un souvenir qui sourd
De tes yeux, ma Rennes

Une ville, une femme
Et l'ombre d'un sourire
Une nuit, une flamme
Bien trop de souvenirs

Et lorsque Saint-Anne se réveille
Avec la tombée de la nuit
C'est toute la ruche d'abeilles
Qui entonne son dernier cri

Le VAL sans retour attendra
Je rentre par le dernier métro
L'église de Maxent me laiss'ra
Seul planté sur un look rétro

Chaque rue, chaque carrefour
Chaque détour de l'arène
Un souvenir qui sourd
De tes yeux, ma Rennes

Prince de dité a écrit:De toutes les routes que j'ai pu prendre
Des visages que j'ai pu croiser
Aucune ne m'a semblée plus tendre
Aucune ville ne me ressemblait

De ces heures passées à chercher
Le long de ces rues anonymes
Dans des villages abandonnés
Trouver des remparts synonymes

Chaque rue, chaque carrefour
Chaque détour de l'arène
Un souvenir qui sourd
De tes yeux, ma Rennes

Dans l'iris de ton Beauregard
Perlent quelques larmes de boue
Dans l'ombre des quais de la gare
On peine à se tenir debout

Et dans le parc du Thabor
Comme dans les jardins italiens
Naissent des mots et des remords
Qu'on oublie dans un verre de vin

Chaque rue, chaque carrefour
Chaque détour de l'arène
Un souvenir qui sourd
De tes yeux, ma Rennes

Une ville, une femme
Et l'ombre d'un sourire
Une nuit, une flamme
Bien trop de souvenirs

Et lorsque Saint-Anne se réveille
Avec la tombée de la nuit
C'est toute la ruche d'abeilles
Qui entonne son dernier cri

Le VAL sans retour attendra
Je rentre par le dernier métro
L'église de Maxent me laiss'ra
Seul planté sur un look rétro

Chaque rue, chaque carrefour
Chaque détour de l'arène
Un souvenir qui sourd
De tes yeux, ma Rennes

y a des lieux qui ne laissent pas indifferent celui qui passe dans leur cœur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

... tout cela ! c'est tellement vrai cette description de rennes.. et tes sensations ne me surprennent point !
Yves Jamait aurait pu la chanter ta "Rennes" avec autant de brio... car tu t'exprimes un peu comme lui ! merci de ce ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] kimannzo