Dans la maison vide
Page 1 sur 1
Dans la maison vide
Dans la maison vide
Dans la maison vide, je laisse mes rides.
L'ombre de nos souvenirs reste accroché
Aux murs dénudés sur le papier peint taché
Des traces de notre vie que le temps évide.
Elle résonne de l'échec annoncé de notre vie.
Je n'entends plus les cris de nos enfants
Turbulents partis déjà depuis trop longtemps,
Ni le chant de l'amour, ni celui de l'envie.
Emporté! mes rêves de vieillesse sous ce toit
Avec les tempêtes, les silences, l'indifférence.
Dehors le banc n'attend plus ma sénescence.
Le jardin en friche connaît le grand désarroi
De ne plus être foulé par nos pas, ni caressé
De mon regard à la recherche d'un peu d'espoir.
En deuil de notre départ, de notre histoire,
Il laisse les dernières fleurs de l'été se faner.
Je ferme les volets sur notre passé partagé
Entre ces murs qui ont eu raison de nous
Mis nos espérances et notre amour à genoux.
J'enferme avec mes illusions, mes regrets.
Je passe le pas de porte d'une nouvelle vie
Sans ce chez nous, sans ce toit, ni toi…
Ce rêve je l'ai vécu tout seul, jusqu'aux abois
J'ai cru pourtant longtemps à sa survie.
Dans la maison vide, je sèche mes pleurs…
Je donne un dernier tour de clé sur ce passé
Que je ne saurais pourtant jamais oublier.
Demain est un autre jour fait pour le bonheur.
Dans la maison vide, je laisse mes rides.
L'ombre de nos souvenirs reste accroché
Aux murs dénudés sur le papier peint taché
Des traces de notre vie que le temps évide.
Elle résonne de l'échec annoncé de notre vie.
Je n'entends plus les cris de nos enfants
Turbulents partis déjà depuis trop longtemps,
Ni le chant de l'amour, ni celui de l'envie.
Emporté! mes rêves de vieillesse sous ce toit
Avec les tempêtes, les silences, l'indifférence.
Dehors le banc n'attend plus ma sénescence.
Le jardin en friche connaît le grand désarroi
De ne plus être foulé par nos pas, ni caressé
De mon regard à la recherche d'un peu d'espoir.
En deuil de notre départ, de notre histoire,
Il laisse les dernières fleurs de l'été se faner.
Je ferme les volets sur notre passé partagé
Entre ces murs qui ont eu raison de nous
Mis nos espérances et notre amour à genoux.
J'enferme avec mes illusions, mes regrets.
Je passe le pas de porte d'une nouvelle vie
Sans ce chez nous, sans ce toit, ni toi…
Ce rêve je l'ai vécu tout seul, jusqu'aux abois
J'ai cru pourtant longtemps à sa survie.
Dans la maison vide, je sèche mes pleurs…
Je donne un dernier tour de clé sur ce passé
Que je ne saurais pourtant jamais oublier.
Demain est un autre jour fait pour le bonheur.
Sujets similaires
» dans la salle de la maison 503 - Desterro,78
» Un saut dans le vide (à Julien)
» La grande maison est vide ...
» DANS LA COMPLETUDE DU VIDE.
» Mon âme se meut dans un vide
» Un saut dans le vide (à Julien)
» La grande maison est vide ...
» DANS LA COMPLETUDE DU VIDE.
» Mon âme se meut dans un vide
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum