Marionnette,
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cristopher-cris
jélas
6 participants
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Marionnette,
Marionnette,
Petit bout de chiffon,
Ton sourire est monotone,
Pourtant on te prénomme,
« Balancé d’illusions ».
Quand tes paupières s’éteignent,
Comme une flamme usée,
Sonne la fin d’un règne,
A la lumière déclinée.
Au souffle de l’ignorance,
Qui passe sans regarder,
L’ordinaire d’une présence,
Voulant être acclamée.
Petit air de musique,
Aux notes associées,
En mouvements ficelés,
Tu danses mécanique.
Quand tes mains sombrent,
Dans l’abîme de tes poches,
C’est le vide qui encombre,
Les fils du fantoche.
Marionnette accroupie,
Qui demande à quoi elle sert,
Peu importe celui,
Qui se balance ou qui s’en sert.
Petite audace sans opinions,
La piste est ton miroir,
Que tu rayes chaque soir,
D’un reflet de frustration.
Quand ton cœur cesse de chanter,
Toutes les larmes en promesses,
Q’une cascade déchaînée,
Emporte en rivière de maladresses.
Et pourtant tu n’es qu’un pantin,
Evanoui dans un ballet,
Qu’un autre anime de dessins,
Où tu poses attaché.
JL
Petit bout de chiffon,
Ton sourire est monotone,
Pourtant on te prénomme,
« Balancé d’illusions ».
Quand tes paupières s’éteignent,
Comme une flamme usée,
Sonne la fin d’un règne,
A la lumière déclinée.
Au souffle de l’ignorance,
Qui passe sans regarder,
L’ordinaire d’une présence,
Voulant être acclamée.
Petit air de musique,
Aux notes associées,
En mouvements ficelés,
Tu danses mécanique.
Quand tes mains sombrent,
Dans l’abîme de tes poches,
C’est le vide qui encombre,
Les fils du fantoche.
Marionnette accroupie,
Qui demande à quoi elle sert,
Peu importe celui,
Qui se balance ou qui s’en sert.
Petite audace sans opinions,
La piste est ton miroir,
Que tu rayes chaque soir,
D’un reflet de frustration.
Quand ton cœur cesse de chanter,
Toutes les larmes en promesses,
Q’une cascade déchaînée,
Emporte en rivière de maladresses.
Et pourtant tu n’es qu’un pantin,
Evanoui dans un ballet,
Qu’un autre anime de dessins,
Où tu poses attaché.
JL
jélas- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 30/12/2008
Re: Marionnette,
Des poèmes en un seul, tu nous gatte jélasjélas a écrit:Marionnette,
Petit bout de chiffon,
Ton sourire est monotone,
Pourtant on te prénomme,
« Balancé d’illusions ».
Quand tes paupières s’éteignent,
Comme une flamme usée,
Sonne la fin d’un règne,
A la lumière déclinée.
Au souffle de l’ignorance,
Qui passe sans regarder,
L’ordinaire d’une présence,
Voulant être acclamée.
Petit air de musique,
Aux notes associées,
En mouvements ficelés,
Tu danses mécanique.
Quand tes mains sombrent,
Dans l’abîme de tes poches,
C’est le vide qui encombre,
Les fils du fantoche.
Marionnette accroupie,
Qui demande à quoi elle sert,
Peu importe celui,
Qui se balance ou qui s’en sert.
Petite audace sans opinions,
La piste est ton miroir,
Que tu rayes chaque soir,
D’un reflet de frustration.
Quand ton cœur cesse de chanter,
Toutes les larmes en promesses,
Q’une cascade déchaînée,
Emporte en rivière de maladresses.
Et pourtant tu n’es qu’un pantin,
Evanoui dans un ballet,
Qu’un autre anime de dessins,
Où tu poses attaché.
JL
U +ne philosophie amère & sage à la fois en chaque quatrain. j'aime bien ce poème riche en expressions
cristopher-cris- Nombre de messages : 2748
loisirs : lecture, voyage
Date d'inscription : 18/07/2008
Re: Marionnette,
Est-ce vraiment une marionnette le sujet?jélas a écrit:Marionnette,
Petit bout de chiffon,
Ton sourire est monotone,
Pourtant on te prénomme,
« Balancé d’illusions ».
Quand tes paupières s’éteignent,
Comme une flamme usée,
Sonne la fin d’un règne,
A la lumière déclinée.
Au souffle de l’ignorance,
Qui passe sans regarder,
L’ordinaire d’une présence,
Voulant être acclamée.
Petit air de musique,
Aux notes associées,
En mouvements ficelés,
Tu danses mécanique.
Quand tes mains sombrent,
Dans l’abîme de tes poches,
C’est le vide qui encombre,
Les fils du fantoche.
Marionnette accroupie,
Qui demande à quoi elle sert,
Peu importe celui,
Qui se balance ou qui s’en sert.
Petite audace sans opinions,
La piste est ton miroir,
Que tu rayes chaque soir,
D’un reflet de frustration.
Quand ton cœur cesse de chanter,
Toutes les larmes en promesses,
Q’une cascade déchaînée,
Emporte en rivière de maladresses.
Et pourtant tu n’es qu’un pantin,
Évanoui dans un ballet,
Qu’un autre anime de dessins,
Où tu poses attaché.
JL
On peut dire la même chose d'une âme fragile qui se laisse manipuler n'est ce pas?
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Re: Marionnette,
superbe!
Ne serions-nous pas tous des pantins
attachés malgré nous aux fils du destin?
pasblanc
Ne serions-nous pas tous des pantins
attachés malgré nous aux fils du destin?
pasblanc
pasblanc- Nombre de messages : 172
Date d'inscription : 29/01/2010
Re: Marionnette,
cristopher-cris a écrit:Des poèmes en un seul, tu nous gatte jélasjélas a écrit:
U +ne philosophie amère & sage à la fois en chaque quatrain. j'aime bien ce poème riche en expressions
Amère et sage à la fois, le recul appelle la sagesse et pourtant...l'amertume d'une photographie mal cadrée.
Bien vu Cristopher-cris !
Bien à toi et merci d'être....
jélas- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 30/12/2008
Re: Marionnette,
[quote="sarah"]
Nous sommes tous les marionnettes de nos sentiments, de nos émotions, de nous coups de coeur et de nos peurs...accrochés que nous sommes à ces fils sans bout, à part celui de la vie ! Meric Sarah d'avoir...aimé.
jélas a écrit:[center]Marionnette,
Est-ce vraiment une marionnette le sujet?
On peut dire la même chose d'une âme fragile qui se laisse manipuler n'est ce pas?
Nous sommes tous les marionnettes de nos sentiments, de nos émotions, de nous coups de coeur et de nos peurs...accrochés que nous sommes à ces fils sans bout, à part celui de la vie ! Meric Sarah d'avoir...aimé.
jélas- Nombre de messages : 228
Date d'inscription : 30/12/2008
Re: Marionnette,
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] juste de passagejélas a écrit:Marionnette,
Petit bout de chiffon,
Ton sourire est monotone,
Pourtant on te prénomme,
« Balancé d’illusions ».
Quand tes paupières s’éteignent,
Comme une flamme usée,
Sonne la fin d’un règne,
A la lumière déclinée.
Au souffle de l’ignorance,
Qui passe sans regarder,
L’ordinaire d’une présence,
Voulant être acclamée.
Petit air de musique,
Aux notes associées,
En mouvements ficelés,
Tu danses mécanique.
Quand tes mains sombrent,
Dans l’abîme de tes poches,
C’est le vide qui encombre,
Les fils du fantoche.
Marionnette accroupie,
Qui demande à quoi elle sert,
Peu importe celui,
Qui se balance ou qui s’en sert.
Petite audace sans opinions,
La piste est ton miroir,
Que tu rayes chaque soir,
D’un reflet de frustration.
Quand ton cœur cesse de chanter,
Toutes les larmes en promesses,
Q’une cascade déchaînée,
Emporte en rivière de maladresses.
Et pourtant tu n’es qu’un pantin,
Evanoui dans un ballet,
Qu’un autre anime de dessins,
Où tu poses attaché.
JL
chadiya madihi- Nombre de messages : 957
Date d'inscription : 28/06/2008
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