En fin...

rayane a écrit:Un réveil amer d'un rêve qu'on croyait doux? on s'efforce de le rayer de la mémoire et de se ressaisir .
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mais en fin, la liberté est là comme le chant des plaines.

Rita-kazem a écrit:

j'avais le cœur au bord du vide.
d'un saut d'en haut d'une falaise avide
j'avais le cœur chagrin, les larmes, humide.
j'avais l'âme si stupide
de croire en un séducteur cupide

je m’étonne d'avoir été si crédule
d'avoir le cœur si partant comme un débile
par crainte du froid, il a cru facile
de se lier pour ne pas être seul

c'était nuisible, goût amer
au cœur qui croyait avoir de quoi être fier
il voulait croire en une petite lumière
mais ce n'était qu'un début de gouffre au bout d'une mer

parfois les bêtises s’enchainent,
me collant vicieusement, aux veines
se libérer, à petit pas, vient en peine.
mais en fin, la liberté est là comme le chant des plaines.


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Rita-kazem a écrit:

se libérer, à petit pas, vient en peine.
mais en fin, la liberté est là comme le chant des plaines.


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BIR TAM TAM a écrit:Bonjour chère Rita...
Malheureusement, commettre la bêtise, c'est comme faire tomber un oeuf,
il faut essayer de nettoyer par terre!!!
Par contre j'aime la simplicité et la beauté de tes vers.
Agréable lecture malgré la tristesse...

Merci pour ce partage merveilleux.
Amitiés
BTT

atouthasard a écrit:

mais en fin, la liberté est là comme le chant des plaines.

Un beau vers qui inspire

la liberté est à l'oiseau
telle une plaine et un ruisseau
qui font l'amour depuis le jour
au vent d'hier et pour toujours

La MI réal

miss Béa a écrit:
Bonsoir Rita-Kazem,

Tu sais : aucun chagrin n'est stupide
Quand il provient du coeur,
Il n'est que reflet de ta douleur,
En ton amour insipide,
Livide, mais avide, le coeur a ses besoins...
Ils ne faut pas le reléguer dans un petit coin ;
Durs et mouillés sont tes pleurs et ta douleur,
Bisou, et j'espère que tu trouveras le bonheur...

Bisoute.

Béa

au fil des mots a écrit:

Rita-kazem a écrit:

se libérer, à petit pas, vient en peine.
mais en fin, la liberté est là comme le chant des plaines.


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Et seul cela compte ... le chant des peines se transforme par la magie de la liberté en chant des plaines, où le coeur, même meurtri, peut voler de plus en plus loin ....

c'est beau et j'aime beaucoup cette fin pleine d'espoir
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Najat a écrit:"c'était nuisible, goût amer
au cœur qui croyait avoir de quoi être fier
il voulait croire en une petite lumière
mais ce n'était qu'un début de gouffre au bout d'une mer"

être seul est mieux que d'être avec un traitre! ne garde pas les remords dans ton coeur.
courage, amie.

rychar a écrit:un constat, point d'amertume, tes écrits ne sont jamais négatifs...
ô la vie....
amicalement