Une main mal placée

Une mince ceinture d’ignorance
Nous sépare entre nos connaissances et nos ignorances
Le connu blesse toujours tous les individus
Car l’effet est surtout l’inattendu
L’inconnue laisse à l’individu
Une image à jamais non perdue
Donc, l’esprit sera vaincu
Des relations nues, que plusieurs ont dû endurer
Ne reste que le créateur de tous tes malheurs
Sont en grande partie dû
À l’infraction à ta pudeur
Que celui a rompu
Qu’en ne repoussant plus la pulsion
Et en ne respectant pas le non-pardon
À ces pauvres cons
Qui n’utilise même pas de protection
En usant des forces de l’intention
Laissant toujours mentions
D’une vision des flagellations
Que la pureté de cet homme
Fais qu’abstraction
À l’espace de révolution
Donc, il dit de faire mention
De pouvoir pardonner toutes les infractions
De ces créanciers
Tous exploités
Par leur désir d’être pardonné de tous leurs pêchés
Auprès de celui qui le contrôle de leurs destinés
Qui les laissera en confrontations avec les pensées
D’avoir touché
Sans confesser
Car, on lui avait demandé
De jurer
De ne jamais fréquenter
Son opposé
Cette pauvre Vénus écorchée
Par sa triste destinée
D’avoir à élever
Un bébé
Aucunement désiré
Par un père plus âgé
Qui a fait vœux de pureté
Qu’il n’a pas pu respecter
Pour sa défense peu recommandé
Et être enfin, libéré
Il ne serait pas trop bonifié
Des castrés
Avec un ouvre-boîte rouillé
Pour lui faire ravaler
Les nombreux raz-de-marées
Qui ont sans laisser
Passé
Le fameux Noé
Qui sont maintenant repérés
Et dénoncé
Sont simplement décatholisés
Eux peuvent huées
Ils en ont peut-être plus à se reprocher
Sonnant, le sonner
Bien non monsieur le curé
Vous avez fait vœux de pauvreté
Vous ne serait surement pas condamné
Jusqu’au jour où tous se sont réveillés
Après une éternité
Ils ont décidé
De délaisser
L’emprise politique maintenant fracturée
Par le décès de la figure du passé
Qui a monopolisé
Dans le but de conserver
Le clergé
Comme fidèle alliée
Pour importer leurs idées
Extrêmement conservé
Pour qu’il puisse mieux consommer
Enfin, sont-ils assignés
À leurs vraies corvées
Prier, sans toucher
Car, rare sont les figures enfanté
Présentent sous les clochers
Qui ont pour but d’implanter
Des croyances crochées
Afin de mieux contrôler
Maintenant qu’ils sont ignorés
Par un peuple qui était étouffé
Par le passé
Que feront-ils maintenant rejetés
Sans doute pire que de simplement prier
Mais tentera de déshabiller
Le premier passant sur le marché
Avant d’aller mijoter
Dans un trou pour rejeter
Où enfin, il pourra vraiment être remboursé
Par les plus musclés
Qui seront tous intéressés
Pour leurs capacités
À sucer
Les milliers d’autres prisonniers
Bien décidés
À faire regretter
Les actions passées
De cette foutue gang de pédé
Mais comment faire pour oublier
Que dans un jour rapproché
Seront à nouveaux relâchés
Et des milliers d’idées
Enflammé, électrocuté, les souvenirs oubliés
Seront à jamais de bien se comporter
Car, eux ils ont éduqué
Nos ainées
Ne sont en fait que des gens sous-payé
Pour bien se gâter
Profiter, agresser, abuser, profiter
Dans le pire des cas durent plusieurs années
Dans d’autre, l’action simplifiée
Les ont tout de même écartés
Du chemin qu’ils leur étaient tracés
Il ne suffit que d’un moment marqué
Pour ne plus jamais pouvoir se confier
Sois de quelqu’un de rapproché
Ou, encore pire éloigné

Alexandre Phaneuf
18 ans
Saguenay, Québec

[center]

alex_phaneuf a écrit:Une mince ceinture d’ignorance
Nous sépare entre nos connaissances et nos ignorances
Le connu blesse toujours tous les individus
Car l’effet est surtout l’inattendu
L’inconnue laisse à l’individu
Une image à jamais non perdue
Donc, l’esprit sera vaincu
Des relations nues, que plusieurs ont dû endurer
Ne reste que le créateur de tous tes malheurs
Sont en grande partie dû
À l’infraction à ta pudeur
Que celui a rompu
Qu’en ne repoussant plus la pulsion
Et en ne respectant pas le non-pardon
À ces pauvres cons
Qui n’utilise même pas de protection
En usant des forces de l’intention
Laissant toujours mentions
D’une vision des flagellations
Que la pureté de cet homme
Fais qu’abstraction
À l’espace de révolution
Donc, il dit de faire mention
De pouvoir pardonner toutes les infractions
De ces créanciers
Tous exploités
Par leur désir d’être pardonné de tous leurs pêchés
Auprès de celui qui le contrôle de leurs destinés
Qui les laissera en confrontations avec les pensées
D’avoir touché
Sans confesser
Car, on lui avait demandé
De jurer
De ne jamais fréquenter
Son opposé
Cette pauvre Vénus écorchée
Par sa triste destinée
D’avoir à élever
Un bébé
Aucunement désiré
Par un père plus âgé
Qui a fait vœux de pureté
Qu’il n’a pas pu respecter
Pour sa défense peu recommandé
Et être enfin, libéré
Il ne serait pas trop bonifié
Des castrés
Avec un ouvre-boîte rouillé
Pour lui faire ravaler
Les nombreux raz-de-marées
Qui ont sans laisser
Passé
Le fameux Noé
Qui sont maintenant repérés
Et dénoncé
Sont simplement décatholisés
Eux peuvent huées
Ils en ont peut-être plus à se reprocher
Sonnant, le sonner
Bien non monsieur le curé
Vous avez fait vœux de pauvreté
Vous ne serait surement pas condamné
Jusqu’au jour où tous se sont réveillés
Après une éternité
Ils ont décidé
De délaisser
L’emprise politique maintenant fracturée
Par le décès de la figure du passé
Qui a monopolisé
Dans le but de conserver
Le clergé
Comme fidèle alliée
Pour importer leurs idées
Extrêmement conservé
Pour qu’il puisse mieux consommer
Enfin, sont-ils assignés
À leurs vraies corvées
Prier, sans toucher
Car, rare sont les figures enfanté
Présentent sous les clochers
Qui ont pour but d’implanter
Des croyances crochées
Afin de mieux contrôler
Maintenant qu’ils sont ignorés
Par un peuple qui était étouffé
Par le passé
Que feront-ils maintenant rejetés
Sans doute pire que de simplement prier
Mais tentera de déshabiller
Le premier passant sur le marché
Avant d’aller mijoter
Dans un trou pour rejeter
Où enfin, il pourra vraiment être remboursé
Par les plus musclés
Qui seront tous intéressés
Pour leurs capacités
À sucer
Les milliers d’autres prisonniers
Bien décidés
À faire regretter
Les actions passées
De cette foutue gang de pédé
Mais comment faire pour oublier
Que dans un jour rapproché
Seront à nouveaux relâchés
Et des milliers d’idées
Enflammé, électrocuté, les souvenirs oubliés
Seront à jamais de bien se comporter
Car, eux ils ont éduqué
Nos ainées
Ne sont en fait que des gens sous-payé
Pour bien se gâter
Profiter, agresser, abuser, profiter
Dans le pire des cas durent plusieurs années
Dans d’autre, l’action simplifiée
Les ont tout de même écartés
Du chemin qu’ils leur étaient tracés
Il ne suffit que d’un moment marqué
Pour ne plus jamais pouvoir se confier
Sois de quelqu’un de rapproché
Ou, encore pire éloigné

Alexandre Phaneuf
18 ans
Saguenay, Québec

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Belle pensées philosophiques [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

belle découverte au hasard des lectures.