Printemps...

Bonjour,

Tu exprimes un bien triste printemps actuel
Qu'il serait bon de remettre à l'heure !
Il nous faudrait effectivement
Plus de sérénité et de beauté
Que cette douce saison sait générer
Quand on sait l'apprécier à sa juste valeur ...

il faudrait lorsque l'on passe à l'heure d'été que le monde passe à l'heure du bonheur...on peut toujours rêver...
en attendant vive le printemps!!! merci pour ton com

rychar a écrit:Printemps, tu fous le camp
le vent en emporte d'autant
tes senteurs et couleurs
pour y méler quelques pleurs

printemps tu fous le camp
quand se dérobe ton ciel
j'avance en ce tunnel
l'intrus en moi s'incrustant

printemps tu fous le camp
il fait froid dans les banlieues
n'étaient quelques jolis yeux
le bonheur n'y est point flagrant

printemps tu fous le camp
elle, seule dans la rue
désespoir à perte de vue
son corps se fait tentant

printemps tu fous le camp
les seigneurs de guerre
affament leurs peuples
martyrisent leurs enfants

printemps tu fous le camp
les banquiers ventripotent
leur pouvoir est puissant
l'arrogance pérore

printemps tu fous le camp
les glaces fondent
les glaciers reculent
funeste préssentiment

printemps tu fous le camp
n'étant point si fréquent
acceptons tes douceurs
pour atténuer nos malheurs

printemps tu fous le camp
et les saisons aussi
il serait temps à présent
de t'accueillir à l'envi

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] un peu de printemps pour tes vers pas vert [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

rychar a écrit:Printemps, tu fous le camp
le vent en emporte d'autant
tes senteurs et couleurs
pour y méler quelques pleurs

printemps tu fous le camp
quand se dérobe ton ciel
j'avance en ce tunnel
l'intrus en moi s'incrustant

printemps tu fous le camp
il fait froid dans les banlieues
n'étaient quelques jolis yeux
le bonheur n'y est point flagrant

printemps tu fous le camp
elle, seule dans la rue
désespoir à perte de vue
son corps se fait tentant

printemps tu fous le camp
les seigneurs de guerre
affament leurs peuples
martyrisent leurs enfants

printemps tu fous le camp
les banquiers ventripotent
leur pouvoir est puissant
l'arrogance pérore

printemps tu fous le camp
les glaces fondent
les glaciers reculent
funeste préssentiment

printemps tu fous le camp
n'étant point si fréquent
acceptons tes douceurs
pour atténuer nos malheurs

printemps tu fous le camp
et les saisons aussi
il serait temps à présent
de t'accueillir à l'envi

Style different de ce que j'ai l'habitude de lire sur le printemps.c'est amusant et agréable à lire aussi. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

rychar a écrit:Printemps, tu fous le camp
le vent en emporte d'autant
tes senteurs et couleurs
pour y méler quelques pleurs

printemps tu fous le camp
quand se dérobe ton ciel
j'avance en ce tunnel
l'intrus en moi s'incrustant

printemps tu fous le camp
il fait froid dans les banlieues
n'étaient quelques jolis yeux
le bonheur n'y est point flagrant

printemps tu fous le camp
elle, seule dans la rue
désespoir à perte de vue
son corps se fait tentant

printemps tu fous le camp
les seigneurs de guerre
affament leurs peuples
martyrisent leurs enfants

printemps tu fous le camp
les banquiers ventripotent
leur pouvoir est puissant
l'arrogance pérore

printemps tu fous le camp
les glaces fondent
les glaciers reculent
funeste préssentiment

printemps tu fous le camp
n'étant point si fréquent
acceptons tes douceurs
pour atténuer nos malheurs

printemps tu fous le camp
et les saisons aussi
il serait temps à présent
de t'accueillir à l'envi

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rychar a écrit:Printemps, tu fous le camp
le vent en emporte d'autant
tes senteurs et couleurs
pour y méler quelques pleurs

printemps tu fous le camp
quand se dérobe ton ciel
j'avance en ce tunnel
l'intrus en moi s'incrustant

printemps tu fous le camp
il fait froid dans les banlieues
n'étaient quelques jolis yeux
le bonheur n'y est point flagrant

printemps tu fous le camp
elle, seule dans la rue
désespoir à perte de vue
son corps se fait tentant

printemps tu fous le camp
les seigneurs de guerre
affament leurs peuples
martyrisent leurs enfants

printemps tu fous le camp
les banquiers ventripotent
leur pouvoir est puissant
l'arrogance pérore

printemps tu fous le camp
les glaces fondent
les glaciers reculent
funeste préssentiment

printemps tu fous le camp
n'étant point si fréquent
acceptons tes douceurs
pour atténuer nos malheurs

printemps tu fous le camp
et les saisons aussi
il serait temps à présent
de t'accueillir à l'envi

Bonjour rychard.
Le printemps est réference de bonheur pour beaucoup (sauf pour les allérgiques).
J'aime votre poème printanier. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Bonne journée.