Isabellle

Philippe a écrit:


Isabelle ma belle
Ca te rappelle
Quelque chose,
Isabelle ma belle
C'était le temps
Le temps des fraises
J'avais vingt ans
Tu en avais seize
Le monde n'existait
Que dans tes yeux clairs
J'attendais pour m'y glisser
Que tu ouvres les paupières

Isabelle ma belle
C'était le temps béni
Des chambres de belles
Isabelle ma belle
C'était le temps des mots
Qui sans rien dire
Voulaient dire tout
Un café pour deux
Au troquet du coin
Et je faisais le beau
Toi tu souriais beaucoup
Et nous joignions nos mains

Isabelle ma belle
Une âme pour deux
Nous semblait trop
Puis nous reprenions
Les chemins de famille
Toi pour la pension
Moi pour les guenilles
Isabelle ma belle

Toi une fois parti
J'errais dans le sillage
Satin vanille
Que partout Tu laissais
Et mes pas te humais
Jusqu'au prochain passage
J'avais vingt ans
Tu en avais seize
C'était le temps de jouer
Avec les braises.

Isabelle ma belle
Un jour Tu as disparu
Comme un printemps
Un coup de vent
Au coin d'une rue….

Un vent tiède
Soudainement
D'un cœur trop raide
Chauffe le sang
Isabelle ma belle
Tu as seize ans
Moi j'en ai vingt
Eternellement.



Cannes 2008

miss Béa a écrit:

Bonsoir,

Belles pensées pour ta jolie Isabellle, (je n'ai pas pu résister, lol).
Tu lui conserveras toujours une place en or dans ton coeur.

Juste un petit aparté : "je suis désolée...de te décevoir tellement..."

Bisou

Béa

Philippe a écrit:


Isabelle ma belle
Ca te rappelle
Quelque chose,
Isabelle ma belle
C'était le temps
Le temps des fraises
J'avais vingt ans
Tu en avais seize
Le monde n'existait
Que dans tes yeux clairs
J'attendais pour m'y glisser
Que tu ouvres les paupières

Isabelle ma belle
C'était le temps béni
Des chambres de belles
Isabelle ma belle
C'était le temps des mots
Qui sans rien dire
Voulaient dire tout
Un café pour deux
Au troquet du coin
Et je faisais le beau
Toi tu souriais beaucoup
Et nous joignions nos mains

Isabelle ma belle
Une âme pour deux
Nous semblait trop
Puis nous reprenions
Les chemins de famille
Toi pour la pension
Moi pour les guenilles
Isabelle ma belle

Toi une fois parti
J'errais dans le sillage
Satin vanille
Que partout Tu laissais
Et mes pas te humais
Jusqu'au prochain passage
J'avais vingt ans
Tu en avais seize
C'était le temps de jouer
Avec les braises.

Isabelle ma belle
Un jour Tu as disparu
Comme un printemps
Un coup de vent
Au coin d'une rue….

Un vent tiède
Soudainement
D'un cœur trop raide
Chauffe le sang
Isabelle ma belle
Tu as seize ans
Moi j'en ai vingt
Eternellement.



Cannes 2008

Philippe a écrit:


Isabelle ma belle
Ca te rappelle
Quelque chose,
Isabelle ma belle
C'était le temps
Le temps des fraises
J'avais vingt ans
Tu en avais seize
Le monde n'existait
Que dans tes yeux clairs
J'attendais pour m'y glisser
Que tu ouvres les paupières

Isabelle ma belle
C'était le temps béni
Des chambres de belles
Isabelle ma belle
C'était le temps des mots
Qui sans rien dire
Voulaient dire tout
Un café pour deux
Au troquet du coin
Et je faisais le beau
Toi tu souriais beaucoup
Et nous joignions nos mains

Isabelle ma belle
Une âme pour deux
Nous semblait trop
Puis nous reprenions
Les chemins de famille
Toi pour la pension
Moi pour les guenilles
Isabelle ma belle

Toi une fois parti
J'errais dans le sillage
Satin vanille
Que partout Tu laissais
Et mes pas te humais
Jusqu'au prochain passage
J'avais vingt ans
Tu en avais seize
C'était le temps de jouer
Avec les braises.

Isabelle ma belle
Un jour Tu as disparu
Comme un printemps
Un coup de vent
Au coin d'une rue….

Un vent tiède
Soudainement
D'un cœur trop raide
Chauffe le sang
Isabelle ma belle
Tu as seize ans
Moi j'en ai vingt
Eternellement.



Cannes 2008