L'autre rive

Assis sur le tabouret bancal de ma vie.

L’œil, dans les nuages à l’horizon confondus,

Je contemple les flots qui lentement ont fondu

Sur un passé dont nul pourrait avoir envie.



Sur la berge de mon existence que j’ai suivie

Dans les méandres où tout était défendu.

Mon coeur triste était dans le vide suspendu

Attendant patiemment la venue du messie.



C’est par un beau matin que pointe le soleil

Et mon âme d’un coup a pris la couleur vermeille.

Sur l’autre rive, de ce fleuve qui n’a pas de nom,



Je l’ai vue de blanc vêtu déployant ses ailes.

J’ai alors comme un éclair franchi le grand pont

Avouant à dieu que je veux vivre près d’elle.

autre lecture.......
le commentaire se fait prier
les mots ne savent quoi dire
et demandent à relire
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rayane a écrit:

pasblanc a écrit:Assis sur le tabouret bancal de ma vie.
L’œil, dans les nuages à l’horizon confondus,
Je contemple les flots qui lentement ont fondu
Sur un passé dont nul pourrait avoir envie.

Sur la berge de mon existence que j’ai suivie
Dans les méandres où tout était défendu.
Mon coeur triste était dans le vide suspendu
Attendant patiemment la venue du messie.

C’est par un beau matin que pointe le soleil
Et mon âme d’un coup a pris la couleur vermeille.
Sur l’autre rive, de ce fleuve qui n’a pas de nom,

Je l’ai vue de blanc vêtu déployant ses ailes.
J’ai alors comme un éclair franchi le grand pont
Avouant à dieu que je veux vivre près d’elle.

Passer de l'autre coté du miroire? quand l'heure arrive on y va de toute façon sans avoir le choix!Il est simplement passé
De l’autre côté? la rive est-elle plus bleue?

merci rayane pour ton passage et ton commentaire, l'amour même s'il est de l'autre côté laisse entrevoir des jours plus ensoleillés, il suffit de franchir le pont

amicalement pasblanc

le poète aime écrire l'amour et tout ce qui s'en suit

Rita-kazem a écrit:autre lecture.......
le commentaire se fait prier
les mots ne savent quoi dire
et demandent à relire
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merci Rita-Kazem pour ton passage sur cette page, lis et relis encore, les mots expriment une douleur qui longtemps a persisté et qui un jour s'est dissipée à l'approche de l'amour. C'est pour cela que j'emploie la métaphore de l'autre rive

amicalement pasblanc