Re: La nuit

par **miss Béa** Jeu 1 Avr - 10:22

daniel a écrit:les souffles voguent paisiblement autour des façades,
et rien n'échappe au regard des esprits.
ils volent, naviguent et inspectent la solitude de chaque ennui,
à la recherche d'un coeur malade.

ils sont arrivés à ma fenêtre avec légèreté,
ils m'ont chuchoté des paysages, des rêves ou je dansais
avec des femmes aux doux visages.
tout semblait calme et sucré au pays de mes invités.

la nourriture sentait l'abondance et l'infini,
la chaleur de leur maison nourrissait la plénitude,
je suis resté dans ce paradis, loin de la souffrance
et de la froide solitude,
j'ai quitté l'enfer, au prix de ma misérable vie.

dès que l'envoûtement sortit de son enveloppe,
quand je vis mon cadavre inerte,
les doux visages de femmes pourrirent en marmelade
effrayante,la putréfaction, la mort, l'enfer
voila le paradis de mes philanthropes.

les esprits sont des malins, ils mentent, ils trichent
et font perdre la raison.
leur discours est saisissant mais ils ne sont que
le néant de l'illusion. sous leur masque
ils profitent de la faiblesse et de la faim.

ces esprits, ces malins, ces démons.ils n'ont qu'un souhait,
ils n'ont qu'un désir.nous prendre, nous perdre, nous détruire.
n'écoutez pas leurs lamentations,
laissez-les, ils se consumeront

Bonjour Daniel,

Waou !!! quelle cauchemar que voila en cette nuit emplie de démons et d'esprits maléfiques !!!
J'en ai eu la chaire de poule, en lisant...
Je te souhaite vraiment de ne pas renouveler cette douloureuse expérience.

Bisou

Béa

par daniel Mer 31 Mar - 20:56

KAMEL a écrit:Nos cauchemars, c'est notre âme qui balaye devant sa porte.

je le crois bien [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

par firdaws Lun 29 Mar - 21:55

daniel a écrit:les souffles voguent paisiblement autour des façades,
et rien n'échappe au regard des esprits.
ils volent, naviguent et inspectent la solitude de chaque ennui,
à la recherche d'un coeur malade.

ils sont arrivés à ma fenêtre avec légèreté,
ils m'ont chuchoté des paysages, des rêves ou je dansais
avec des femmes aux doux visages.
tout semblait calme et sucré au pays de mes invités.

la nourriture sentait l'abondance et l'infini,
la chaleur de leur maison nourrissait la plénitude,
je suis resté dans ce paradis, loin de la souffrance
et de la froide solitude,
j'ai quitté l'enfer, au prix de ma misérable vie.

dès que l'envoûtement sortit de son enveloppe,
quand je vis mon cadavre inerte,
les doux visages de femmes pourrirent en marmelade
effrayante,la putréfaction, la mort, l'enfer
voila le paradis de mes philanthropes.

les esprits sont des malins, ils mentent, ils trichent
et font perdre la raison.
leur discours est saisissant mais ils ne sont que
le néant de l'illusion. sous leur masque
ils profitent de la faiblesse et de la faim.

ces esprits, ces malins, ces démons.ils n'ont qu'un souhait,
ils n'ont qu'un désir.nous prendre, nous perdre, nous détruire.
n'écoutez pas leurs lamentations,
laissez-les, ils se consumeront

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] pas de commentaire

par KAMEL Lun 29 Mar - 20:19

Nos cauchemars, c'est notre âme qui balaye devant sa porte.

par roby Jeu 25 Mar - 9:02

daniel a écrit:les souffles voguent paisiblement autour des façades,
et rien n'échappe au regard des esprits.
ils volent, naviguent et inspectent la solitude de chaque ennui,
à la recherche d'un coeur malade.

ils sont arrivés à ma fenêtre avec légèreté,
ils m'ont chuchoté des paysages, des rêves ou je dansais
avec des femmes aux doux visages.
tout semblait calme et sucré au pays de mes invités.

la nourriture sentait l'abondance et l'infini,
la chaleur de leur maison nourrissait la plénitude,
je suis resté dans ce paradis, loin de la souffrance
et de la froide solitude,
j'ai quitté l'enfer, au prix de ma misérable vie.

dès que l'envoûtement sortit de son enveloppe,
quand je vis mon cadavre inerte,
les doux visages de femmes pourrirent en marmelade
effrayante,la putréfaction, la mort, l'enfer
voila le paradis de mes philanthropes.

les esprits sont des malins, ils mentent, ils trichent
et font perdre la raison.
leur discours est saisissant mais ils ne sont que
le néant de l'illusion. sous leur masque
ils profitent de la faiblesse et de la faim.

ces esprits, ces malins, ces démons.ils n'ont qu'un souhait,
ils n'ont qu'un désir.nous prendre, nous perdre, nous détruire.
n'écoutez pas leurs lamentations,
laissez-les, ils se consumeront

je ne sais pas quoi penser y a au moin deux version en une en ces vers on peut y lire de la prophétie ou le trouble du subconscient

par daniel Mar 23 Mar - 17:33

pasblanc a écrit:

voilà une nuit fort agitée en cauchemars qui se consument
les affres des songes laissent quelque chose de posthume

pasblanc

Pas blanche la nuit
Elle était noire-cauchemardesque!!!!!
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par pasblanc Dim 21 Mar - 14:06

daniel a écrit:les souffles voguent paisiblement autour des façades,
et rien n'échappe au
regard des esprits.
ils volent, naviguent et inspectent la solitude de chaque
ennui,
à la recherche d'un coeur malade.

ils sont arrivés à ma fenêtre
avec légèreté,
ils m'ont chuchoté des paysages,
des rêves ou je dansais
avec des femmes aux doux visages.
tout semblait calme et sucré au pays de mes
invités.

la nourriture sentait l'abondance et l'infini,
la chaleur de
leur maison nourrissait la plénitude,
je suis resté dans ce paradis, loin de
la souffrance et de la froide solitude,
j'ai quitté l'enfer, au prix de ma
misérable vie.

dès que l'envoûtement sortit de son enveloppe,
quand je
vis mon cadavre inerte,
les doux visages de femmes pourrirent en marmelade
effrayante,
la putréfaction, la mort, l'enfer, voila le paradis de mes
philanthropes.

les esprits sont des malins,
ils mentent, ils trichent
et font perdre la raison.
leur discours est saisissant mais ils ne sont que
le néant de l'illusion.
sous leur masque ils profitent de la faiblesse et de
la faim.

ces esprits, ces malins, ces démons.
ils n'ont qu'un souhait,
ils n'ont qu'un désir.
nous prendre, nous perdre, nous détruire.
n'écoutez
pas leurs lamentations, laissez-les, ils se consumeront

voilà une nuit fort agitée en cauchemars qui se consument
les affres des songes laissent quelque chose de posthume

pasblanc

par daniel Sam 20 Mar - 19:27

juste des pensées qui me tenaient au coeur, je m'en suis débarassé par écrit!

par firdaws Sam 20 Mar - 18:45

daniel a écrit:les souffles voguent paisiblement autour des façades,
et rien n'échappe au
regard des esprits.
ils volent, naviguent et inspectent la solitude de chaque
ennui,
à la recherche d'un coeur malade.

ils sont arrivés à ma fenêtre
avec légèreté,
ils m'ont chuchoté des paysages,
des rêves ou je dansais
avec des femmes aux doux visages.
tout semblait calme et sucré au pays de mes
invités.

la nourriture sentait l'abondance et l'infini,
la chaleur de
leur maison nourrissait la plénitude,
je suis resté dans ce paradis, loin de
la souffrance et de la froide solitude,
j'ai quitté l'enfer, au prix de ma
misérable vie.

dès que l'envoûtement sortit de son enveloppe,
quand je
vis mon cadavre inerte,
les doux visages de femmes pourrirent en marmelade
effrayante,
la putréfaction, la mort, l'enfer, voila le paradis de mes
philanthropes.

les esprits sont des malins,
ils mentent, ils trichent
et font perdre la raison.
leur discours est saisissant mais ils ne sont que
le néant de l'illusion.
sous leur masque ils profitent de la faiblesse et de
la faim.

ces esprits, ces malins, ces démons.
ils n'ont qu'un souhait,
ils n'ont qu'un désir.
nous prendre, nous perdre, nous détruire.
n'écoutez
pas leurs lamentations, laissez-les, ils se consumeront

T'avais l'humeur méchante pour écrire ce coté de l'enfer?
C'est le premier texte vraiment noir que je lis de toi

par daniel Ven 19 Mar - 20:41

les souffles voguent paisiblement autour des façades,
et rien n'échappe au regard des esprits.
ils volent, naviguent et inspectent la solitude de chaque ennui,
à la recherche d'un coeur malade.

ils sont arrivés à ma fenêtre avec légèreté,
ils m'ont chuchoté des paysages, des rêves ou je dansais
avec des femmes aux doux visages.
tout semblait calme et sucré au pays de mes invités.

la nourriture sentait l'abondance et l'infini,
la chaleur de leur maison nourrissait la plénitude,
je suis resté dans ce paradis, loin de la souffrance
et de la froide solitude,
j'ai quitté l'enfer, au prix de ma misérable vie.

dès que l'envoûtement sortit de son enveloppe,
quand je vis mon cadavre inerte,
les doux visages de femmes pourrirent en marmelade
effrayante,la putréfaction, la mort, l'enfer
voila le paradis de mes philanthropes.

les esprits sont des malins, ils mentent, ils trichent
et font perdre la raison.
leur discours est saisissant mais ils ne sont que
le néant de l'illusion. sous leur masque
ils profitent de la faiblesse et de la faim.

ces esprits, ces malins, ces démons.ils n'ont qu'un souhait,
ils n'ont qu'un désir.nous prendre, nous perdre, nous détruire.
n'écoutez pas leurs lamentations,
laissez-les, ils se consumeront

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