Dans le néant je ne vois rien

Dad Allaoua a écrit:

Dans le néant je ne vois rien

Derrière la compacité d'une buée,
Je subit l'horreur de la fougue,
Des frissons dans mes pensées
Me clouent dans une nullité lourde
De conséquence, avec une naïveté
M'attirant vers le coup de foudre.

Je lutte avec toute mes forces,
Pour vaincre ce puissant ogre,
Qui me guide vers des entorses,
Parlant avec la voix d'une oréade,
Il me rappelle, que la promesse
Du bonheur est la magnificence.

Dans le néant je ne vois rien,
Je regarde les étoiles la nuit,
Pour comprendre, que le bien
Est dans cette nova qui luit,
Car il s'agit bien d'un ancien
Flambeau qui a été détruit.

Je somnole dans l'obscurité,
Il me faut de la lumière,
Pour être un homme avisé,
Avant de se vautrer sur la civière,
Et suivre le chemin de l'éternité,
Pour se libérer de cette misère.

Dad allaoua

Dad Allaoua a écrit:

Dans le néant je ne vois rien

Derrière la compacité d'une buée,
Je subit l'horreur de la fougue,
Des frissons dans mes pensées
Me clouent dans une nullité lourde
De conséquence, avec une naïveté
M'attirant vers le coup de foudre.

Je lutte avec toute mes forces,
Pour vaincre ce puissant ogre,
Qui me guide vers des entorses,
Parlant avec la voix d'une oréade,
Il me rappelle, que la promesse
Du bonheur est la magnificence.

Dans le néant je ne vois rien,
Je regarde les étoiles la nuit,
Pour comprendre, que le bien
Est dans cette nova qui luit,
Car il s'agit bien d'un ancien
Flambeau qui a été détruit.

Je somnole dans l'obscurité,
Il me faut de la lumière,
Pour être un homme avisé,
Avant de se vautrer sur la civière,
Et suivre le chemin de l'éternité,
Pour se libérer de cette misère.

Dad allaoua

Yonlihinza Amadou a écrit:

Dad Allaoua a écrit:

Dans le néant je ne vois rien

Derrière la compacité d'une buée,
Je subit l'horreur de la fougue,
Des frissons dans mes pensées
Me clouent dans une nullité lourde
De conséquence, avec une naïveté
M'attirant vers le coup de foudre.

Je lutte avec toute mes forces,
Pour vaincre ce puissant ogre,
Qui me guide vers des entorses,
Parlant avec la voix d'une oréade,
Il me rappelle, que la promesse
Du bonheur est la magnificence.

Dans le néant je ne vois rien,
Je regarde les étoiles la nuit,
Pour comprendre, que le bien
Est dans cette nova qui luit,
Car il s'agit bien d'un ancien
Flambeau qui a été détruit.

Je somnole dans l'obscurité,
Il me faut de la lumière,
Pour être un homme avisé,
Avant de se vautrer sur la civière,
Et suivre le chemin de l'éternité,
Pour se libérer de cette misère.

Dad allaoua

L'image de la mort hante l'esprit de l'auteur qui refuse de sucomber à la tentation de sombrer dans le néan, il désir la vie plus que tout autre chose.
Dad c'est fort ce que vous avez écrit.