L'ESPACE D'UNE JOURNEE

Quand à l'aube naissante, mon corps bien engourdi
Emerge doucement des frusques du sommeil,
L'esprit vacille encore, je suis bien dans mon lit,
Je garde mas yeux clos...fin du rêve ...je m'éveille...

Au creux de l'oreiller, je laisse aller ma tête,
Cherchant à retenir la dernière chimère,
Tandis que le soleil jouant les "trouble-fête"
Me condamne au lever et je quitte ma "sphère" !

le temps de m'étirer et courageusement
J'abandonne mon nid, songeant à la journée,
Aux rendez-vous fixés, aux sourires des enfants,
Naît alors en mon coeur des accents de gaieté !

Devant un café noir, j'exerce un peu ma voix,
Tout en me préparant, le timbre s'éclaircit,
Jusqu'au tomber du soir et je ne sais pourquoi
Ce besoin de chanter sans cesse m'envahit !

Les heures qui défilent sont témoins de l'humeur
Que j'affiche souvent au delà de mes peines,
Quand le marchand de sable vient apaiser mon coeur,
Il emporte avec lui mes pleurs et mes rengaines !

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kimannzo a écrit:Quand à l'aube naissante, mon corps bien engourdi
Emerge doucement des frusques du sommeil,
L'esprit vacille encore, je suis bien dans mon lit,
Je garde mas yeux clos...fin du rêve ...je m'éveille...

Au creux de l'oreiller, je laisse aller ma tête,
Cherchant à retenir la dernière chimère,
Tandis que le soleil jouant les "trouble-fête"
Me condamne au lever et je quitte ma "sphère" !

le temps de m'étirer et courageusement
J'abandonne mon nid, songeant à la journée,
Aux rendez-vous fixés, aux sourires des enfants,
Naît alors en mon coeur des accents de gaieté !

Devant un café noir, j'exerce un peu ma voix,
Tout en me préparant, le timbre s'éclaircit,
Jusqu'au tomber du soir et je ne sais pourquoi
Ce besoin de chanter sans cesse m'envahit !

Les heures qui défilent sont témoins de l'humeur
Que j'affiche souvent au delà de mes peines,
Quand le marchand de sable vient apaiser mon coeur,
Il emporte avec lui mes pleurs et mes rengaines !

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souris à la vie elle te sourira
ne prends pas trop la vie au sérieux
pour ne pas rider ton visage
merci pour l'agréable lecture
amitié kim.

kimannzo a écrit:Quand à l'aube naissante, mon corps bien engourdi
Emerge doucement des frusques du sommeil,
L'esprit vacille encore, je suis bien dans mon lit,
Je garde mas yeux clos...fin du rêve ...je m'éveille...

Au creux de l'oreiller, je laisse aller ma tête,
Cherchant à retenir la dernière chimère,
Tandis que le soleil jouant les "trouble-fête"
Me condamne au lever et je quitte ma "sphère" !

le temps de m'étirer et courageusement
J'abandonne mon nid, songeant à la journée,
Aux rendez-vous fixés, aux sourires des enfants,
Naît alors en mon coeur des accents de gaieté !

Devant un café noir, j'exerce un peu ma voix,
Tout en me préparant, le timbre s'éclaircit,
Jusqu'au tomber du soir et je ne sais pourquoi
Ce besoin de chanter sans cesse m'envahit !

Les heures qui défilent sont témoins de l'humeur
Que j'affiche souvent au delà de mes peines,
Quand le marchand de sable vient apaiser mon coeur,
Il emporte avec lui mes pleurs et mes rengaines !

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Bonsoir ma très chère Kim,

Continue de te lever tout doucement,
Si c'est pour faire de ta journée un chant,
Ecoute le meilleur, oublie tes peines et pleurs
Et surtout, reviens vite nous faire vibrer,
Au doux son de tes poésies sereines et enchantantes...
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Bisou de Basse-Normandie.

Béa