Tu admires avec regret la beauté des fleurs

Dad Allaoua a écrit:Tu admires avec regret la beauté des fleurs

Dans l’impertinence, tu évites les regrets,
Par la folie, ton territoire est bien cerné,
Ce qui t’abaisse par rapport à l’être humains,
C’est la méconnaissance de ton esprit vilain.

Sans soucis, dans une écorce mystérieuse
Tu restes sage, en ignorant ce qui t’entoure,
Ton instinct dévoile tes dents acérées,
En les craquant, tu montres l’esprit agité.

Tu épuises ta force de l’ignorance et du mépris,
Pour connaitre les choses, l’instinct suffit,
Dans la tendresse tu trouves une piètre vie,
Pour le cœur haineux, celui qui aime est maudit.

Il est temps de saisir, que dans la provocation
Réside perpétuellement l’aliénation,
Qui substitut l’instinct naturel d’un homme,
Par celui d’un misérable anthonome.

Tu admires avec regret la beauté des fleurs,
Sans pouvoir apprécier réellement la saveur,
Tu distingues les merveilles des créatures,
Mais dans leurs éclats tu trouves ta sépulture.

Avec le hurlement tu reconnais tes semblables,
Entre moi et toi, il n’y a aucune ressemblance
Tu es cerné par le vide, dans l’incapacité se trouve
La relation entre l’âne, le crabe et l’intelligence.

Dad Allaoua

Dad Allaoua a écrit:Tu admires avec regret la beauté des fleurs

Dans l’impertinence, tu évites les regrets,
Par la folie, ton territoire est bien cerné,
Ce qui t’abaisse par rapport à l’être humains,
C’est la méconnaissance de ton esprit vilain.

Sans soucis, dans une écorce mystérieuse
Tu restes sage, en ignorant ce qui t’entoure,
Ton instinct dévoile tes dents acérées,
En les craquant, tu montres l’esprit agité.

Tu épuises ta force de l’ignorance et du mépris,
Pour connaitre les choses, l’instinct suffit,
Dans la tendresse tu trouves une piètre vie,
Pour le cœur haineux, celui qui aime est maudit.

Il est temps de saisir, que dans la provocation
Réside perpétuellement l’aliénation,
Qui substitut l’instinct naturel d’un homme,
Par celui d’un misérable anthonome.

Tu admires avec regret la beauté des fleurs,
Sans pouvoir apprécier réellement la saveur,
Tu distingues les merveilles des créatures,
Mais dans leurs éclats tu trouves ta sépulture.

Avec le hurlement tu reconnais tes semblables,
Entre moi et toi, il n’y a aucune ressemblance
Tu es cerné par le vide, dans l’incapacité se trouve
La relation entre l’âne, le crabe et l’intelligence.

Dad Allaoua