Chronique d'un désamour

L’été est déjà loin,
Que vient poindre le jour où notre amour se fane.
Nos sentiments,
Jaunis par un soleil trop pâle, se craquèlent,
Se desséchant au vent d’une tempête frêle.


Où est donc la passion dont je rêvais jadis ?
Les cœurs battants chamade en pensant aux délices d’un
jardin triomphant ?
Les roses qui fleurissent ?
Les corps agonisants ?


Je n’ai rien de tout çà.
Il n’y a que des friches,
Assiégées de douleur,
Au creux d’une dérive.
La fin est sur la rive, en face.
Regarde-la, mon cœur !




Brumes1

Brumes1 a écrit:L’été est déjà loin,
Que vient poindre le jour où notre amour se fane.
Nos sentiments,
Jaunis par un soleil trop pâle, se craquèlent,
Se desséchant au vent d’une tempête frêle.


Où est donc la passion dont je rêvais jadis ?
Les cœurs battants chamade en pensant aux délices d’un
jardin triomphant ?
Les roses qui fleurissent ?
Les corps agonisants ?


Je n’ai rien de tout çà.
Il n’y a que des friches,
Assiégées de douleur,
Au creux d’une dérive.
La fin est sur la rive, en face.
Regarde-la, mon cœur !




Brumes1

Pour quoi tant de gris en tes mots ?
Le rose, n'est pas la seule couleur de la vie, mais c'est tout un arc-en-ciel qu'il faut pour le savourer
Merci Brume

Brumes1 a écrit:L’été est déjà loin,
Que vient poindre le jour où notre amour se fane.
Nos sentiments,
Jaunis par un soleil trop pâle, se craquèlent,
Se desséchant au vent d’une tempête frêle.


Où est donc la passion dont je rêvais jadis ?
Les cœurs battants chamade en pensant aux délices d’un
jardin triomphant ?
Les roses qui fleurissent ?
Les corps agonisants ?


Je n’ai rien de tout çà.
Il n’y a que des friches,
Assiégées de douleur,
Au creux d’une dérive.
La fin est sur la rive, en face.
Regarde-la, mon cœur !




Brumes1

Mélodie triste qui s'accorde avec mon humeur sombre. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Brumes1 a écrit:L’été est déjà loin,
Que vient poindre le jour où notre amour se fane.
Nos sentiments,
Jaunis par un soleil trop pâle, se craquèlent,
Se desséchant au vent d’une tempête frêle.


Où est donc la passion dont je rêvais jadis ?
Les cœurs battants chamade en pensant aux délices d’un
jardin triomphant ?
Les roses qui fleurissent ?
Les corps agonisants ?


Je n’ai rien de tout çà.
Il n’y a que des friches,
Assiégées de douleur,
Au creux d’une dérive.
La fin est sur la rive, en face.
Regarde-la, mon cœur !




Brumes1

Bonsoir Brumes1
merci pour ce joli poème qui m'avait beaucoup plu

citation pour vous:
Partout où est logé quelque grand amour il faut attendre quelque grande colère, car l'amour nie le droit et compte comme néant ce qu'il reçoit en regard de ce qu'on lui refuse.
Alain
Bonne soirée
Amicalement
Allaoua

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Brume pour cet aveu et merci Dad pour le partage