Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa...

par **miss Béa** Mer 21 Juil - 23:12

Je suis hirsute au loin,
Je suis ni ok ni go...
Le passé me revient
En tout aparté, ni bas ni haut...

Le voile est sur les non-dits ;
La toile a, ou non, créé ses érudits ;
Mais parfois restent des pensées
Qui "genèsent" en questions-abcès...

Kikou, je suis là,
Mon coeur bat,
Mais je pleure...
Je pense aux interdits :
De..., mais je ne dois pas le dire,
C'est caché, ni divulguer, ni déduire,...

Mais je sais que tu sais...
Et si cela n'est,
bah, advienne que pourra
Cela ne pourra que n'être,
Dans un tit futur naître,
Pour se développer en aura...

Je pleure, car ...
Je n'exprimerai jamais mon leurre,
J'aurais tant à partager à part,
Mais ne le ferai qu'avec rancoeur...

ça date, c'est vieux.
Je ne l'ai pas dit auparavent,
Et le temps passe d'autant mieux,...
Sans un trésor du présent...

Le Passé...
A nous, enfant,
Parfois nous ressemble
Tellement,
Et d'autres fois
Il est sentiment
De tant de pourquoi,
De réussites ,
Non ressenties
D'extensions -fuites
Avec espoir d'une sortie...

Et au bout du compte,Wouaou.......
Chance fait tout sort de réconfort,
Le p'tit endroit , celui, celui-là où...
Ben il te prend quand tu ne t'y attends
Et Tout va mieux et là tu peux
Dormir du sommeil du juste (milieu)
Du juste et en tout , tout bon réconfort...

Hum, hum, hum,...
J'aime
En primeur abord ...

Bizz, bourdonne l'abeille,
Elle officie en plein ciel
En butinant des merveilles,
Elle récolte du bon miel ...............................................................
Mais d'avant, elle est en demande
D'autant de question en suspend...

Papa, tu m'émerveilleras,
Ou ne me diras jamais ;

La force tu auras
Ou enfouiras toi et ton passé...

par magda Mer 21 Juil - 23:49

Quel voyage!
De l'encrier à la page
L'encre chemine condensée,
Surchargée de ressentis
Dansantes aux limites de la transe.
Le pourquoi des pleurs, se fait attendre pour s'expliquer
Le non dit reste au bout de la plume inédit....................

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par **miss Béa** Jeu 22 Juil - 0:23

magda a écrit:Quel voyage!
De l'encrier à la page
L'encre chemine condensée,
Surchargée de ressentis
Dansantes aux limites de la transe.
Le pourquoi des pleurs, se fait attendre pour s'expliquer
Le non dit reste au bout de la plume inédit....................

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Bonjour Magda,

Il est vrai que j'ai écrit ce poème sous le coup des pleurs,

Bah, parfois, il m'arrive de me retrouver seule, sans mes enfants,
Et je m'active, ou je pense quand je me pose un peu,

Et en fait, c'est ce qui m'est arrivé récemment, et voila...
C'est peut-être difficile à comprendre mais ce sont mes mots, et je ne les ai jamais exprimés quant à ce sujet : mon papa...

Bisou

Béa

par **davidof** Jeu 22 Juil - 11:26

cette rivière verte trahit une grande sensibilité qui niche en ton cœur, béabelle.
que puis-je pour te faire sourire?
mes amitiés.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] pour toi miss.

par yassine Jeu 22 Juil - 11:27

miss Béa a écrit:Je suis hirsute au loin,
Je suis ni ok ni go...
Le passé me revient
En tout aparté, ni bas ni haut...

Le voile est sur les non-dits ;
La toile a, ou non, créé ses érudits ;
Mais parfois restent des pensées
Qui "genèsent" en questions-abcès...

Kikou, je suis là,
Mon coeur bat,
Mais je pleure...
Je pense aux interdits :
De..., mais je ne dois pas le dire,
C'est caché, ni divulguer, ni déduire,...

Mais je sais que tu sais...
Et si cela n'est,
bah, advienne que pourra
Cela ne pourra que n'être,
Dans un tit futur naître,
Pour se développer en aura...

Je pleure, car ...
Je n'exprimerai jamais mon leurre,
J'aurais tant à partager à part,
Mais ne le ferai qu'avec rancœur...

ça date, c'est vieux.
Je ne l'ai pas dit auparavant,
Et le temps passe d'autant mieux,...
Sans un trésor du présent...

Le Passé...
A nous, enfant,
Parfois nous ressemble
Tellement,
Et d'autres fois
Il est sentiment
De tant de pourquoi,
De réussites ,
Non ressenties
D'extensions -fuites
Avec espoir d'une sortie...

Et au bout du compte,Wouaou.......
Chance fait tout sort de réconfort,
Le p'tit endroit , celui, celui-là où...
Ben il te prend quand tu ne t'y attends
Et Tout va mieux et là tu peux
Dormir du sommeil du juste (milieu)
Du juste et en tout , tout bon réconfort...

Hum, hum, hum,...
J'aime
En primeur abord ...

Bizz, bourdonne l'abeille,
Elle officie en plein ciel
En butinant des merveilles,
Elle récolte du bon miel ...............................................................
Mais d'avant, elle est en demande
D'autant de question en suspend...

Papa, tu m'émerveilleras,
Ou ne me diras jamais ;

La force tu auras
Ou enfouiras toi et ton passé...

Pleurer purifie ma miss. mais se laisser aux larmes désarme. alors courage et souri à la vie.

par Najat Jeu 22 Juil - 12:17

Le voile est sur les non-dits ;
La toile a, ou non, créé ses érudits ;
Mais parfois restent des pensées
Qui "genèsent" en questions-abcès...

ce sont les "non dit" qui compriment nos coeurs et causent nos pleures
MERCI pour le partage de ses pensées intimes, béa.

par **cristopher-cris** Jeu 22 Juil - 21:31

Sèche tes larme ma douce béa
La vie a ses aléas
Tu as un cœur de colombe innocente
Tes yeux ne doivent connaitre que larme de joie "dorlotante"

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par **miss Béa** Dim 25 Juil - 23:03

davidof a écrit:cette rivière verte trahit une grande sensibilité qui niche en ton cœur, béabelle.
que puis-je pour te faire sourire?
mes amitiés.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] pour toi miss.

Bonsoir Davidof,

Que de me rep gentiment m'a fait sourire énormément,
Merci de ton gentil passage,
Ton bouquet me fait très plaisir,
J'ai de temps en temps des tits passages à vides,
Qui me remémorent de mon enfance des moments forts...

Merci bisou.

Béa

par **miss Béa** Dim 25 Juil - 23:15

Najat a écrit:Le voile est sur les non-dits ;
La toile a, ou non, créé ses érudits ;
Mais parfois restent des pensées
Qui "genèsent" en questions-abcès...

ce sont les "non dit" qui compriment nos coeurs et causent nos pleures
MERCI pour le partage de ses pensées intimes, béa.

Bonsoir Najat,

La vie suit son cours
Un frère, une soeur,
Qui ont eu leur lot de diverses douleurs,
Et maintenant sont bien lotis,
Et moi, je suis à la traine...
Perchée sur mon ilot-pilotis,
Et l'expérience nous entraine,
Vers un inestimable parcours...
C'est à mon tour
De faire mes preuves
D'avancer pour
Avaler ces couleuvres...
Je suis forte,
Je me battrai,
Contre ces cohortes
Contre vents et marées...

Bisou.

Béa

par **miss Béa** Dim 25 Juil - 23:21

cristopher-cris a écrit:Sèche tes larme ma douce béa
La vie a ses aléas
Tu as un cœur de colombe innocente
Tes yeux ne doivent connaitre que larme de joie "dorlotante"

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Bonsoir mon Chris,
C'est toi qui me "dorlote" en gentil commentaire,
Mais tu sais que toute gentille personne a ses tits "démons" enfouis au finfond de ses "tiroirs"...
Jtd, et big merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, pour ton agréable soutien..........

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Miss

par **miss Béa** Dim 25 Juil - 23:26

Bonsoir Yassine,

Je te remercie pour ton doux conseil,
Je le suivrai assidument,
Pour ne vivre que des merveilles
Et évoluer tout doucement...

Mais parfois, c'est dur...

Bizoooooooote..........

Béa

par atouthasard Dim 25 Juil - 23:34

Les loups et les anges

si c'est le cas, si non et dans tous les cas

Prends bien soin de toi

L'ami RÉ

par **au fil des mots** Dim 25 Juil - 23:39

miss Béa a écrit:
Bonjour Magda,

Il est vrai que j'ai écrit ce poème sous le coup des pleurs,

Bah, parfois, il m'arrive de me retrouver seule, sans mes enfants,
Et je m'active, ou je pense quand je me pose un peu,

Et en fait, c'est ce qui m'est arrivé récemment, et voila...
C'est peut-être difficile à comprendre mais ce sont mes mots, et je ne les ai jamais exprimés quant à ce sujet : mon papa...

Bisou

Béa

L'important n'est pas de comprendre le pourquoi du comment, ni qui, quoi ou quand:
ce qui compte vraiment ce sont tes émotions, ta souffrance.
Ce texte je l'ai perçu par mes sens et non par mon intellect, c'est beau et intense (même si la tristesse en est reine)

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa... 800195

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa... 800195

par **miss Béa** Lun 26 Juil - 1:05

atouthasard a écrit:Les loups et les anges

si c'est le cas, si non et dans tous les cas

Prends bien soin de toi

L'ami RÉ

Bonjour Atouthasard,

Non, ce n'est pas le cas,
J'aime mes parents, et ils m'aiment.
Mais, juste, j'ai su des choses...

Merci à toi mon ami poète de prendre soin de moi,
Bisou.

Béa

par **miss Béa** Lun 26 Juil - 1:19

L'important n'est pas de comprendre le pourquoi du comment, ni qui, quoi ou quand:
ce qui compte vraiment ce sont tes émotions, ta souffrance.
Ce texte je l'ai perçu par mes sens et non par mon intellect, c'est beau et intense (même si la tristesse en est reine)

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa... 800195

Bonjour Monique,

Je sais qu'il est tard, mais je suis partie sur le site,
Je sais que mon poème n'explique pas grand chose,
Mais j'ai ressenti un p'tit tout p'tit soulagement
En l'écrivant, j'aime mes deux parents,
Mais quand j'étais jeune, j'ai entendu certaines choses à propos de mon papa qui ne me plaisaient pas...

C'est du passé, mes parents sont encore ensemble, en retraite, tout va bien...
ça doit être le fait que je réfléchis trop en ce moment,
Et je pense beaucoup, mais tkt, JE VAIS BIEN, enfin presque, mais ça va !!!...

Bisoute, amie de poésie, jtd

Miss Béa

par atouthasard Lun 26 Juil - 1:21

Bonjour Atouthasard,

Non, ce n'est pas le cas,
J'aime mes parents, et ils m'aiment.
Mais, juste, j'ai su des choses...

Merci à toi mon ami poète de prendre soin de moi,
Bisou.

Béa

bon ben prends soins de toi, hein

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa... 343180

à plus

L'ami Ré

par **miss Béa** Lun 26 Juil - 2:09

Tkt, la mi ré,

La mi Sol a mi la clé sous la porte,

Sol eil de mi ré tte en éveil sans cohorte,

Do mi si la sol fa si la gérer,

Sol stice d'été tout doux, do mi si lié,

Va sol lli si ter, mais pas fa si le...

Bisoute.

Béa

par atouthasard Lun 26 Juil - 2:22

Tu es trop si joli de m'écrire ceci
un gros câlin à toi

un GROS SOURIRE J'AI

ET mici, maudit que j'ai du fun pis on se touche même pas

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa... 272406

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa... 272406

Tendre tendre comme dirait Pauline

Pauline Julien
L'ÂME À LA TENDRESSE
Paroles: Pauline Julien, musique: François Dompierre

Ce soir j'ai l'âme à la tendresse
Tendre tendre, douce douce
Ce soir j'ai l'âme à la tendresse
Tendre tendre, douce douce

Tresser avec vous ce lien et cette délicatesse
Vous mes amis d'hier et d'aujourd'hui
Cette amitié dans la continuité
Un mot un regard un silence un sourire une lettre

Françoise Allen Claire Patrick Kim Roland Réjean Louise
Et tous les autres que je ne saurai nommer
Vous êtes mes havres des soirs de détresse
La goutte d'eau qui fait jaillir la source ma lumière

Aujourd'hui pourtant je vous attends en vain, je vous espère
Que faites-vous j'appelle je tends les bras
Nos amitiés se sont-elles évanouies?
Peut-être n'avons-nous plus rien à nous dire je chavire

Pourtant nous savons que la vie est plus forte que la mort
Le désespoir a dit son dernier mot
Permettez-moi de vous aimer toujours
Riches de nos secrets j'attendrai j'attendrai
J'attendrai j'attendrai j'attendrai j'attendrai
Les amitiés nouvelles.

suis comme ça moi, ma JaJa, la femme de ma vie 20 ans de vie me dit toujours cé ben toi

Merci hein, cela me va droit au coeur

ouais, bon

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa... 734263

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa... 734263

par **yefimia** Lun 26 Juil - 10:08

Bah, un poème très chaotique sans valeur littéraire. Mais bon, tu exprime la multitude de sentiments qui envahissent ton cœur solitaire.

Mais sais tu vraiment ce qu’est la vrais douleur quand tu vois l’être cher disparaître peu à peu devant tes yeux ?

Mois, je le sais !

Là, on peut parler de la vrais douleur.

Tu es dans une mauvaise passe mais c’est à toi de prendre en main les rênes de ta vie et de faire quelque chose car la poésie ne t’aidera pas, c’est certain ma bell

Salutas

Yéfi

par **au fil des mots** Lun 26 Juil - 12:45

yefimia a écrit:Bah, un poème très chaotique sans valeur littéraire. Mais bon, tu exprime la multitude de sentiments qui envahissent ton cœur solitaire.

Mais sais tu vraiment ce qu’est la vrais douleur quand tu vois l’être cher disparaître peu à peu devant tes yeux ?

Mois, je le sais !

Là, on peut parler de la vrais douleur.

Tu es dans une mauvaise passe mais c’est à toi de prendre en main les rênes de ta vie et de faire quelque chose car la poésie ne t’aidera pas, c’est certain ma belle.

Salutas

Yéfi

Tu ne connais que ta douleur Yefi, celle de l'autre n'est connue que de lui seul; tu ne sais donc rien du tout.

Tout comme la souffrance physique, les maux de l'âme sont ressentis, digérés et exploités ou subis différemment d'une personne à l'autre, il n'y a aucune comparaison possible, et personne, même pas toi, ne peut avoir le monopole de la connaissance d'une impossible hiérarchie de l'intensité de la douleur.

La souffrance liée à la perte d'un animal domestique pour une personne peut être aussi insurmontable que la perte d'un enfant pour une autre, même si cela peut nous paraître inconcevable (qui choisit son degré de résistance à telle ou telle situation , ou même la nature de ce que l'on supporte ou non ? Tu le peux toi ?).

Dans le même ordre d'idée, nous sommes tous différents face à l'évacuation du mal qui nous ronge, et si pour toi l'écriture n'est pas un exutoire, il n'en va pas de même pour tous.

Ce que nous avons en commun est le choix de rester fidèle à notre souffrance ou, alors, de tenter de nous en départir.
Comme cela, j'ai le sentiment que Béa a envie de se débarrasser de cette vieille affliction (dont personne ne peut en définir l'intensité) et qu'apparement cela lui réussit; alors que toi (ce n'est que ce que je ressens, je ne pense pas détenir une quelconque vérité) qui semble être désabusé ( aurais-tu peur de trahir cet être si cher, si le lien de la souffrance ne vous unit plus, même remplacé par les souvenirs et l'amour qui vous unissait ?).

Et ne pense pas que la souffrance m'est étrangère , Yéfi, me permettant de tenir aussi facilement de tels propos. Au contraire, elle m'a atteint de bien des manières; mais mon besoin de vivre dans le bonheur est plus fort. Un vrai ciel d'été étant souvent ponctué de nuages, des petits et des plus conséquents.

Bisous à vous deux

par **miss Béa** Mar 27 Juil - 2:24

yefimia a écrit:Bah, un poème très chaotique sans valeur littéraire. Mais bon, tu exprime la multitude de sentiments qui envahissent ton cœur solitaire.

Mais sais tu vraiment ce qu’est la vrais douleur quand tu vois l’être cher disparaître peu à peu devant tes yeux ?

Mois, je le sais !

Là, on peut parler de la vrais douleur.

Tu es dans une mauvaise passe mais c’est à toi de prendre en main les rênes de ta vie et de faire quelque chose car la poésie ne t’aidera pas, c’est certain ma bell

Salutas

Yéfi

Bonjour Yéfi,

Je ne peux pas commenter ton commentaire, car je le trouve méchant et égocentrique, désolée, tu compares des faits incomparables...
Je parlais de mon papa quand j'étais plus jeune qui a fait des bêtises et je l'ai appris..., et toi, tu me parles de ta femme qui n'est plus, aucun rapport,
Tu me déçois, je ne sais plus que dire de plus.................................

Bizzzzzzzzzzzzzz

Béa

par **miss Béa** Mar 27 Juil - 2:27

Merci Monique, .......................

par atouthasard Mar 27 Juil - 2:42

Je déteste la chicane et soyons amicale et serein, plus pire ont vécu ses gens

Négrier en voile aux vagues rouge de sang
Par la mer asservie au plus blanc noir dessein
Quand la chair des enfants se faille d'incertain
Pour la vente aux enfers en des lieux méprisants

L'histoire de six cents en prière au destin
À latente douleur au plus gris de leurs chants
Sur les chaînes une maille une plaie leur chemin
Négrier en voile aux vagues rouge de sang

Capitaines terreur inhumains d'océan
Priant Dieu et les saints, cargaison pour demain
À livrer dans l'ivresse aux besoins des tyrans
Par la mer asservie au plus blanc noir dessein

Et leurs yeux en alarme au sujet protestant
Dans la cale un roulis un jour sans lendemain
Demeure de l'espoir la mémoire s'entend
Quand la chair des enfants se faille d'incertain

Esclave noir main blanche ils leur faut un jardin
Origine la vie dans l'Afrique au levant
Nouveau Monde savait et ne sait toujours rien
Pour la vente aux enfers en des lieux méprisants

John Newton écrivit sur les flots ce refrain
Un remord en remous sous la plume du vent
Et légua à ses pairs un chœur pour le divin
Se souvenir du siècle au labeur dans les champs
Négrier en voile aux vagues rouge de sang
Par la mer asservie au plus blanc noir dessein

atouthasard

par kimannzo Mar 27 Juil - 6:58

.... l'enfance st un pays que l'on ne quitte jamais... y retourner expose à l'émotion ! quelle force (même sous le coup des pleurs , de pouvoir dire !) Je t'embrasse [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] kim

Faudra qu'un jour on aille se boire un café ensemble histoire de se raconter des histoires de poètes ... tiens je te dessine un sourire !

par **au fil des mots** Mar 27 Juil - 11:30

miss Béa a écrit:Merci Monique, .......................

Par cette tartine de mots, j'ai juste tenté d'expliquer à Yéfi que chaque douleur n'a pas à se justifier, ni à être comparée.(D'autant plus que tu traverses une période destabilisante avec le soucis de ton avenir, sans parler de la responsabilité parentale qui lui est liée)
Ce n'est pas en minimisant un évènement que les conséquences y relatives en seront moindres; au contraire, une souffrance doit être reconnue pour enfin pouvoir disparaître, même si elle peut paraître dérisoire aux yeux des autres ou de soi-même .

Par contre, je ne pense pas, même si son com est un peu maladroit, que son intention ait été de te blesser. Qui sait s'il désirait te permettre de t'aider à prendre du recul ? (mais seul lui pourra te le confirmer ou infirmer).

Voilà un gros bisou sur chacune de tes joues-

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Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa...

Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa...

Re: Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa...

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Ma chère béa...

Re: Pleurs,..., souvenirs,..., ne peux dire,..., papa...

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