Qui es-tu?

marie la rebelle a écrit:

Qui es-tu, toi qui pose sur un coucher de soleil où une douce lumière baigne la fidélité indiscutable, incarnée par ces cygnes ? Qui es-tu, toi qui pose si insolemment et qu’as-tu à conjurer pour ainsi te livrer et me faire m’interroger ? Tu caches tes yeux derrière le verre, tu caches ton appartenance masculine derrière un ? mais enfin, qui es-tu ??? Ce soir, je t’ai regardé, je t’ai « re » vu une nouvelle fois pour essayer encore de te percevoir. Et je t’ai vu, je t’ai « senti » vivre sous ma main qui glissait le long d’un cliché. Tes bras ainsi passés derrière ta tête, je me suis permis de doucement caresser ton visage sans défense, j’ai bercé tes yeux, glissé le long de tes joues, joué dans ta barbe et me suis laissée emporter par le vertige de ton buste. Ma main a glissé, coulé, sur toi….. Sans doute la douceur, à moins que ce ne soit ta surprise ? …cette interrogation qui te voilait s’est estompée et tu t’es dévoilé.. Un endroit qu’on pourrait nommer « intimité » était là, n’appartenant qu’à toi, n ‘étant partagé qu’à condition de ta volonté, ton toi, ton être profond d’homme dans son sens le plus fort. Sa peau est plus douce que partout ailleurs sur un corps, sa sensibilité est exacerbée… Je frôle la soie de ton intimité, …elle découvre une cerise.. Qui es-tu toi, qui ainsi vit et crie sa virilité ? Qui es-tu toi, qui happes ainsi mes mots pour t’en envelopper ? Qui es-tu toi, qui pose sur un coucher de soleil où une douce lumière baigne la fidélité indiscutable, incarnée par ces cygnes ?…

marie la rebelle a écrit:

Qui es-tu, toi qui pose sur un coucher de soleil où une douce lumière baigne la fidélité indiscutable, incarnée par ces cygnes ? Qui es-tu, toi qui pose si insolemment et qu’as-tu à conjurer pour ainsi te livrer et me faire m’interroger ? Tu caches tes yeux derrière le verre, tu caches ton appartenance masculine derrière un ? mais enfin, qui es-tu ??? Ce soir, je t’ai regardé, je t’ai « re » vu une nouvelle fois pour essayer encore de te percevoir. Et je t’ai vu, je t’ai « senti » vivre sous ma main qui glissait le long d’un cliché. Tes bras ainsi passés derrière ta tête, je me suis permis de doucement caresser ton visage sans défense, j’ai bercé tes yeux, glissé le long de tes joues, joué dans ta barbe et me suis laissée emporter par le vertige de ton buste. Ma main a glissé, coulé, sur toi….. Sans doute la douceur, à moins que ce ne soit ta surprise ? …cette interrogation qui te voilait s’est estompée et tu t’es dévoilé.. Un endroit qu’on pourrait nommer « intimité » était là, n’appartenant qu’à toi, n ‘étant partagé qu’à condition de ta volonté, ton toi, ton être profond d’homme dans son sens le plus fort. Sa peau est plus douce que partout ailleurs sur un corps, sa sensibilité est exacerbée… Je frôle la soie de ton intimité, …elle découvre une cerise.. Qui es-tu toi, qui ainsi vit et crie sa virilité ? Qui es-tu toi, qui happes ainsi mes mots pour t’en envelopper ? Qui es-tu toi, qui pose sur un coucher de soleil où une douce lumière baigne la fidélité indiscutable, incarnée par ces cygnes ?…

marie la rebelle a écrit:

Qui es-tu, toi qui pose sur un coucher de soleil où une douce lumière baigne la fidélité indiscutable, incarnée par ces cygnes ? Qui es-tu, toi qui pose si insolemment et qu’as-tu à conjurer pour ainsi te livrer et me faire m’interroger ? Tu caches tes yeux derrière le verre, tu caches ton appartenance masculine derrière un ? mais enfin, qui es-tu ??? Ce soir, je t’ai regardé, je t’ai « re » vu une nouvelle fois pour essayer encore de te percevoir. Et je t’ai vu, je t’ai « senti » vivre sous ma main qui glissait le long d’un cliché. Tes bras ainsi passés derrière ta tête, je me suis permis de doucement caresser ton visage sans défense, j’ai bercé tes yeux, glissé le long de tes joues, joué dans ta barbe et me suis laissée emporter par le vertige de ton buste. Ma main a glissé, coulé, sur toi….. Sans doute la douceur, à moins que ce ne soit ta surprise ? …cette interrogation qui te voilait s’est estompée et tu t’es dévoilé.. Un endroit qu’on pourrait nommer « intimité » était là, n’appartenant qu’à toi, n ‘étant partagé qu’à condition de ta volonté, ton toi, ton être profond d’homme dans son sens le plus fort. Sa peau est plus douce que partout ailleurs sur un corps, sa sensibilité est exacerbée… Je frôle la soie de ton intimité, …elle découvre une cerise.. Qui es-tu toi, qui ainsi vit et crie sa virilité ? Qui es-tu toi, qui happes ainsi mes mots pour t’en envelopper ? Qui es-tu toi, qui pose sur un coucher de soleil où une douce lumière baigne la fidélité indiscutable, incarnée par ces cygnes ?…